[Officiel] Euro 2020
Le 23 juin 2021 à 18:51:56 VieGachet a écrit :
Pourquoi regarder le matche alors qu'on sait que la France est qualifiée ?
ça définit l'adversaire en 8e
c'est cool de regarder le match
si on joue bien notre coup on peut éliminer les portugais
Le 23 juin 2021 à 18:52:05 :
Le portugal qui a commander 20 litres de vaseline pour leurs fessiers
Pourquoi donc ?
Le 23 juin 2021 à 18:53:35 Paved_Adolf a écrit :
Adolf Hitler, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn en Autriche-Hongrie (aujourd'hui en Autriche et toujours ville-frontière avec l’Allemagne) et mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin, est un dirigeant politique allemand, fondateur et figure centrale du nazisme, instaurateur de la dictature totalitaire désignée sous le nom de Troisième Reich (1933-1945).Chef du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP), il devient chancelier le 30 janvier 1933. L'année suivante, après une violente opération d’élimination physique d’opposants et rivaux — connue sous le nom de nuit des Longs Couteaux — et la mort un mois après du vieux maréchal Hindenburg, alors président du Reich, il se fait aussitôt plébisciter — en août 1934 —comme chef de l'État, portant désormais le double titre de Führer (« guide ») et chancelier du Reich. Sa politique impérialiste, belliqueuse, expansionniste, anti-slave, antisémite et raciste est à l'origine du volet européen de la Seconde Guerre mondiale et en fait le responsable de crimes de guerre et crimes contre l'humanité ayant causé plusieurs dizaines de millions de victimes, crimes dont la Shoah reste le plus marquant. L'Allemagne nazie connaît d'abord une période de victoires militaires et occupe la majeure partie de l'Europe, mais elle est ensuite repoussée sur tous les fronts, puis envahie par les Alliés, à l'Est et à l'Ouest. Hitler se donne la mort alors que Berlin est investie par les troupes soviétiques. L’ampleur sans précédent des destructions, des pillages et des crimes de masse dont il est le responsable, tout comme le racisme radical singularisant sa doctrine et l'inhumanité exceptionnelle des traitements infligés à ses victimes lui ont valu d'être considéré de manière particulièrement négative par l'historiographie, par la mémoire collective et par la culture populaire en général. Son nom et sa personne font généralement figure de symboles répulsifs. Au printemps 1913, Adolf Hitler caresse l'espoir d'aller étudier à l'Académie de Munich. Pour ses vingt-quatre ans il attend la perception de son héritage paternel (819 couronnes). De plus, ayant omis de s'inscrire en 1909 pour effectuer son service militaire, il pense à présent que l'administration autrichienne l'a oublié et qu'il peut passer la frontière tranquillement. Le 24 mai, habillé correctement, portant une valise et accompagné d'un homme, le commis Rudolf Häusler, il quitte le foyer pour la gare. En plus d'être une ville d'art, Munich lui paraît familière car proche de sa région natale. Arrivés sur place, Häusler et Hitler louent une chambre au 34 Schleissheim. Häusler montre ses papiers autrichiens, Hitler se déclare apatride. En janvier 1914, Hitler reçoit l'ordre de se rendre au consulat d'Autriche dans les plus brefs délais pour rendre compte de sa désertion. Il explique qu'il se serait présenté à l'hôtel de ville de Vienne où il s'est fait enregistrer mais la convocation ne serait jamais arrivée. Qui plus est, il a peu de ressources et est affaibli par une infection. Le consul croit en sa bonne foi et le 5 février, Hitler est définitivement ajourné devant la commission militaire de Salzbourg. Pendant longtemps la présence d'Häusler aux côtés d'Hitler à Munich sera gommée, car il est l'un des rares témoins à connaître le rappel à l'ordre de l'armée autrichienne à Adolf Hitler qui n'a toujours pas fait son service militaire. Hitler ne souhaitait pas dévoiler cet épisode embarrassant. En réalité, il avait fui l'Autriche en refusant de porter les armes pour les Habsbourg. Comme à Vienne, Hitler vit de ses peintures. Il aime reproduire l'hôtel de ville, des rues, des brasseries, des magasins. Il vend chaque tableau entre cinq et vingt marks soit une centaine de marks par mois. Dans Mein Kampf, Hitler déclare avoir beaucoup lu et appris en politique à cette époque mais aucun document ne le prouve. Peut-être fréquente-t-il les bars et les brasseries où il discute de politique. Le soldat Hitler connaît son baptême du feu le 28 octobre 1914 près d'Ypres. Au 1er novembre, son bataillon est décimé : sur 3 600 hommes, 611 seulement restent opérationnels. Pour récompenser son courage, Hitler est proposé par l'adjudant Gutmann à la décoration de la croix de fer. Il a la position d'estafette auprès de l'état-major de son régiment : il va chercher les ordres des officiers pour les transmettre aux bataillons. En période de calme relatif, l'estafette Hitler sillonne la campagne des environs de Fournes pour peindre des aquarelles. Durant toute la durée de la guerre, Hitler n'est resté qu'au grade de caporal. Réputé pour son caractère difficile il est néanmoins apprécié de ses camarades. Lui proposer de « coucher avec des Françaises » le met hors de lui, puisque « contraire à l'honneur allemand ». Il ne fume pas, il ne boit pas, il ne fréquente pas le bordel. Le