Vous en PENSEZ quoi de NIETZSCHE ?
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Nietzsche
C'est un philosophe qui s'en prend à la singularité de l'ousia de la société non nihiliste sans se référer au fatum de chaque quiétisme qui a affranchi les différentes époques. A côté de cela, il n'hésite pourtant pas à octroyer l'occultisme de gens qui apprennent la tradition avec témérité.
Également, sa pensée est parallèle à la pluralité de l'organon des kairos, alors que lui même est un "mineur" de la métaphysique. D'ailleurs, le qualia omnipotent qu'il nous fait face à Fraud et Camus font du tort à l'éternel retour. Sa vision du surhomme est juste synonyme de remord face l'incapacité du dandysme et de la dégénérescence qu'il reconnaît perdre de contrôle.
L’omniprésence de son agapè face à la sélection naturelle l'empêchera de remettre en cause les fondements basiques de l'Homme qui le bloqueront de son étude métaphysique irrationnelle dû à l'aliénation qui en sortira de ses défaites antéprédicatifs
Le 20 juillet 2021 Ă 17:17:03 :
NietzscheC'est un philosophe qui s'en prend à la singularité de l'ousia de la société non nihiliste sans se référer au fatum de chaque quiétisme qui a affranchi les différentes époques. A côté de cela, il n'hésite pourtant pas à octroyer l'occultisme de gens qui apprennent la tradition avec témérité.
Également, sa pensée est parallèle à la pluralité de l'organon des kairos, alors que lui même est un "mineur" de la métaphysique. D'ailleurs, le qualia omnipotent qu'il nous fait face à Fraud et Camus font du tort à l'éternel retour. Sa vision du surhomme est juste synonyme de remord face l'incapacité du dandysme et de la dégénérescence qu'il reconnaît perdre de contrôle.
L’omniprésence de son agapè face à la sélection naturelle l'empêchera de remettre en cause les fondements basiques de l'Homme qui le bloqueront de son étude métaphysique irrationnelle dû à l'aliénation qui en sortira de ses défaites antéprédicatifs
Le 20 juillet 2021 Ă 17:17:03 :
NietzscheC'est un philosophe qui s'en prend à la singularité de l'ousia de la société non nihiliste sans se référer au fatum de chaque quiétisme qui a affranchi les différentes époques. A côté de cela, il n'hésite pourtant pas à octroyer l'occultisme de gens qui apprennent la tradition avec témérité.
Également, sa pensée est parallèle à la pluralité de l'organon des kairos, alors que lui même est un "mineur" de la métaphysique. D'ailleurs, le qualia omnipotent qu'il nous fait face à Fraud et Camus font du tort à l'éternel retour. Sa vision du surhomme est juste synonyme de remord face l'incapacité du dandysme et de la dégénérescence qu'il reconnaît perdre de contrôle.
L’omniprésence de son agapè face à la sélection naturelle l'empêchera de remettre en cause les fondements basiques de l'Homme qui le bloqueront de son étude métaphysique irrationnelle dû à l'aliénation qui en sortira de ses défaites antéprédicatifs
Résumé simple :
Nietzsche va s’opposer au pessimisme et au nihilisme de Schopenhauer et des bouddhistes, mais aussi au christianisme, qui constitue à ses yeux une illusion dérisoire et autodestructrice. Le christianisme entretient effectivement un rapport assez particulier avec la souffrance, notamment par le biais de la crucifixion de Jésus. Pour les chrétiens, la souffrance n’est pas vaine, car elle permet d’expier les péchés, et plus particulièrement le péché originel. Dans cette perspective, la souffrance a donc un sens et une valeur morale. Cela revient une fois de plus à dire que l’existence est souffrance, mais pour les chrétiens, cette souffrance s’avère libératrice et rédemptrice.
Nietzsche a toujours été profondément choqué par cette «glorification» de la souffrance, et plus particulièrement par la dévalorisation de la vie terrestre qui en découle – les souffrances ici-bas étant justifiées par la promesse d’une vie après la mort. Pour Nietzsche, au contraire, la souffrance n’a en elle-même aucun sens ni aucune valeur. Mais elle n’en constitue pas moins une dimension inévitable de l’expérience humaine. Tenter de la supprimer est donc vain, mais plus malsaine encore est l’idée selon laquelle la souffrance serait bonne ou utile.
