Le livre de Zemmour commence avec une faute orthographe ! (No Fake)
SuppriméHonnêtement jamais il ne me viendrai à l'esprit de faire une polémique sur une faute de Mélenchon
Moi non plus, c'est juste les médias qui en font une affaire pas moi clairement. Je dis juste que c'est une faute béante typique d'un collégien, et qu'à cause de ça il se décribilise lui et son bouquin (les médias aident pas clairement).
Pour une raison simple j'ai 1000 manières de le défoncer je ne vais pas passer pour un mesquin en pinaillant sur une faute; Cela voudrait dire que je suis incapable de le battre sur les idées.
Vous me faites le même effet que Asselineau quand j'étais à l'UPR. Si il disait une connerie tout le monde lui tombait dessus car tout le monde savait que c'était le plus intelligent
Aucun rapport par contre, le fait d'être apolitique t'empêche pas de pouvoir pointer du doigt des erreurs pareilles
Tu crois que le quotidien n'a pas parlé de la faute pour discrédité Zemmour ?
Tu n'a pas relevé que la majorité des pseudos qui raillent la faute du Z font plus de fautes que lui et le crachent dessus sur les autres topics ?
C'est la revanche des ratés et des médiocres.
Il suffit de lire vos posts anti Zemmour c'est toujours nul à chier. Il n'y a pas une fois ou je serre les dents en disant celui là est brillant il l'a coincé.
En un mot vous êtes des complexé et des crétins.
Toujours aucun rapport, être nul en politique =/= pouvoir critiquer la personne ou ses écrits, encore heureux que tout le monde puisse se plaindre d'une façon simpliste sinon bordel on se ferait vite chier lors des débats sur ce forum
Ah non l'idiot du village qui n'a jamais rien fait de sa vie doit fermer sa gueule.
Le 14 septembre 2021 à 22:59:18 :
La faute est intéressante ceci dit. Zemmour surcompense, comme beaucoup de gens que la réforme orthographique des années 1990 a laissé orphelin, il imagine des accents circonflexes pour "faire plus classe". C'est très commun, beaucoup de gens mettent des accents au passé simple également (il fût, etc.) alors que cela ne concerne que le subjonctif imparfait.
C'est vrai, c'est typiquement le genre de fautes que fait ma grand-mère
Le 14 septembre 2021 à 22:58:31 :
Le 14 septembre 2021 à 22:54:30 :
Le 14 septembre 2021 à 22:49:28 :
Le 14 septembre 2021 à 22:47:26 :
Le 14 septembre 2021 à 22:43:09 :
Le 14 septembre 2021 à 22:35:04 :
Le 14 septembre 2021 à 22:32:21 :
Le 14 septembre 2021 à 22:30:22 :
Le 14 septembre 2021 à 22:28:28 :
Le 14 septembre 2021 à 22:25:47 :
Le 14 septembre 2021 à 22:24:10 :
Il y a juste moi qui est surtout choqué par la comparaison foireuse à Balzac et Proust ? Depuis quand la première phrase résume tout chez ses auteurs ? C'est quoi ces conneries ?Des ahuris qui n'ont pas la capacité intellectuelle suffisante pour s'intéresser au fond de la pensée de l'auteur.
Ça me fout hors de moi les gauchistes qui souillent le génie littéraire par des simplifications à outrances comme ça.
Donc selon toi, Zemmour est un génie littéraire? Tu as lu beaucoup de livres? On espère aussi que tu puisses prouver qu'il en est un en écoutant tes arguments puisque vous voulez parler du fond
Tu as suivi la conversation ? Je ne parle pas de Zemmour. Je dis que ça m'énerve que les journalistes sortent une connerie comme "Chez Balzac la première phrase résume l'oeuvre" parce que c'est complètement faux et sans fondement. T'es attardé ma parole. Et tu viens chercher la merde en plus.
Prouve-le que c'est faux et sans fondement, je t'écoute puisque tu m'as aussi l'air d'être un génie de la littérature
Voyons cesse tes petites insultes, ne fais pas honte à l'éducation que tes parents t'ont donné
Pourquoi c'est faux ?
"Madame Vauquer, née de Conflans, est une vieille femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marcel."
C'est la première phrase du Père Goriot. Le roman a le rôle de cellule mère dans l'oeuvre de Balzac. Aucun thème Balzacien ne ressort dans cette phrase : la paternité, la spécialité, l'énergie, les idées fixes, le christianisme etc... C'est simplement une indication socio-géographique du lieu d'une partie de l'intrigue, et la présentation sommaire d'un personnage. Rien d'autre.
