Emmanuel Macron "Nous entrons tous dans l’impensable"

« il faut être disponible pour le destin. Moi je suis dans un état de disponibilité pour agir. (….) Je crois que notre génération doit savoir que la bête de l’évènement est là et elle arrive»

Emmanuel Macron, le 16 avril 2020 pour le Financial Times, quotidien économique et financier britannique généralement considéré comme le quotidien économique de référence en Europe.

https://www.youtube.com/watch?v=VCd_fffVIP0
https://www.youtube.com/watch?v=tMpXAW7Kb34

« Il faut le faire en restant conforme à ces principes et ne rien céder mais en étant, disponible à l’événement et pour qu’advienne quelque chose de nouveau»

« Je pense que ces moments-là sont ceux qui nous permettent aussi d’inventer, peut-être, quelque chose de nouveau pour notre humanité.»

« accepter l’événement tel qu’il arrive »

« Je ne rentrerai pas dans ces catégories qui sont celles du XXème siècle. Pourquoi voulez-vous, alors que l’impensable advient»

« Nous entrons tous dans l’impensable. Et donc nous sommes tous confrontés à cette obligation profonde d’inventer quelque chose de nouveau, parce que c’est ce qu’il nous reste à faire. »

« Je n’ai jamais eu le sentiment que je faisais une carrière. Et depuis que je suis rentré dans le champ politique, je vis ça comme une mission. Et en tout cas la conviction qu’il existe une transcendance, oui. Quelque chose qui dépasse. Qui vous dépasse. Qui vous a précédé, et qui restera. »

Chaud

Étrange ce lexique, ce vocabulaire, ces symboles..

Macron n'a jamais fait autre chose que de déblatérer des phrases sans aucun sens dissimulé derrière un vocabulaire faussement erudi.

C'est de la communication par le vide.

Les golems "Athée/Tinder/Voyage/Terrasse/Insta/Lavydavant"

Les maîtres du monde "la bête de l’évènement est là et elle arrive" / " Nous entrons tous dans l’impensable." / "Quelque chose qui dépasse. Qui vous dépasse. Qui vous a précédé, et qui restera"

Chaud

Les golems "bye bye le covid c'est terminé! "

Macron « Pourquoi voulez-vous, alors que l’impensable advient»

Dur