Topic de panzernouille :

[COVID] Les pro-vax, vous répondez quoi à cet argument ?

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Le Covid ne tue que les personnes qui ont une espérance de vie résiduelle.
Or les effets à long termes des vaccins sont inconnus. Il pourraient être léthaux dans 100% des cas.
Donc il est plus prudent pour un jeune en bonne santé de ne pas se faire vacciner :)
Les effets à long terme d'une infection covid sont aussi inconnus, elle pourrait se révéler létale dans 100% des cas :hap:
Vaccin ou pas, maladie ou pas, tu as 100% de mourrir

Le 21 juillet 2021 à 07:39:54 :
Les effets à long terme d'une infection covid sont aussi inconnus, elle pourrait se révéler létale dans 100% des cas :hap:

On a du recul sur les coronavirus en général, y compris sur le SARS-CoV-1 qui était bien plus léthal. :)

Le 21 juillet 2021 à 07:40:03 :
Vaccin ou pas, maladie ou pas, tu as 100% de mourrir

Ui mais comment je maximise mon espérance de vie ? :)

Faut il les sacrifier pour autant ?
Parce que tu as peur ?

Et si tous les "espérance de vie résiduel" vont à l'hosto les "autres" ne seront plus soignés

Le 21 juillet 2021 à 07:46:19 :
Faut il les sacrifier pour autant ?
Parce que tu as peur ?

Et si tous les "espérance de vie résiduel" vont à l'hosto les "autres" ne seront plus soignés

Le problème c’est que pour sauver quelques années d’espérance de vie résiduelle tu accepte de facto de condamner un certains nombre de jeunes en bonne santé à des effets très graves

C’est statistique

Le 21 juillet 2021 à 07:46:19 :
Faut il les sacrifier pour autant ?

Dans l'autre sens faut-il risquer de sacrifier les jeunes pour possiblement sauver les vieux ? :)

Parce que tu as peur ?

Il est pas question de sentiment :)

Et si tous les "espérance de vie résiduel" vont à l'hosto les "autres" ne seront plus soignés

On peut augmenter les capacités, on peut aussi donner priorité a ceux qui ont l'espérance de vie la plus grande :)

On reprend la discussion les copains :)

Les vaccins à ARN ne correspondent pas à la définition d'une thérapie génique, dans le sens ou le vaccin n'a pas pour but de modifier l'ADN de celui qui le reçoit.

Pour cela, l'ARNm devrait entrer dans le noyau des cellules (ce qui est quasi-impossible), puis s'intégrer à l'ADN contenu dans le noyau (possible mais peu probable) et à un endroit de l'ADN qui permette l'activation de l'ARN virale.

L'ARN viral du vaccin reste dans le cytoplasme, un corps liquide qui entoure le noyau où il est utilisé comme modèle pour créer une protéine du virus qui sera reconnu par notre système immunitaire. Il faut plus que cette protéine pour que le virus soit fonctionnel.

La technique du vaccin à ARN est connue depuis 1990 et les premier vaccins on vus le jour dans les années 2010, il y en avait plusieurs utilisés avant 2020, notamment le vaccin contre l'influenza porcine.
On peut aussi parler du vaccin contre la rougeole (une partie du fameux vaccin ROR), qui est simplement une injection d'une forme atténuée du virus responsable de la rougeole. Ce virus est un virus à ARN, on injecte donc l'ARN du virus dans ce vaccin. C'est pas vraiment pareil que le vaccin à ARNm, mais ça montre qu'on à déja utilisé l'ARN dans un vaccin.

L'ARNm est dégradé extrêmement rapidement dans et hors de nos cellules, c'est une molécule instable et fragile. Il n'y a pas de raison de penser qu'il existe un risque à long terme.
Cependant, les scientifiques ont quand même vérifier ce point : ils ne retrouvent pas la protéine Spike dans les gonades (donc pas de risque de transmission à la descendance) et l'ARNm est efficacement dégradé par les cellules.

Les études sur plus de 70 000 personnes n'ont révélé aucun risque notable sur la santé des vaccinés. Si 2.7% de ces 70 000 avaient eu des complication, on ne serait pas passé à coté.
Vacciner les personnes âgées en premier est la méthode logique à suivre : c'est la population la plus a risque, elle a le plus fort taux de décès. De même, on a commencé par vacciner de la rougeole les enfants et non les jeunes adultes par exemple, parce que c'était la population la plus à risque. Ils ne sont donc pas utilisés comme cobaye, les cobayes étaient les ~70 000 volontaires qui ont participé à l'étude sur ce vaccin avant qu'il ne soit commercialisé.

Il n'y a aucun traitement avec une efficacité comparable à celle du vaccin, principalement parce que les traitement médicamenteux sont inefficaces sur le formes grave du COVID.
Les patients HIV sont traités à part car leur maladie implique qu'ils sont immunodéprimés, et donc très à risque et à suivre avec une attention particulière.
La transmission à la descendance se fait par les gamètes (spermatozoïde, ovule). On injecte l'ARN dans les cellules du muscle du bras... Des vérification obligatoire (qu'on appel contrôle négatif) ont évidemment été faite pour s'assurer que une transmission à la descendance n'était jamais observé.

Donc au final les effets à long termes du vaccin sont assez mince pour passer à côté. La seule différence entre les non-vacciné et vacciné ça sera l'hospitalisation en cas de contamination.

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panzernouille
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21 juillet 2021 à 07:38:01
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