Tu peux spammer tes stickers de Céline éco + pour te donner un genre. J'ai lu les oeuvres complètes de Balzac avec les commentaires des études Balzaciennes, ainsi que les thèses de Bardèche, Béguin et Thibaudet sur lui. Je n'ai pas la prétention d'être un expert, il faudrait que je lise 5 fois plus au moins sur l'auteur pour ça. Néanmoins, je peux affirmer sans aucun doute que la première phrase ne résume absolument pas le livre. Ni chez Balzac, ni chez Proust, et son célèbre "Longtemps je me suis couché de bonne heure."
vous êtes sérieux de comparer avec des auteurs qui écrivaient direct sur papier ? corriger sur du papier c'est beaucoup plus chiant que de corriger sur l'ordi
là il suffit juste de lire un minimum, de remarquer l'erreur en première ligne et de corriger par informatique + il y'a des correcteurs etc
Cette affaire démontre la médiocrité de zemmour mais aussi de toute sa team.Les correcteurs ne détecteront pas une faute qui n'en ait pas une, hein ?
Le mot existe, le mot est correctement orthographié, le correcteur se pose pas plus de questions.
Enfin il doit bien y avoir des outils plus élaborés, mais je ne pense pas que le Z ou d'autres auteurs plus âgés les utilisent.non je parlais des correcteurs de sa team
Bah il en avait peut être pas
Ou alors il n'en avait aucun de compétent, puisqu'il s'est auto-édité
Un correcteur de métier sait qu'un auteur expérimenté sera susceptible de commettre des coquilles sur un truc con comme ça
À l'inverse, un lecteur lambda (prenons Ruquier, par exemple, qui aurait très certainement sauté sur l'occasion s'il l'avait vue) passera très facilement à côté.
Un correcteur de métier passe par Antidote surtout.
Et même un correcteur ne repère pas toutes les fautes, loin s'en faut.
Je suis souvent repassé derrière mes correcteurs. Et il reste encore malgré tout cela une dizaine de coquilles dans le produit fini.
Le 14 septembre 2021 à 22:57:07 :
Le 14 septembre 2021 à 22:52:11 :
Le 14 septembre 2021 à 22:49:56 :
Le 14 septembre 2021 à 22:46:53 :
Le 14 septembre 2021 à 22:45:10 :
Le 14 septembre 2021 à 22:42:15 :
Imaginez la réaction des fachos si c'était Mélenchon qui avait fait la faute... IMAGINEZ !on s'en branlerais tout autant
y'as que des gauchos pour croire que ça a la moindre importance
spoil ; melenchon fait des fautes d'orthographe, comme tout le monde
j'en est réellement rien a carré en fait, t'façon, il écrirait un livre, personne s'infligerait ça donc bon
la France s'écroule, parlons fautes d’orthographe. la gauche, est vraiment dans un monde parallèle
"Eul Fronce s'écroule lô ! Parlons de changer les prénoms des arabes lô !"
la mauvaise foi comme d'hab on est habitués
il parle de regroupement familial, d’arrêt de l’immigration, de suppression du droit du sol
Ton argument de départ était bidon kheyou, je n'ai fait que le retourner contre toi, norage.
Tu sais que la gauche ne parle pas que "des fautes d'orthographe" tout comme je sais que la droite ne parle pas que du "changement des prénoms" mais t'as voulu faire le clown en disant que la gauche ne trouvais rien de mieux à faire que de parler des fautes d'orthographe, alors je n'ai pas pu m'empêcher de te balayer sur place en te sortant le sujet des prénoms.
Continuez
Le 14 septembre 2021 à 22:55:07 Groscharclo2 a écrit :
Le 14 septembre 2021 à 22:46:51 :
Le 14 septembre 2021 à 22:43:57 :
Zemmour qui ne sait pas comment écrire correctement le français, c'est carrément éliminatoire ça, ça confirme que Zemmour n'est pas un français mais un étranger qui est néfaste pour la FranceREDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES
1. Émile Zola
En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.
2. Honoré de Balzac
Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.
3. Victor Hugo
On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.
4. Charles Baudelaire
Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.
5. Paul Verlaine
Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.
6. Jules Verne
Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.
7. Albert Camus
Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».
