Selon une étude publiée dans le journal de l'American Health Association par le professeur en physiologie de Stanford Ben Bilbock, on observerait, à partir de 25 ans, la sécrétion d'une hormone spécifique chez les hommes n'ayant jamais connu de rapport sexuel.
Parmi les effets répertoriés de ce que est déjà appelé 'the virgin hormone' dans la communauté scientifique, on retrouve :
* Développement de sentiments de colère à l'égard du sexe féminin.
* Déterioriation des facultés cognitives et logiques menant à des scénarios de type complotisme, paranoïa.
* Symptômes dépressifs
* Masturbation frénétique
* Baisse de la testostérone
* Calvitie précoce
* Gynécomastie
* perte de motivation et d'intérêt pour le lien social
Le pr. Bilbock, pessimiste, indique qu'il n'y a pour l'instant pas de remède à la sécretion excessive de puceline : 'Ces hommes, en plus d'être pas très beaux, deviennent à l'orée de la trentaine des cadavres ambulants : ils sont moins performants au travail, pleins d'une agressivité latente qu'ils n'arrivent pas à exprimer - malgré une psychologie déplorable et un retard social, on n'observe pas de cas de mort prématurée - nous avons peut-être ici la preuve que le sexe n'est pas un besoin' . Et le professeur émérite, de conclure : 'la Puceline possède sans doute un rôle compensatoire développé suite à la sédentarisation : malgré les effets négatifs de cette hormone, elle permet aux hommes vierges de rester en vie et de ne pas sombrer trop brutalement dans la dépression
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