Insurrection.

Salut à tous,

Mes clés, l'heure est grave. Comme moi, vous avez tous entendu le discours de l'abruti mondialiste en chef qui nous sert de président, lequel n'en finit plus de pousser son agenda politique bizarre que d'autres ont écrit par avance pour lui afin d'achever de sacrifier la France sur l'autel de je ne sais quel projet mortifère pour notre pays, ceci à tous niveaux (enfin, en l'occurrence à force on commence à savoir de quoi il retourne, mais là n'est pas le sujet présentement).

Comme moi, vous n'en pouvez plus de la gigantesque farce qui se trame dans ce pays depuis maintenant bien trop longtemps pour un virus dont le taux de mortalité s'élève au chiffre astronomique de 0.05% pour une moyenne d'âge des victimes se situant aux alentours des 70 ans, en étant gentil, sans même parler de comorbidités, et pour la faire courte.

Vous constatez comme moi, et ce jour après jour, le lent délitement de la situation, annonce creuse après annonce creuse de ces représentants politiques qui ne représentent plus rien sinon eux-mêmes et les intérêts contraires à ceux du peuple qu'ils s'évertuent à porter.

Comme moi, vous gardez en tête l'ensemble des déclarations contradictoires qui furent prononcées par les soi-disant experts de tous bords et tous milieux concernant, au choix, l'efficacité puis la non-efficacité des masques portés en extérieur ou en intérieur, la possibilité de contamination par le fameux COVID-19 en extérieur (laquelle est quasiment inexistante), les accusations de complotisme envers ceux qui il y a encore un an de cela émettaient la thèse d'une fuite du virus d'un laboratoire chinois, thèse devenant soudainement médiatiquement acceptable à la suite du leak des mails de monsieur COVID aux USA, a.k.a monsieur Anthony Faucy ; etc, etc, etc...

Il y aurait tant et tant à rappeler encore, les niveaux de compromission médiatique et politique atteignant désormais des niveaux stratosphériques en tous domaines. Le fait que l'hydroxychloroquine ait été interdite à la vente à peine quelques semaines après l'émergence du virus en début 2020 alors qu'elle était en vente libre en pharmacie jusqu'alors, qu'elle avait été utilisée sur des milliards d'être humains avant cela contre notamment le paludisme avec des effets secondaires inexistants, et, contre le COVID, avec au mieux des résultats encourageants, au pire une inefficacité bénigne.

Le fait que les laboratoires pharmaceutiques à l'origine de la production des différents vaccins aient, d'une part, été aux prises avec moult scandales industriels de conflits d'intérêt en tous genre sur lesquels on ne reviendra pas, et d'autre part, ont signé des clauses de non-responsabilité relativement aux effets secondaires de long-terme que pourraient entraîner sur les populations l'administration de leurs vaccins.

Eux peuvent se permettre de signer ce genre de clause de non-responsabilité et ne devoir répondre de rien, en revanche, vous, nous, moi, simples citoyens, sommes qualifiés d'irresponsables dès lors que nous refusons de nous voir administrer leurs cocktails douteux à base notamment d'ARN messager dont les conséquences de long-terme sont mal connues, et contre lesquelles nombre de professionnels de la santé nous ont mis en garde, au premier rang desquels le professeur Christian Perronne par exemple, jusque-là 100% pro-vaccin, ce qui lui aura coûté son poste de chef de service, la généticienne Alexandra Henrion-Caude, le docteur Louis Fouché, et bien d'autres encore que l'on pourrait citer.

Le fait que la situation actuelle soit notamment due à des années de politiques néolibérales impulsées sous la férule de l'UE pour la désindustrialisation progressive de la France, à travers en premier lieu la libre circulation des biens et des capitaux au sein des états membres inscrite dans la constitution, permettant les délocalisations massives de nos usines, nous rendant dépendant en termes de production - de masques notamment - des états disposant des infrastructures nécessaires pour leur fabrication.

