[ALERTE JAUNE] Un Khey CHINOIS de NAISSANCE m'a envoyé en MP le début de son ROMAIN
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"Le 28 juillet 2017, j'étais à Kyôto pour parcourir la ville qui a une valeur inestimable historique. La chaleur écrasante, mon échine tordue sous le rayon aveuglant de soleil torride, je marchais, d'une allure molle, dans la rue de Arashiyama avec ma copine Katcha. Du bord du cornet, dodelinait de la glace savour vanille que j'ai achetée au stand de glace situé près du pont le plus proche de la gare Hankyû, et ma conscience s'abosorbait dans cette délicieuse glace. Le Soleil est passé déjà au zénith, je transpirais énormément et mes bras tout blancs sont gâtés par la chaleur insupportable.
Katcha, svelte, mais très sportive, cette fille innocente et élevée dans un pays littoral de la mer Caspienne, elle en avait un peu marre de mon incapacité physique.
'Attends, chérie, j'ai ....mon corps tient chaud et je peux plus marcher ! m'écriai-je, nerveux, d'une voix faible.'
'je t'avais dit mille fois que fallait faire du sport un peu...dit-elle, un peu exaspérée.'
L'itinéaire pour ajd devait durer 8h, entre 9h et 17h, et déjà, à 11h du matin, mon cerveau était en ébullition dans le train qui menait à Arashiyama depuis Takatsuki. Le convoi du train n'était pas bien climatisé, et bien que qq fenêtres étaient entrouvertes, le vent tiéde mêlé de l'odeur des herbes pénétrait dans le train. Les passagers avaient la mine toute morte. Dans l'odeur forte des bégonias jaunes et l'odeur au menthe de bambous dans le taillit yamazaki, s'aminscit des particules chargées négatives de sueur. Mes narines sont dilatées, et mon dos courbé s'est bien redressé malencontreusement par cette réaction chimique inattendue.
'Mais c'est quoi cette odeur ? ' murmurai-je ébahit.
J'ai lancé mon regard circulaire dans tout le convoi et à mes yeux s'offraient la silhouette grasouillée d'un japonais de 40aine, très corpulent.
Sa forme ronde, et des gras qui s'entassent au cou, me fait penser qu'il avait à peu près 50aines. Autour de lui, il y avait personne malgré le fait que le convoi était débordé de passagers qui avaient le même but que nous.
à midi, on est arrivés à la grande rue d'Arashiyama, jonchée de magasins de souvenirs. Bonbons, tsukemono, jouets traditionnels...toute cette jouissance visuelle m'a remonté le morale. Le thé vert de Kyôto, que j'ai bu avec gyôkuro piquait ma langue, et après un instant de choc inoui, des feuilles vertes et menthe de kyoto , leur mariage m'a fait plonger dans le monde sensationel.
Alors, à 13h, j'ai épreuvé le mal au ventre, et je suis tombé de genoux parmi les 100aines de passagers. Ma copine Katcha a poussé un cri et elle s'est agenouillée pour me regarder de plus près.
'ça va ? t'es malade ? '
Personne n'a arrêté leur pas, ils circulaient comme si de rien n'était, et cette spectacle humiliante, j'ai bien intercepté à travers les mains qui cachaient mon visage.
'Quel salaud ! Personne vient en mon secours ? J'ia mal, j'ai mal au ventre.....Et personne ? '
j'ai commencé à pleurer, larmes entremêlés de rage et de chagrin.
'Je suis venu au Japon pour étudier la culture japonaise. Je pensais que je serais bien entouré, qu'ils étaient des peuples gentils, courtois...'
et la douleur d'estomac augmentait, et l'envie de déféquer m'a pris violemment. Je me suis redressé soudainement, retenant mes larmes et la douleur brutale au ventre, tout en laissant Katcha de mon côté.
'Katcha, je vais chercher la toilette ! ' et je suis parti en me fourrant des passagers, dans la rue très populaire enpavée.
à chaque pas, la douleur me revenait au ventre et mon muscle anale se resserrait spontanément. Le vaisseau va couler, et le mouvement de rameurs s'accélérait. Dans le champ de vision de naufragé, sautaient le taillit de Matsu, le près verdâtre, et la rivière qui traverse la ville d'Arashiyama. 1 seconde se faisait ressentir 1 minute, et dans le basculement de bateau en détresse, le rameur faisait va-et-vient, en espérant de trouver le canot de sauvetage gonflable caché qq part dans la nacelle.
Il faisait frais dans le tailli, abrité de soleil d'été, et il y avait du monde au parc. Le regard louche devait être rivé vers moi, et ma présence peu séduisante a brisé le silence d'après-midi à Kyôto.
'Toilete...elle est où ? ' me demandais-je, en accélérant mes pas, parfois, à grande emjambée pour pas trébucher sur la pierre, élément déclencheur de chie torrentiel.
De bonnes 5 minutes se sont écoulées, me voilà au bout de grand parc verdâtre, et j'ai reconnu un petit chalet fait en bois, au milieu de désert vert.
Le soupir de soulagement sortit malencontreusement de ma gueule, et mon visage s'est décontractée un peu de joie.
