Jusqu'au jour de ma mort devant le Ciel Que je n'aie le moindre soupçon de honte... Moi qui a toujours été sensible Au seul bruissement même du vent dans le feuillage !
D'un coeur qui chante les étoiles Je dois aimer tout ce qui va mourant Et parcourir Le chemin qui m'est donné.
Cette nuit encore les étoiles se laissent caresser par le vent.