Bonjour,
ce sont les députés qui votent les lois, et pas le président de la république lui-même.
Ainsi, si nous faisons suffisamment pression sur nos députés, le pass sanitaire obligatoire voulu par Macron ne se fera pas.
COMMENT SAVOIR QUI EST MON DEPUTE ?
Allez sur : https://www.nosdeputes.fr/
Dans "trouver son député", écrivez votre code postal
COMMENT CONTACTER MON DEPUTE ?
Le moyen le plus simple est d'écrire un mail à l'adresse suivante :
mailto:prenom.nom@assemblee-nationale.fr
EXEMPLE DE MAIL A ENVOYER
Bonjour monsieur XX,
je vous écris afin de vous demander de vous opposer, en tant que député de la XXème circonscription de XX, au projet de loi proposé par Emmanuel Macron, qui rendra de facto obligatoire la vaccination pour de très nombreuses professions; première étape avant la probable instauration d'une vaccination obligatoire pour tous à l'Automne. Je crois en effet qu'en dépit de votre appartenance à la majorité présidentielle, il est de votre devoir d'aller à l'encontre des instructions du président de la république dans le cas présent, afin de défendre les libertés fondamentales de vos administrés.
Ma demande s'appuie principalement sur l'argument suivant :
Le processus de développement d’un médicament se fait en 4 phases (source: site de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale INSERM : https://www.inserm.fr/recherche-inserm/recherche-clinique/essais-cliniques-recherches-interventionnelles-portant-sur-produit-sante ). En résumé :
- La phase I teste la non-toxicité de la substance
- La phase II teste la tolérance au traitement et l'efficacité de la substance
- La phase III teste l’intérêt thérapeutique de la substance. A l'issue de cette phase, le médicament obtient une autorisation de mise sur le marché (A l'exception des vaccins contre le COVID, qui ont reçu leur autorisation spéciale de mise sur le marché alors que la phase III n'est pas tout à fait terminée)
- La phase IV, intervient de façon continue suite à la mise sur le marché : " elle permet de suivre l’utilisation du médicament à long terme, dans des conditions réelles d’utilisation, afin de détecter des effets indésirables rares, des complications tardives ou encore des biais de prescription ou un mauvais usage."
Or, les vaccins contre le COVID19 actuellement injectés au peuple français n'ont même pas encore complètement terminé la phase III de ce processus. Ainsi, nous ne disposons pas à l'heure actuelle du recul suffisant (lié à la phase IV) afin de juger des éventuelles complications tardives liées aux vaccins.
Dans ces conditions, imposer des restrictions abusives de liberté aux personnes non vaccinées constitue une négation du principe de précaution, au regard des éventuels effets indésirables qui pourraient survenir dans le temps long. Je ne remets toutefois pas en cause la liberté des personnes qui le souhaiteraient de se faire vacciner : le vaccin peut présenter une balance bénéfice/risque avantageuse pour les personnes âgées ou à comorbidité. Pour les personnes jeunes et bien-portantes, cela est beaucoup moins certain, notamment du fait de ces effets secondaires sur le temps long qui n'ont pas encore pu être évalués.
En amont de l’élection législative de juin 2022 ; je prendrai note de la façon dont vous vous serez positionnée sur ce dossier, et encouragerai tous mes amis et toute ma famille à voter contre vous si vous soutenez la proposition du président de la république.
Merci pour l'attention que vous aurez portée à ce message.
Cordialement,
