- Le poids de la condition et du déterminisme social, étant né prolo d'une famille monoparentale avec un père absent j'étais condamné dès le début.
- Le fait que absolument rien ne dure éternellement et que tout à ce quoi je peux m'attacher (une bande de potes, l'amour avec quelqu'un, un animal de compagnie, la famille, une civilisation, une série que j'aime bien, bref absolument tout) finira forcément par mourir ou se terminer un jour.
La deuxième m'empêche de vivre dans le moment présent ou d'apprécier ce que j'ai de bien dans le présent parce que je me projette constamment dans le futur où tout sera terminé.