Pour Nietzsche, il faut concevoir la souffrance par-delà les concepts de bien et de mal. En elle-même, la souffrance n’apporte aucun bienfait, mais puisqu’elle est inéluctable, nous devons apprendre à la supporter et à la surmonter. Plus fondamentalement, nous devons apprendre à aimer la vie en dépit de ses imperfections. En ce sens, accueillir la souffrance et la surmonter constitue la plus haute forme d’affirmation de la vie. On reconnaît ici les caractéristiques du Surhomme de Nietzsche, un être libéré des illusions et de la mauvaise conscience imposées par les religions et qui embrasse pleinement l’existence.
Le 20 juillet 2021 Ă 17:17:03 :
NietzscheC'est un philosophe qui s'en prend à la singularité de l'ousia de la société non nihiliste sans se référer au fatum de chaque quiétisme qui a affranchi les différentes époques. A côté de cela, il n'hésite pourtant pas à octroyer l'occultisme de gens qui apprennent la tradition avec témérité.
Également, sa pensée est parallèle à la pluralité de l'organon des kairos, alors que lui même est un "mineur" de la métaphysique. D'ailleurs, le qualia omnipotent qu'il nous fait face à Fraud et Camus font du tort à l'éternel retour. Sa vision du surhomme est juste synonyme de remord face l'incapacité du dandysme et de la dégénérescence qu'il reconnaît perdre de contrôle.
L’omniprésence de son agapè face à la sélection naturelle l'empêchera de remettre en cause les fondements basiques de l'Homme qui le bloqueront de son étude métaphysique irrationnelle dû à l'aliénation qui en sortira de ses défaites antéprédicatifs
Le 20 juillet 2021 Ă 17:20:34 :
Résumé simple :Nietzsche va s’opposer au pessimisme et au nihilisme de Schopenhauer et des bouddhistes, mais aussi au christianisme, qui constitue à ses yeux une illusion dérisoire et autodestructrice. Le christianisme entretient effectivement un rapport assez particulier avec la souffrance, notamment par le biais de la crucifixion de Jésus. Pour les chrétiens, la souffrance n’est pas vaine, car elle permet d’expier les péchés, et plus particulièrement le péché originel. Dans cette perspective, la souffrance a donc un sens et une valeur morale. Cela revient une fois de plus à dire que l’existence est souffrance, mais pour les chrétiens, cette souffrance s’avère libératrice et rédemptrice.
Nietzsche a toujours été profondément choqué par cette «glorification» de la souffrance, et plus particulièrement par la dévalorisation de la vie terrestre qui en découle – les souffrances ici-bas étant justifiées par la promesse d’une vie après la mort. Pour Nietzsche, au contraire, la souffrance n’a en elle-même aucun sens ni aucune valeur. Mais elle n’en constitue pas moins une dimension inévitable de l’expérience humaine. Tenter de la supprimer est donc vain, mais plus malsaine encore est l’idée selon laquelle la souffrance serait bonne ou utile.
Pour Nietzsche, il faut concevoir la souffrance par-delà les concepts de bien et de mal. En elle-même, la souffrance n’apporte aucun bienfait, mais puisqu’elle est inéluctable, nous devons apprendre à la supporter et à la surmonter. Plus fondamentalement, nous devons apprendre à aimer la vie en dépit de ses imperfections. En ce sens, accueillir la souffrance et la surmonter constitue la plus haute forme d’affirmation de la vie. On reconnaît ici les caractéristiques du Surhomme de Nietzsche, un être libéré des illusions et de la mauvaise conscience imposées par les religions et qui embrasse pleinement l’existence.
https://www.lequotidien.com/chroniques/sebastien-levesque/faut-il-souffrir-pour-etre-heureux-0788ec71792c8c89864aa9cb8ab765f9
C’est un bon début. Il manque l’aspect initiatique maintenant.
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Données du topic
- Auteur
- Haszaz
- Date de création
- 20 juillet 2021 Ă 17:12:57
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