Topic de PlsdesJ45 :

LES JUIFS EN 1 PHOTO

Supprimé
Que dit un oiseau qui vole au dessus d'Auschwitz ? Cui Cui :)

Le 01 août 2021 à 19:51:29 :
Si vous cherchez qui est au pouvoir, demandez-vous de QUI il est interdit de parler. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/49/4/1512602518-salutmonpote2.png

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/24/5/1624034201-quibordelmaisqui.png

Quelqu'un aurait les leaks d'Amouranth ?

Le 01 août 2021 à 19:52:05 :
Que dit un oiseau qui vole au dessus d'Auschwitz ? Cui Cui :)

:ouch:

Le 01 août 2021 à 19:52:13 :
"Le mérite du national-socialisme, c'est qu'il a été le premier à poser le problème juif
de façon réaliste.
Les Juifs ont toujours suscité l'antisémitisme. Les peuples non juifs, au cours des
siècles, et des Égyptiens jusqu'à nous, ont tous réagi de la même manière. Un moment
arrive où ils sont las d'être exploités par le Juif abusif. Alors ils s'ébrouent comme
l'animal qui secoue sa vermine. Ils réagissent brutalement, ils finissent par se révolter.
C'est là une façon de réagir instinctive. C'est une réaction de xénophobie à l'égard de
l'étranger qui refuse de s'adapter, de se fondre, qui s'incruste, qui s'impose et qui vous
exploite. Le Juif est par définition l'étranger inassimilable et qui refuse de s'assimiler.
C'est ce qui distingue le Juif des autres étrangers: il prétend avoir chez vous les droits
d'un membre de la communauté tout en demeurant Juif. Il considère comme un dû
cette possibilité de jouer simultanément sur deux tableaux, et il est seul dans le monde
à revendiquer un aussi exorbitant privilège.
Le national-socialisme a posé le problème juif sur le plan des faits: en dénonçant la
volonté de domination mondiale des Juifs, en s'attaquant à eux systématiquement,
dans tous les domaines, en les éliminant de toutes les positions usurpées par eux, en les traquant partout avec la volonté bien établie de laver le monde allemand du poison
juif. II s'est agi pour nous d'une cure de désintoxication indispensable, entreprise à la
dernière limite, sans quoi nous eussions été asphyxiés et suhmergés.
Réussissant cette opération en Allemagne, nous avions des chances qu'elle fît tache
d'huile. Cela était même fatal, car il est normal que la santé triomphe de la maladie.
Les Juifs furent aussitôt conscients de ce risque, et c'est la raison pour laquelle ils
décidèrent de jouer leur va-tout dans la lutte à mort qu'ils déclenchèrent contre nous.
Il leur fallait abattre le national-socialisme à n'importe quel prix, la planète dût-elle
être détruite. Aucune guerre n'a été aussi typiquement que celle-ci, ni aussi
exclusivement, une guerre juive.
Je les ai en tout cas obligés à jeter bas le masque. Et même si notre entreprise se solde
par un échec, cet échec ne saurait être que provisoire. J'aurai ouvert les yeux du
monde sur la réalité du péril juif.
Une des conséquences de notre attitude, c'est que nous avons rendu le Juif agressif. Or
il est moins dangereux sous cette forme qu'à l'état sournois. Mieux vaut cent fois le
Juif qui avoue sa race que le Juif honteux qui prétend ne différer de vous que par la
religion. Si je gagne cette guerre, je mets un terme à la puissance juive dans le monde,
je la blesse à mort. Si je perds cette guerre, cela n'assure pas davantage leur triomphe
- car, eux, ils en perdraient la tête. Ils pousseraient l'arrogance à un tel degré qu'ils
provoqueraient par là même le choc en retour. Ils continueraient, bien entendu, de
miser sur les deux tableaux, de revendiquer dans tous les pays les avantages des
nationaux, et sans renoncer à l'orgueil de demeurer de surcroît les membres de la race
élue. Ce serait la fin du Juif honteux, remplacé par le Juif glorieux - aussi puant que
l'autre, sinon plus. En sorte que l'antisémitisme ne saurait disparaître, les Juifs euxmêmes
l'alimentant et le ranimant sans cesse. Il faudrait que la cause disparût pour
que disparût la réaction de défense. L'on peut faire confiance aux Juifs.
L'antisémitisme ne disparaîtra qu'avec eux.
Ceci étant dit en dehors de tout sentiment de haine raciale, il n'est souhaitable pour
aucune race de se mêler à d'autres races. Le métissage systématique, et sans nier des
réussites fortuites, n'a jamais donné de bons résultats. C'est une preuve de vitalité et
de santé de la part d'une race de vouloir se préserver pure. Il est normal au surplus que
chacun éprouve l'orgueil de sa race, et cela n'implique aucun mépris à l'égard des
autres. Je n'ai jamais pensé qu'un Chinais ou un Japonais nous fussent inférieurs. Ils
appartiennent à de vieilles civilisations, et j'admets même que leur passé soit
supérieur au nôtre. Ils ont des raisons d'en être fiers comme nous sommes fiers de la
civilisation à laquelle nous appartenons. Je pense même que plus les Chinais et les
Japonais demeureront fiers de leur race, plus il me sera 'facile de m'entendre avec eux.
Cet orgueil basé sur l'appartenance à une race n'existe pas fondamentalement chez
l'Allemand. Cela s'explique par ces trois derniers siècles de divisions intestines, par
les guerres de religion, par les influences étrangères qu'il a subies, par l'influence du
christianisme - car le christianisme n'est pas une religion naturelle aux Germains, c'est
une religion importée et qui ne correspond pas à leur génie propre. L'orgueil de la
race, chez l'Allemand, quand il se manifeste et prend même un air agressif, n'est
qu'une réaction compensatrice du complexe d'infériorité qu'éprouvent beaucoups
d'Allemands. Il va sans dire que cela ne s'applique pas aux Prussiens. Eux, depuis
