Le désir des femmes me semble tellement insignifiant comparé au mien, leurs jouissances et leurs souffrances si peu intenses, leur émotivité si superficielle, que ce qu'elles peuvent faire de mieux c'est encore d'aller au devant de ma volonté en toute chose plutôt que de satisfaire leur propre vanité comme le font les féministes.
Je m'offre volontiers, moi, dur et sensible, avec ma volonté si grande, ma volonté qui donnerait du sens même à leur légèreté, mais ces créatures douces et insensibles n'ont en guise d'exigences que des critères éliminatoires, comme si éliminer les gens allaient leur permettre d'aimer ceux qui restent, comme si il n'y avait pour elles ni amour à trouver, ni tristesse à éviter, comme si les femmes n'avaient pas d'âme.
moi mâle moi Dieu moi Narcisse
elles echo sans fin, elles rien