Sans surprise, cette écoféministe s’en est rapidement pris aux centrales nucléaires. Des sites industriels jugés trop polluants, et, selon l’intéressée, truffés de « décisions prises par des ingénieurs ». Elle a alors glissé à nos confrères : « Je préfère des femmes qui jettent des sorts plutôt que des hommes qui construisent des EPR » – des réacteurs pressurisés européens. D’après Charlie Hebdo, certaines jeunes écoféministes se qualifieraient en effet de « sorcières », rompant avec toute rationalité.
Ça y est être féministe et écologiste forme une nouvelle entité "ecofeministe". Probablement un activisme dédié aux femmes-plante.
Cette chère Sandrine nous explique avec conviction que la faute est à mettre sur les ingénieurs qui malgré leur bac+10 n'arrivent pas à la cheville de cette femme.