Extraits du discours de Claude Malhuret (LR donc vous pouvez arrêtez avec vos bots lrem) aujourd'hui au Sénat, ça fait du bien que les antivax soient remis à leur place et face à leur responsabilité, il a tout résumé :
En écoutant notre collègue Ravier, j’ai soudain compris que nous vivions sous le joug d’une dictature et que sans une poignée d’héroïques résistants, nous ne nous en serions pas aperçus. (…) Après que pendant des années, onze vaccins nous aient été injectés à l’insu de notre plein gré, au douzième, bingo, nos yeux se sont décillés grâce à ces combattants de la liberté qui ont eu le courage de nommer l’infamie du pass sanitaire.
En définitive, la meilleure preuve des progrès de l’humanité, c’est qu’en 2500 ans nous sommes passés de Socrate sur l’agora à Francis Lalanne sur Facebook. Quel dommage que les réseaux sociaux n’aient pas existé plus tôt pour défendre, contre les dictateurs de la piqûre, la liberté de mourir en harmonie avec la nature et ses dons, parmi lesquels nos compagnons de toujours la variole, la poliomyélite, la peste et le choléra.
Je voudrais implorer qu’on veuille bien nous épargner cette mauvaise querelle sur les libertés. Ce n’est pas le gouvernement, le pouvoir médical ou les partisans de la vaccination obligatoire qui les restreignent, c’est la pandémie. (…) Les mesures annoncées sont les conditions de son rétablissement.
La très grande majorité des Français réalise que c’est en bornant quelques libertés aujourd’hui qu’on a une chance d’en sauver de bien plus précieuses en septembre.
La vaccination pour tous c’est la liberté pour tous. Les droits de chacun doivent être respectés. Les contraintes excessives évitées. Mais à condition de ne pas mettre en danger la santé d’autrui et de ne pas oublier que le corollaire de la liberté, c’est la responsabilité.