J’écoute mon enfant attentivement mais sans lui montrer que j’y prête plus attention que ça. Pour éviter que ça devienne une idée fixe.
Si je le sens en détresse, je prends la chose au sérieux et je prend conseil auprès d’une pédopsychiatre.
Les protocoles de prise en charge des enfants potentiellement dysphoriques commencent à être rodés. Je ne me fais pas de soucis.
Mon enfant aura toute l’enfance pour continuer à façonner son identité et trouver la bonne réponse par lui-même.
Il y a les bloqueurs de puberté s’il a besoin de marge.
Je suis trans et hormonée. J’aurais aimé avoir un bon cadre diagnostic à l’époque plutôt que ma transition en demi-teinte à la trentaine.
Et ok pour que mon enfant m’appelle Papa s’il le ressent comme ça. Je serais effectivement son père biologiquement.