(SPEEDRUN) JUIF JUIF JUIF JUIF JUIF JUIF JUIF JUIF
Supprimé"Dans mon commerce journalier avec mes camarades travailleurs, j’avais déjà remarqué avec quelle étonnante facilité ils changeaient d’opinion sur la même question, parfois en quelques jours, souvent même en quelques heures. Il m’était difficile de comprendre comment des hommes qui avaient toujours des idées raisonnables, quand on leur parlait en tête-à -tête, les perdaient d’un coup sitôt qu’ils retombaient sous la domination de la masse. Cela me mettait souvent au désespoir. Quand j’étais persuadé, après les avoir chapitrés pendant des heures, que cette fois j’avais brisé la glace ou les avais éclairés sur l’absurdité d’un préjugé, et que je me réjouissais de mon succès, je m’apercevais le lendemain avec douleur qu’il me fallait recommencer par le commencement ; tous mes efforts avaient été vains. Comme un pendule en son perpétuel balancement, leurs opinions absurdes étaient encorerevenues au point de départ.
Je pouvais comprendre bien des choses. Quand ils n’étaient pas satisfaits de leur sort, quand ils maudissaient le destin qui les frappait souvent si durement, quand ils haïssaient les patrons qui leur semblaient les exécuteurs brutaux de leur cruelle destinée, ou bien quand ils couvraient d’injures les autorités qui, à leur avis, n’avaient aucune compassion pour leur situation ; quand ils manifestaient contre les prix des vivres et défilaient dans la rue pour défendre leurs revendications, tout cela je pouvais encore le comprendre sans mettre leur raison en cause. Mais ce qui restait pour moi incompréhensible, c’était la haine sans limites qu’ils manifestaient à l’égard de leur propre peuple, avec laquelle ils dénigraient tout ce qui faisait sa grandeur, salissaient son histoire et traînaient ses grands hommes dans la boue.
Cette hostilité contre leur propre espèce, leur propre nid, leur propre pays natal était aussi absurde qu’incompréhensible. Elle était contraire à la nature.
On pouvait guérir passagèrement ces gens dévoyés, mais seulement pour quelques jours, tout au plus pour quelques semaines. Et quand on rencontrait ensuite celui qu’on pensait avoir converti, il était redevenu tel qu’autrefois.
Il était retombé dans son état contre nature."
La suite direct de ce texte dans le spoil
Je fis un effort sur moi-même et tentai de lire les productions de la presse marxiste, mais la répulsion qu’elles m’inspiraient finit par devenir si forte que je cherchai à mieux connaître ceux qui fabriquaient cette collection de canailleries.
C’étaient tous sans exception, à commencer par les éditeurs, des J.
Je pris en main toutes les brochures social-démocrates que je pus me procurer et cherchai les signataires : des J. Je notai le nom de presque tous les chefs : c’étaient également en énorme majorité des membres du « peuple élu », qu’il fût question de députés au Reichsrat ou de secrétaires des syndicats, de présidents des organismes du parti ou des agitateurs de la rue. C’était toujours le même tableau peu rassurant. Je n’oublierai jamais les noms des Austerlitz, David, Adler, Ellenbogen, etc.
Il devint alors clair pour moi que le parti, dont les simples comparses étaient mes adversaires depuis des mois du plus violent combat, se trouvait presque exclusivement, par ses chefs, dans les mains d’un peuple étranger ; car un J n’est pas un Allemand, je le savais définitivement pour le repos de mon esprit.
Je connaissais enfin le mauvais génie de notre peuple.
Une seule année à Vienne m’avait convaincu qu’il n’y a pas d’ouvrier si enraciné dans ses préjugés, qui ne rende les armes devant des connaissances plus justes et des explications plus claires. Je m’étais peu à peu mis au fait de leur propre doctrine et elle était devenue mon arme dans le combat que je menais pour mes convictions.
Presque toujours la victoire me restait.
Il fallait sauver la grande masse, mĂŞme au prix des plus lourds sacrifices de temps et de patience.
Mais jamais je ne pus délivrer un J de sa façon de voir.
J’étais alors encore assez naïf pour vouloir les éclairer sur l’absurdité de leur doctrine ; dans mon petit cercle, je parlais à en avoir la langue écorchée et la gorge enrouée, et je m’imaginais que je parviendrais à les convaincre du danger des folies marxistes. J’obtenais le résultat opposé. Il semblait que les effets désastreux, fruit évident des théories social-démocrates et de leur application, ne servaient qu’à renforcer leur détermination.
Plus je discutais avec eux, mieux j’apprenais à connaître leur dialectique. Ils comptaient d’abord sur la sottise de leur adversaire et, quand ils ne trouvaient plus d’échappatoire, ils se donnaient à eux-mêmes l’air d’être des sots. Était-ce sans effet, ils ne comprenaient plus ou, mis au pied du mur, ils passaient d’un bond sur un autre terrain ; ils mettaient en ligne des truismes dont, sitôt admis, ils tiraient argument pour des questions entièrement différentes ; les acculait-on encore, ils vous glissaient des mains et on ne pouvait leur arracher de réponse précise. Quand on voulait saisir un de ces apôtres, la main ne prenait qu’une matière visqueuse et gluante qui vous filait entre les doigts pour se reformer le moment d’après. Si l’on portait à l’un d’entre eux un coup si décisif qu’il ne pouvait, en présence des assistants, que se ranger à votre avis et quand on croyait avoir au moins fait un pas en avant, on se trouvait bien étonné le jour suivant. Le J ne savait plus du tout ce qui s’était passé la veille ; il recommençait à divaguer comme auparavant, comme si de rien n’était, et lorsque, indigné, on le sommait de s’expliquer, il feignait l’étonnement, ne se souvenait absolument de rien, sinon qu’il avait déjà prouvé la veille le bien-fondé de ses dires.
J’en demeurai souvent pétrifié.
On ne savait pas ce qu’on devait le plus admirer : l’abondance de leur verbiage ou leur art du mensonge.
Je finis par les haĂŻr.
Tout cela avait son bon côté : à mesure que je connaissais mieux les chefs, ou du moins les propagandistes de la social-démocratie, mon peuple me devenait plus cher. Qui aurait pu, en présence de l’habileté diabolique de ces séducteurs, maudire les malheureux qui en étaient victimes ? Quelle peine n’avais-je pas moi-même à triompher de la dialectique perfide de cette race ! Et combien vaine était une pareille victoire avec des hommes dont la bouche déforme la vérité, niant carrément le mot qu’elle vient de prononcer, pour s’en prévaloir dans la minute suivante.
Non, plus j’apprenais à connaître les J, et plus j’étais porté à excuser les ouvriers."
Le 29 juillet 2021 Ă 15:58:19 :
JE T'AIDE KHEYOU FASTEURENT FASTEURENT
MERCI LE BOSS T'ES LE SANG ET OUBLIE PAS NIQUE LES ROUX
Données du topic
- Auteur
- tictactozz
- Date de création
- 29 juillet 2021 Ă 15:54:58
- Date de suppression
- 29 juillet 2021 Ă 16:04:06
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