Suffit de mater leur derche énorme. Leur cul fait deux à trois fois la largeur de celui d'une femme blanche moyenne. C'est juste titanesque. Je me demande combien de kilos de merde peuvent sortir de ces trucs. Aux chiottes c'est plus des humains, ça doit être des putains d'éléphant. Ca doit remonter jusqu'à la cuvette. En plus avec les épices ça doit fouetter un max. Tu peux sentir toutes les variétés de la cuisine africaines rien qu'en reniflant ce qui sort de leur cul. Du mafé, du poulet yassa, du thiéboudienne.
Je m'imagine m'asseoir à côté d'une énorme mama à genou prêt à sortir le kraken et l'observer pousser comme un stakhanoviste embrigadé pour faire ressortir toutes ces pauvres bestioles dont la carcasse s'entasse dans l'estomac. L'observer délicieusement entouré de musiciens et de koras, cet instrument si typiquement africain. Je m'imaginerais comme un chasseur masaï observant de loin sa proie. Observant ses kilos d'étron sortir d'un trou béant aussi large que la structure de Richat. La noirceur d'un Nuer et l'odeur d'une carcasse de gnou prête à se faire bouffer par des hyènes affamées.
J'ai tellement envie de voir une mama chier. Pousser, chier, puis enfin se torcher vulgairement en quelque seconde laissant ainsi ses culottes s'imprégner des milles délices de la savane !