La fermeture de nombreux lits de réanimation sur les dernières années ; la gestion des hôpitaux s'apparentant progressivement à celle d'une entreprise en flux tendus et soumise à des exigences absconses de rentabilité ; le refus dogmatique de fermer les frontières nationales au moment de l'émergence de l'épidémie pour ne fermer que celles propres à l'espace Shengen, etc, etc, etc... Autant de choses contre lesquelles Macron fait aujourd'hui mine de s'insurger a posteriori et contre lesquelles il ne fera strictement rien, à ce stade il n'y a plus que les aveugles les plus finis pour croire à un infléchissement de sa politique dans ces domaines, il faut se rendre à l'évidence.

Sans compter les innombrables scandales ayant rythmé la vie publique ces derniers mois sur tout un tas de sujets divers et variés relatifs à la " pandémie ", au confinement, aux couvre-feux en tous genres dont personne n'a d'ailleurs jamais su amener la preuve scientifique concrète que ces mesures changeaient quoi que ce soit à la propagation ou non du virus, au contraire : l'affaire Chalençon notamment et par exemple, laquelle aura été, comme le reste une fois de plus, laissée aux oubliettes médiatiques sans que l'on n'en entende plus du tout parler dorénavant.

Le fait, enfin que, désormais, et ce après nous avoir assuré en 2020 que cela ne serait jamais le cas, la vaccination va devenir de facto obligatoire pour nous tous, à travers l'étendue du pass sanitaire à la quasi-intégralité des compartiments de la vie, essentiels ou non par ailleurs, via l'adoption de ce dernier dans les endroits les plus communs, et le non-remboursement des tests PCR dont le montant s'élève à 80€, à présenter à l'entrée des lieux de +50 personnes faute de pass sanitaire donc.

EN EFFET, la vaccination n'est pas LITTÉRALEMENT obligatoire, mais à moins d'être millionnaire, ce qui n'est guère mon cas tout comme vous je suppose, personne ne va s'amuser à sortir 80€ de sa poche chaque fois qu'il voudra aller prendre un café en terrasse ou faire ses courses au supermarché. De fait, il s'agit bien d'une mesure totalitaire prise sous couvert de restrictions sanitaires totalement illégitimes pour un virus aussi peu meurtrier, les statistiques le montrent amplement.

Bref, nul besoin je crois d'aligner les faits plus longtemps. La question est désormais simple :

QUAND ALLONS-NOUS ENFIN NOUS SOULEVER NOM DE DIEU

L'enjeu est aujourd'hui crucial. Moi qui m'étais quelque peu résigné ces derniers temps face à la puissance de la machine, je m'aperçois qu'il pourrait bientôt s'avérer trop tard - à moins que cela ne soit déjà le cas - pour faire marche arrière relativement au dévoiement progressif de nos libertés les plus fondamentales. Le discours de Macron de ce soir fut la goutte de trop.

Accepter aveuglément cette énième série de mesures sans queue ni tête et quasiment aucun fondement scientifique que l'exécutif essaiera de faire passer au forceps, pourrait bien nous être fatal politiquement parlant. Ce soir, c'était la carotte de trop.

Accepter la présente série de mesures, c'est au fond accepter de mourir en tant que nation, et de mourir à soi-même. Cela préfigurera - ou parachèvera - notre asservissement total et progressif, contre lequel ceux que nombre d'imbéciles à courte vue (pour rester courtois) qualifient ici de " complotistes " vous auront tant et tant averti.

L'extension du pass sanitaire de la sorte à tous les domaines de l'existence est la porte ouverte à toute série de mesures liberticides futures, et à des démarches encore bien pires à l'avenir ; l'accepter sans broncher nous condamnera tous collectivement à terme, que vous vous définissiez " complotiste " certes, et ce quand bien même vous ne vous définiriez pas de la sorte (surtout dans ce cas d'ailleurs).

