Quand on la regarde la première fois, elle semble docile.
Calme, à l'abri dans un vêtement qui ne l'étouffe pas, dans un tissu doux et délicat, elle somnole, paisiblement.
Elle fait presque timide, fragile petite chose protégée par ses deux gardes du corps, des couilles énormes, synonymes de privation sexuelle à la limite de la torture physique et psychologique.
Énormes certes, mais rasées.
Le scrotum est aussi doux que les fesses d'un bébé, bien que les deux parties ne devraient jamais, au grand jamais, se rencontrer.
La douceur des couilles témoigne d'une hygiène de vie agreable et appréciable.
Malgré la misère qu'elles portent sur leur dos, elles sont prêtes à se laisser aspirer par la première bouche venue, tant qu'elle est validée par leur propriétaire.
Et la voilà, cette bouche, qui approche lentement, susurrant à ma bite quelques mots doux, chaleureux.
Le réveil se fait en douceur, ma bite est satisfaite.
Ma verge émerge, et cet organe il y a peu encore rabougri se met à gonfler de plus en plus à mesure que les doigts fins et chauds de cette inconnue se mettent à caresser sa peau, tendue et veinée comme si elle voulait imager sa chance.
Je peux lire sur le visage de la fille la surprise qu'elle ressent.
Surprise qui l'émerveille, elle qui voulait se faire défourailler la chatte comme jamais en ces temps monotones.
Mais le caractère sanguin de ma bite n'est que le début des nombreuses surprises que mon organe tumescent réserve à cette gourgandine callipyge.
Rêveur dans l'âme, ce trait d'esprit se reflète également sur ma bite, donc la forme suggère l'image d'une fusée : chaque centimètre qui pénètre dans sa stratosphère vaginale est un pur plaisir pour elle, et l'idée de la faire monter au septième ciel prend ainsi tout son sens.
Au diable les bites de chair à la forme de champignon, les fusées sanguines dominent, pour des siècles et des siècles encore.