La SÉLECTION NATURELLE des ANTIVAX
Supprimé- 1
Article L3111-1 du code de la santé publique
Modifié par LOI n°2017-1836 du 30 décembre 2017 - art. 49 (V)
La politique de vaccination est élaborée par le ministre chargé de la santé qui fixe les conditions d'immunisation, énonce les recommandations nécessaires et rend public le calendrier des vaccinations après avis de la Haute Autorité de santé.
Un décret peut, compte tenu de l'évolution de la situation épidémiologique et des connaissances médicales et scientifiques, suspendre, pour tout ou partie de la population, les obligations prévues aux articles L. 3111-2 à L. 3111-4, L. 3111-6 et L. 3112-1.
Dans le cadre de leurs missions, les médecins du travail, les médecins des infirmeries des établissements publics locaux d'enseignement et des services de médecine préventive et de promotion de la santé dans les établissements d'enseignement supérieur, les médecins des services de protection maternelle et infantile et des autres services de santé dépendant des conseils départementaux ou des communes et les médecins des centres pratiquant les examens de santé gratuits prévus à l'article L. 321-3 du code de la sécurité sociale participent à la mise en oeuvre de la politique vaccinale.
Article L3111-2
Modifié par LOI n°2017-1836 du 30 décembre 2017 - art. 49 (V)
I.-Les vaccinations suivantes sont obligatoires, sauf contre-indication médicale reconnue, dans des conditions d'âge déterminées par décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Haute Autorité de santé :
1° Antidiphtérique ;
2° Antitétanique ;
3° Antipoliomyélitique ;
4° Contre la coqueluche ;
5° Contre les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b ;
6° Contre le virus de l'hépatite B ;
7° Contre les infections invasives à pneumocoque ;
8° Contre le méningocoque de sérogroupe C ;
9° Contre la rougeole ;
10° Contre les oreillons ;
11° Contre la rubéole.
**
Reste plus qu'à ajouter un 12° au texte très prochainement s'agissant du coronavirus.
La sélection n'en sera plus que naturelle pour les antivax.
Les collabos provax qui croient que collaborer suffira pour s'en sortir
Résumé : le sénat propose une société dystopique à la chinoise avec bracelet électronique, pass sanitaire, drones, vous êtes H24 surveillés physiquement/numériquement dans un serveur national, caméras thermiques et à reconnaissance faciale, boucler des zones en quarantaine, éplucher vos conversations/factures, bloquer votre CB, taxe pour sortir etc
L'UE propose une identité numérique regroupant carte d'identité, carte bancaire, permis/titre de transport, diplômes etc : https://francais.rt.com/international/87359-ue-veut-mettre-place-identite-numerique-europeenne
Le 05 juillet 2021 à 21:56:13 LuckyLoop16 a écrit :
Les collabos provax qui croient que collaborer suffira pour s'en sortirRésumé : le sénat propose une société dystopique à la chinoise avec bracelet électronique, pass sanitaire, drones, vous êtes H24 surveillés physiquement/numériquement dans un serveur national, caméras thermiques et à reconnaissance faciale, boucler des zones en quarantaine, éplucher vos conversations/factures, bloquer votre CB, taxe pour sortir etc
L'UE propose une identité numérique regroupant carte d'identité, carte bancaire, permis/titre de transport, diplômes etc : https://francais.rt.com/international/87359-ue-veut-mettre-place-identite-numerique-europeenne
Depuis quand c'est le Sénat qui fabrique la loi le golem.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000041721056/
Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu'il lui fournit, les décisions concernant sa santé.
Toute personne a le droit de refuser ou de ne pas recevoir un traitement. Le suivi du malade reste cependant assuré par le médecin, notamment son accompagnement palliatif.
Le médecin a l'obligation de respecter la volonté de la personne après l'avoir informée des conséquences de ses choix et de leur gravité. Si, par sa volonté de refuser ou d'interrompre tout traitement, la personne met sa vie en danger, elle doit réitérer sa décision dans un délai raisonnable. Elle peut faire appel à un autre membre du corps médical. L'ensemble de la procédure est inscrite dans le dossier médical du patient. Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins palliatifs mentionnés à l'article L. 1110-10.
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.