l'époque du grand Frédéric, ils ont acquis cet orgueil tranquille et simple qui est la
marque des gens qui sont sûrs d'eux-mêmes et qui sont ce qu'ils sont sans ostentation.
Du fait des qualités qui sont les leurs, les Prussiens étaient capables, et ils l'ont prouvé, de réaliser l'unité allemande. Le national-socialisme a essayé de donner à tous
les Allemands cet orgueil qui était jusqu'ici la caractéristique des . seuls Prussiens.
Les Autrichiens ont dans le sang un orgueil analogue à celui des Prussiens, né du fait
que durant des siècles ils n'ont pas été dominés par d'autres peuples, qu'ils ont été au
contraire, durant une longue période, ceux qui commandent et à qui l'on obéit. Ils ont
accumulé l'expérience de la domination et du pouvoir, et c'est là qu'il faut voir la
raison de l'atticisme que nul ne leur conteste.
Le national-socialisme fondra dans son creuset toutes les particularités de l'âme
allemande. Il en sortira le type de l'Allemand moderne, travailleur, . consciencieux,
sûr de soi mais simple, orgueilleux non de ce qu'il représente à titre individuel mais
de son appartenance à un grand ensemble qui fera l'admiration des autres peuples. Ce
sentiment de supériorité en tant qu'Allemand n'implique aucun désir d'écrasement à
l'égard des autres. Nous avons parfois exalté ce sentiment avec une certaine
exagération, mais cela était nécessaire en fonction du point de départ, et il fallait que
nous poussions les Allemands un peu brutalement dans la bonne voie. Un excès dans
un sens provoque presque toujours un excès de sens contraire. C'est dans la nature des
choses. Tout cela, au surplus, ne saurait se faire en un jour. Cela requiert le lent
travail du temps. Frédéric le Grand est le vrai créateur du type prussien. En fait, il a
fallu deux ou trois générations pour incarner ce type, pour que le style prussien devînt
un caractère propre à chaque Prussien.
Notre racisme n'est agressif qu'à l'égard de la race juive. Nous parlons de race juive
par commodité de langage, car il n'y a pas, à proprement parler, et du point de vue de
la génétique, une race juive. Il existe toutefois une réalité de fait à laquelle, sans la
moindre hésitation, l'on peut accorder cette qualification et qui est admise par les Juifs
eux-mêmes. C'est l'existence d'un groupe humain spirituellement homogène dont les
Juifs de toutes les parties du monde ont conscience de faire partie, quels que soient les
pays dont, administrativement ils sont les ressortissants. C'est ce, groupe humain que
nous appelons la race juive. Or il ne s'agit nullement, bien que la religion hébraïque
leur serve parfois de prétexte, d'une communauté religieuse ni d'un lien constitué par
l'appartenance à une religion commune.
La race juive est avant tout une race mentale. Si elle a pour origine la religion
hébraïque, si elle a en partie été façonnée par elle, elle n'est pas néanmoins d'essence
purement religieuse, car elle englobe de la même façon les athées déterminés et les
pratiquants sincères. A cela, il faut ajouter le lien constitué par les persécutions subies
au cours des siècles et dont les Juifs oublient toujours qu'ils n'ont cessé de les
provoquer. Anthropologiquement, les Juifs ne réunissent pas les caractères qui
feraient d'eux une race unique. Il est pourtant indubitable que chaque Juif recèle dans
ses veines quelques gouttes de sang spécifiquement juif. Il serait impossible
autrement d'expliquer la permanence, chez eux, de certains caractères physiques qui
leur appartiennent en propre et qu'on retrouve invariablement chez des Juifs aussi
différents, par exemple, que le Pollak et le Juif marocain - leur nez indécent, leur
narine vicieuse, etc. Cela ne semble pouvoir s'expliquer par le type de vie qu'ils
mènent, toujours semblable, de génération en génération, dans les ghettos
principalement.
Une race mentale, c'est quelque chose de plus solide, de plus durable, qu'une race tout
court. Transplantez un Allemand aux États-Unis, vous en faites un Américain. Le
Juif, où qu'il aille, demeure un Juif. C'est un être par nature inassimilable. Et c'est ce
caractère même, qui le rend impropre à l'assimilation, qui définit sa race. Voilà une preuve de la supériorité de l'esprit sur la chair!
Leur ascension foudroyante, au cours du XIXe siècle, a donné aux Juifs le sentiment
de leur puissance et les a incités à jeter bas leur masque. Aussi est-ce une chance pour
nous de pouvoir les combattre en tant que Juifs avérés et agressivement fiers de l'être.
Étant donné la crédulité du peuple allemand, nous ne pouvons que nous louer de cet
accès de sincérité de la part de nos plus mortels ennemis.
Je me suis montré loyal envers les Juifs. Je leur ai donné, à la veille de la guerre, un
ultime avertissement. Je les ai prévenus que, s'ils précipitaient à nouveau le monde
dans la guerre, ils ne seraient cette fois-ci pas épargnés - que la vermine serait
définitivement exterminée en Europe. Ils ont répondu à cet avertissement par une
déclaration de guerre, affirmant que partout où il y avait un Juif il y avait par
définition un ennemi inexpiable de l'Allemagne nationale-socialiste.
L'abcès juif, nous l'avons crevé comme les autres. Le monde futur nous en sera
éternellement reconnaissant."

A.H , 1945 https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png

Au final la plupart ce sera le cas :hap:

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PlsdesJ45
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1 août 2021 à 19:48:33
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1 août 2021 à 19:57:46
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