8. Voltaire
« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.9. Stendhal
Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.
10. Marguerite Duras
En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).
Or* l'analphabète
C'est pas de lui le low.
Le 14 septembre 2021 à 22:59:18 :
La faute est intéressante ceci dit. Zemmour surcompense, comme beaucoup de gens que la réforme orthographique des années 1990 a laissé orphelin, il imagine des accents circonflexes pour "faire plus classe". C'est très commun, beaucoup de gens mettent des accents au passé simple également (il fût, etc.) alors que cela ne concerne que le subjonctif imparfait.
l'accent circonflexe est géré dans la majorité des cas en connaissant l'étymologie du mot, ou en la devinant
Le 14 septembre 2021 à 23:00:41 :
Je suis plus ou moins pro-Zemmour mais soyons honnête les kheys, c'est un peu la honte pour lui quand même Ca va pas m'empêcher de voter pour lui bien sûr , par contre ça me donne encore moins envie d'acheter son livre
tout les auteurs font des fautes, arrête de te faire matrixé par la gauche le faible
Le 14 septembre 2021 à 22:57:09 :
Le 14 septembre 2021 à 22:53:30 :
Le 14 septembre 2021 à 22:48:35 :
Le 14 septembre 2021 à 22:46:51 :
Le 14 septembre 2021 à 22:43:57 :
Zemmour qui ne sait pas comment écrire correctement le français, c'est carrément éliminatoire ça, ça confirme que Zemmour n'est pas un français mais un étranger qui est néfaste pour la FranceREDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES
1. Émile Zola
En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.
2. Honoré de Balzac
Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.
3. Victor Hugo
On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.
4. Charles Baudelaire
Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.
5. Paul Verlaine
Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.
6. Jules Verne
Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.
7. Albert Camus
Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».
8. Voltaire
« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.9. Stendhal
Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.
10. Marguerite Duras
En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).
Sauf que y'a une diff entre faire une faute parmis des milliers de mots, en plein milieu d'un paragraphe au pif, que sur une préface/première page d'un de tes "plus grands livres" C'est ça que vous arrivez pas à saisir
Honnêtement jamais il ne me viendrai à l'esprit de faire une polémique sur une faute de Mélenchon
Moi non plus, c'est juste les médias qui en font une affaire pas moi clairement. Je dis juste que c'est une faute béante typique d'un collégien, et qu'à cause de ça il se décribilise lui et son bouquin (les médias aident pas clairement).
Le 14 septembre 2021 à 23:00:41 :
Je suis plus ou moins pro-Zemmour mais soyons honnête les kheys, c'est un peu la honte pour lui quand même Ca va pas m'empêcher de voter pour lui bien sûr , par contre ça me donne encore moins envie d'acheter son livre
Pour un accent ? Je me demande comment fonctionne ton cerveau
Le 14 septembre 2021 à 23:02:52 :
Le 14 septembre 2021 à 22:57:09 :
Le 14 septembre 2021 à 22:53:30 :
Le 14 septembre 2021 à 22:48:35 :
Le 14 septembre 2021 à 22:46:51 :
Le 14 septembre 2021 à 22:43:57 :
Zemmour qui ne sait pas comment écrire correctement le français, c'est carrément éliminatoire ça, ça confirme que Zemmour n'est pas un français mais un étranger qui est néfaste pour la FranceREDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES
1. Émile Zola
En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.
2. Honoré de Balzac
Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.
3. Victor Hugo
On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.
4. Charles Baudelaire
Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.
5. Paul Verlaine
Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.
6. Jules Verne
Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.
7. Albert Camus
Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».
8. Voltaire
« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.9. Stendhal
Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.
10. Marguerite Duras
En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).
Sauf que y'a une diff entre faire une faute parmis des milliers de mots, en plein milieu d'un paragraphe au pif, que sur une préface/première page d'un de tes "plus grands livres" C'est ça que vous arrivez pas à saisir
Honnêtement jamais il ne me viendrai à l'esprit de faire une polémique sur une faute de Mélenchon
Moi non plus, c'est juste les médias qui en font une affaire pas moi clairement. Je dis juste que c'est une faute béante typique d'un collégien, et qu'à cause de ça il se décribilise lui et son bouquin (les médias aident pas clairement).
Données du topic
- Auteur
- PetiteNenette_4
- Date de création
- 14 septembre 2021 à 20:51:59
- Date de suppression
- 15 septembre 2021 à 13:51:30
- Supprimé par
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