Lorsque la personne est hors d'état d'exprimer sa volonté, aucune intervention ou investigation ne peut être réalisée, sauf urgence ou impossibilité, sans que la personne de confiance prévue à l'article L. 1111-6, ou la famille, ou à défaut, un de ses proches ait été consulté.
Le 05 juillet 2021 à 21:56:13 :
Les collabos provax qui croient que collaborer suffira pour s'en sortirRésumé : le sénat propose une société dystopique à la chinoise avec bracelet électronique, pass sanitaire, drones, vous êtes H24 surveillés physiquement/numériquement dans un serveur national, caméras thermiques et à reconnaissance faciale, boucler des zones en quarantaine, éplucher vos conversations/factures, bloquer votre CB, taxe pour sortir etc
L'UE propose une identité numérique regroupant carte d'identité, carte bancaire, permis/titre de transport, diplômes etc : https://francais.rt.com/international/87359-ue-veut-mettre-place-identite-numerique-europeenne
Le 05 juillet 2021 à 21:57:26 Cisla3Viandes a écrit :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000041721056/Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu'il lui fournit, les décisions concernant sa santé.
Toute personne a le droit de refuser ou de ne pas recevoir un traitement. Le suivi du malade reste cependant assuré par le médecin, notamment son accompagnement palliatif.
Le médecin a l'obligation de respecter la volonté de la personne après l'avoir informée des conséquences de ses choix et de leur gravité. Si, par sa volonté de refuser ou d'interrompre tout traitement, la personne met sa vie en danger, elle doit réitérer sa décision dans un délai raisonnable. Elle peut faire appel à un autre membre du corps médical. L'ensemble de la procédure est inscrite dans le dossier médical du patient. Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins palliatifs mentionnés à l'article L. 1110-10.
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.
Lorsque la personne est hors d'état d'exprimer sa volonté, aucune intervention ou investigation ne peut être réalisée, sauf urgence ou impossibilité, sans que la personne de confiance prévue à l'article L. 1111-6, ou la famille, ou à défaut, un de ses proches ait été consulté.
Heureusement que la loi spéciale déroge au général.
Le 05 juillet 2021 à 21:58:10 :
Le 05 juillet 2021 à 21:57:26 Cisla3Viandes a écrit :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000041721056/Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu'il lui fournit, les décisions concernant sa santé.
Toute personne a le droit de refuser ou de ne pas recevoir un traitement. Le suivi du malade reste cependant assuré par le médecin, notamment son accompagnement palliatif.
Le médecin a l'obligation de respecter la volonté de la personne après l'avoir informée des conséquences de ses choix et de leur gravité. Si, par sa volonté de refuser ou d'interrompre tout traitement, la personne met sa vie en danger, elle doit réitérer sa décision dans un délai raisonnable. Elle peut faire appel à un autre membre du corps médical. L'ensemble de la procédure est inscrite dans le dossier médical du patient. Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins palliatifs mentionnés à l'article L. 1110-10.
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.
Lorsque la personne est hors d'état d'exprimer sa volonté, aucune intervention ou investigation ne peut être réalisée, sauf urgence ou impossibilité, sans que la personne de confiance prévue à l'article L. 1111-6, ou la famille, ou à défaut, un de ses proches ait été consulté.
Heureusement que la loi spéciale déroge au général.
Mais en quoi on se fait sélectionné naturellement ?
À moins que tu faisais référence à la dangerosité du vaccin
Pour rappel le COMIRNATY niveau test sur la reproduction c'est ça :
(Sourcent : https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/710-covid-19-mrna-vaccine-bnt162b2 = site du gouvernement, pour les plus golemiques)
Ils n'ont même pas été au bout des tests sur les animaux concernant la toxicité pour la reproduction sur les rats avant de faire relever la manche aux Golems, et n'en ont même pas fait sur la grossesse et l'allaitement putain
Et maintenant le papa du vaccin ARn qui balance ça
Les Golems vaccinés qui n'arrivent plus à procréer. Ayaaaa tellement dystopique que ça pourrait arriver.
"Oups c'était une erreur, on savait pas"
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Données du topic
- Auteur
- CrocoDinguo9
- Date de création
- 5 juillet 2021 à 21:55:07
- Date de suppression
- 6 juillet 2021 à 18:33:14
- Supprimé par
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