'youpi ! toilette ! je vais chier ! '
Et au seuil de la porte de la toilette publique, la silhouette gigantesque s'encadrait. C'était un japonais qui dépassait 190cm, hirsute, et corps d'Hercule avec des bras de 50cm, et pantalon qui allait se déchirait de la masse volumineuse de ses jambes d'ours.
Décontenancé, je me suis arrêté net devant lui et épreuvant son regard noir, je lui ai posé une question en zézayant à cause de douleur piquante au ventre :
'vous faites quoi , monsieur ? '
'Tu as l'argent ? '
Je ne comprenais pas son intention, et l'homme a indiqué le panneau accroché à côté de l'entrée.
Sur ce panneau, j'ai lu : "toilette : 50 yen"
'Faut d'abord payer pour la toilette'
'Oui, ok, mais j'ai mal , très mal au ventre et je vais chier en spray au moindre choc. M'auriez-vous la gentillesse de sortir 50 yen de mon portefeuille, svp ? ' demandai-je, déséspérémment, en retenant mes larmes qui remontait de fond de mes nerfs de cordon.
L'homme s'est mis à ricaner, et expliqué d'une voix grave mais posée :
'Dans ce cas, il faut payer encore plus. Ici, au Japon, tout service se paye. '
Atterré d'idée de chier et de tremper mon pantalon, j'ai accepté, et l'homme a fouillé mon sac négligemment, et sorti le portefeuille de mon sac de H/M.
'Maintenant, vas-y'
J'ai foncé jusqu'à la chiotte, en bousculant un peu sur l'épaule du gardien. Et finalement, j'ai trouvé la chiotte.
Mais la porte était fermée, j'ai saisit violemment la poignée et l'a tirée en vain.
Oui, ya qq déjà dedans...
J'ai crié : "Ya qq ? ouvre-moi la porte, stp ! c'est urgent, j'ai très mal au ventre ! "
Mon cri déchirant se retentissait dans tout le parc et qq passagers curieux venaient regarder dans la toilette.
'....voui ? ' la voix sourde est renvoyée. C'était un homme, peut-être 30aines ou 40aines. La voix d'un ouvrier, un peu trouble suite au surmenage dans son usine, homme habitué à donner son commandement à ses subordonnés dans le grand vacarme de machine à papeterie
'tu m'entends ? vite ! vite ! mon cul va s'exploser et s'infuse en spray ! ' m'écriai-je, plus fort possible, pour que mon dernier espoir puisse être exaucé.
Le silence de plomb régnait qq secondes dans la toilette, et le rire démoniaque de l'homme s'entendait.
'ahiiiiiiiiiiii, urgent...urgent ? okok...mon fils, alors, ça dépend de cmb tu payes....'
'OK, je te paye, stp, laisse-moi ta place, je vais mourir de mal ! '
'T'as cmb sur toi ? '
'10,000 yen !'
En fait, j'ai menti, j'avais 100,000 yen sur moi, mais de peur d'être extorqué, j'ai eu la précaution de dire mensonge.
'Ehhhh, donne-moi 50% de ta fortune ! '
'QUOI !? mais t'es sérieux ? pourquoi ? '
L'homme a toussoté, et d'un ton goguenard, commencé à développer sa théorie libartarisiste :
'Mon petit, ta naiveté me fait de la peine... Ici, le Japon, le pays ultra-capitaliste, tout service se paye. Et tu sembles ignorer la théorie d'Adam Smith. Le frais de service n'est pas constant, ça dépend de relation entre demande et offre. Ici, tu dois chier immédiatement, et j'ai le droit de fixer le frais de service. Donc, 50%, c'est pas si cher ! ' conclut-il, d'un ton réprobateur.
Outré, j'ai frappé violemment la porte et milles insultes jaillissaient de ma gueule :
'Connard ! FDP ! Clochard ! Saperlipopette ! ...'
Alors, l'homme se gloussait et lâché sec : 'Tu m'as insulté, tu dois me payer dédommagement pour m'avoir déshonoré. 70% de ta fortune, stp. '
Furieux, j'ai faillit défoncer la porte, mais comme le géant gardien a hurlé de rage, ça me fait revenir et j'ai décidé de payer 7000 yens pour avoir ma place.
'Je suis désolé, voici 7000 yen, je vais glisser ça entre la porte.'
'OK, marché conclus.'
Alors, l'homme est sorti de toilette, c'était bien un ouvrier de 40aines, l'air moqueur et arborant un sourire narquois. Il m'a dit : 'Merci bcp' en tapotant sur mon épaule légérement.
Je me suis précipité dans la toilette, et j'ai découvert que la toilette était hors service.
'Putain ! Tu m'as menti ! '
Je me suis jetté sur le gardin, mais il a réagit par refléxe, et il a exécuté son beau haraigoshi pour me lancer contre le sol.
'Tu as pas bien lu ça...C'est à cause de toi ! voici ton porfeuille, prochaine fois, tu feras mieux faire attention ! '
Entre la douleur au dos et à l'estomac, je restais immobile pendant qq secondes, mais un pet qui sortit de mon cul m'a rappelé la priorité de mes tâches.
'Il faut chier tout de suite ! '
Alors, je suis parti, saissisant violemment le portefeuille qu'il m'a tendu.
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Données du topic
- Auteur
- Mysth55
- Date de création
- 20 juillet 2021 à 16:10:58
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