Au bout de six mois, Poppy donnait des signes de maturité sexuelle. Il se frottait de plus en plus régulièrement sur ma jambe et je pouvais voir son sexe rouge sortir de sa gaine. Je dois avouer que ça ne me laissait pas indifférente et pour être plus franche, ça me fascinait. C’était comme si le gland de mon cher et tendre faisait 10cm de long (le gland seul ; il n’y a aucune raison de faire le fier avec une queue de 10cm). Je savais que ce n’était pas très correct mais je ne pouvais pas m’empêcher de me demander ce que ça ferait d’avoir un tel morceau dans la bouche. Peut-être trouverez-vous cette idée dégoûtante mais pour ma part, je n’ai jamais rien trouvé de dégouttant dans le sexe de mon Poppy. Je le trouverais même plus appétissant que celui d’un homme parce que c’est comme un gland sur toute la longueur, sans aucune partie de peau.
Un matin, après que mon mari soit parti, je me reposais sur le lit. J’étais sur le ventre et un de mes bras pendait à côté du matelas. Poppy est entré dans la chambre et a commencé à se frotter sur mon bras. Il était déjà adulte et mesurait un peu moins de 40 centimètres et pesait dans les 15 kilos. Comme je portais une robe à manches courtes, je sentais son sexe sur ma peau.