Bref, nul besoin d'étendre le propos éternellement, je crois que vous avez compris. L'heure n'est plus aux tergiversations, il nous faut désormais agir, et réfléchir concrètement et rapidement à la façon dont agir, à commencer par notre environnement direct certes, mais également à un niveau global, et centralisé, au plus près des arcanes du pouvoir. Manifester le dimanche après-midi en vandalisant des boutiques et via un parcours balisé et encadré par la police, en s'arrêtant au troquet du coin et au barbeuc de Gégé pour manger ses saucisses, c'est cool, ça défoule, mais ça n'est pas ça qui provoquera le début d'une once d'un tremblement du pouvoir. Il faut plus que cela.

Si vous pensez que nous ne serions pas assez pour faire vaciller les tartuffes qui se foutent ouvertement de notre gueule à l'Élysée et plus insidieusement dans les coulisses de l'état profond quotidiennement (lobbyistes de Bruxelles, de la santé, administration permanente), détrompez-vous ; historiquement parlant, cela aura toujours été le fait d'une minorité agissante et déterminée que de faire changer les choses, que de passer à l'action pour opérer un changement radical de paradigme.

Attendre des masses aveugles, informes, et molles qu'elles rejoignent le combat est illusoire. Il faut s'entourer des gens intrinsèquement motivés et prêts à donner de leur personne pour tenter quoi que ce soit qui pourrait s'apparenter à un début de soulèvement un tant soit peu crédible. Je n'en dirai pour l'instant pas davantage afin de ne pas risquer le ban, si tant est que ce que j'ai dit jusque-là ne puisse pas déjà motiver un tel acte.

En conclusion mes kheys, la première chose à faire est de ne clairement pas se laisser faire. Personnellement, à moins que l'on ne me force physiquement ou qu'on m'assassine fiscalement, il est tout bonnement hors de question que je n'entreprenne quoi que ce soit comme démarche pour aller me faire vacciner " de mon plein gré ".

Il faut en parler autour de soi et tenter d'alerter les gens sur les dérives en cours et ce qu'elles prophétisent pour la suite. L'heure est véritablement grave. Elle l'était déjà bien longtemps auparavant sous bien d'autres aspects certes, mais ce soir, un nouveau cap décisif a été malheureusement franchi.

Je ne peux à ma modeste échelle pas faire grand chose de plus, ayant désactivé Facebook, que de vous partager le présent texte, dont l'écriture en elle-même m'aura à tout le moins permis de me décharger, de même, je l'espère, que sa lecture pour ceux qui auront eu le courage de la pousser jusqu'à son terme.

Je vais en tout cas pour ma part réfléchir à des actions concrètes à initier autour de moi et à un niveau plus global encore, en utilisant ce merveilleux canal de communication moderne qu'est Internet ; il doit bien y avoir un moyen. Dans tous les cas, se laisser faire sans rien dire relève à ce stade, au mieux, soit de l'aveuglement inconscient sinon complice, au pire, à la volonté de se laisser mourir en tant qu'être humain pourvu d'une âme et en tant que peuple, chose à laquelle un trop grand nombre ici semble hélas s'être résigné. Réveillez-vous bon sang.

En guise de bonus, je crois qu'il est légitime ici de citer une nouvelle fois ce court poème du pasteur Martin Niemöller, constatant l'accession progressive au pouvoir des nazis dans l'Allemagne des années 30. Aujourd'hui, guère plus de nazis - et, hélas, de syndicalistes, en nombre infime, sinon infiltrés - mais une dictature ultralibérale des super-riches globalistes à l'encontre de leurs populations ; le procédé reste le même. Texte que j'adresse à tout le monde, mais tout particulièrement à ceux qui critiquent vertement les clés présent sur le forum tentant d'avertir les autres des dérives passées ou en cours en tous domaines, ou qui, parfois maladroitement certes, peuvent s'interroger sur ces dernières ; à bon entendeur.

P.S : gardez vos arguments de " desco anti-vax " ad hominem complètement foireux pour vous. En l'occurrence, je suis ingé d'une " top 20 " en poste.

Le 12 juillet 2021 à 22:34:28 :
ce pavé

Lis-le !!!

Up

Plus personne n'a le droit de se laisser faire