soldat Hitler s'isole pour réfléchir ou lire. Les quelques photographies connues de cette période présentent un homme pâle, moustachu, maigre souvent à l'écart du groupe. Son véritable compagnon est son chien Foxl et un jour il s'angoisse à l'idée de ne pas le retrouver : « Le salaud qui me l'a enlevé ne sait pas ce qu'il m'a fait. » Hitler est un véritable guerrier fanatique, aucune fraternité, aucun défaitisme ne doit être toléré. Début septembre 1919, le capitaine Karl Mayr, charge le caporal Hitler de surveiller un groupuscule politique ultra-nationaliste, le Parti ouvrier allemand, fondé moins d'un an plus tôt par Anton Drexler. À la fin d'une réunion dans une brasserie de Munich, il prend la parole à l'improviste pour fustiger la proposition d'un intervenant, favorable à une sécession de la Bavière78. Remarqué par Drexler, il adhère au DAP (Deutsche Arbeiterpartei : Parti ouvrier allemand) aussi sur ordre de ses supérieurs ; son numéro d'adhérent, le 555, est le reflet de la tradition, dans les partis politiques marginaux, qui font débuter leur liste d'adhésions au numéro 501. En février 1920, orateur principal du DAP, il transforme le parti en Parti national-socialiste des travailleurs allemands(NSDAP), pour aligner le parti sur des partis semblables en Autriche ou dans les Sudètes. Son charisme et ses capacités d'orateur en font un personnage prisé des réunions publiques des extrémistes de brasserie. Ses thèmes favoris — antisémitisme, antibolchevisme, nationalisme — trouvent un auditoire réceptif. En effet, il emploie un langage simple, utilise des formules percutantes et utilise abondamment les possibilités de sa voix. Mobilisant par ses discours, autant par les idées que par la gestuelle, de plus en plus de partisans, il se rend indispensable au mouvement au point d'en exiger la présidence, que le groupe dirigeant initial lui abandonne dès avril 1921 après un ultimatum de sa part. Du fait de ses talents d’agitateur politique, le parti gagne rapidement en popularité, tout en restant très minoritaire. Hitler dote son mouvement d'un journal, le Völkischer Beobachter, lui choisit le drapeau à croix gammée pour emblème, fait adopter un programme en 25 points (en 1920) et le dote d'une milice agressive, les Sturmabteilung (SA). Il change également de style vestimentaire, s'habille constamment de noir ou en tenue militaire, et c'est à cette époque également qu'il taille sa moustache qui devient, avec sa mèche sur le front, la plus célèbre de ses caractéristiques physiques. Au départ, Hitler se présente comme un simple « tambour » chargé d'ouvrir la voie à un futur sauveur de l'Allemagne encore inconnu. Mais le culte spontanément apparu autour de sa personnalité charismatique dans les rangs des SA et des militants le fait vite se convaincre qu'il est lui-même ce sauveur providentiel. À partir de 1921-1922, la conviction intime qu'il est désigné par le destin pour régénérer et purifier l'Allemagne vaincue ne le quitte plus. Son narcissisme et sa mégalomanie ne font en conséquence que s'accentuer, comme sa prédominance absolue au sein du mouvement nazi. C’est ce qui le différencie de Mussolini, au départ simple primus inter pares d'une direction collective fasciste, ou de Staline, qui ne croit pas lui-même à son propre culte, fabriqué tardivement. Au contraire, le culte du Führer s'organise rapidement, avec en ligne l'organisation du parti autour du Führerprinzip : tout tourne autour du Führer qui crée un lien de dépendance, au sens féodal du terme, entre ses fidèles et lui, la réponse de Hitler à ceux qui le saluent est en réalité une acceptation de l'hommage de ces derniers. Inspiré par la lecture du psychologue Gustave Le Bon, Hitler met au point une propagande violente mais efficace. « L'idée centrale de Hitler est simple : lorsqu'on s'adresse aux masses, point n'est besoin d'argumenter, il suffit de séduire et de frapper. Les discours passionnés, le refus de toute discussion, la répétition de quelques thèmes assénés à satiété constituent l'essentiel de son arsenal propagandiste, comme le recours aux effets théâtraux, aux affiches criardes, à un expressionnisme outrancier, aux gestes symboliques dont le premier est l'emploi de la force. Ainsi, quand les SA brutalisent leurs adversaires politiques, ce n'est pas sous l'effet de passions déchaînées, mais en application des directives permanentes qui leur sont données ». De sa vie, Hitler n'accepta jamais un débat rationnel ni contradictoire et ne parla que devant des auditoires acquis. En janvier 1922, Hitler est condamné à trois mois de prison (dont deux avec sursis) pour « troubles à l'ordre public ». Il purge cette peine à la prison de Stadelheim de Munich entre juin et juillet 1922. Il est même menacé d’être expulsé de Bavière. Hitler a principalement emprunté sa vision ultra-raciste à H. S. Chamberlain, son culte du surhomme à Nietzsche, son obsession de la décadence à Oswald Spengler et, enfin, les concepts de race nordique et d'espace vital à Alfred Rosenberg, idéologue du parti. Il puise aussi dans la « révolution conservatrice » animée par Arthur Moeller van den Bruck, dont il a lu l'ouvrage Le Troisième Reich. Selon la fiche signalétique établie par les renseignements français en 1924, le second prénom d'Adolphe Hitler est Jacob ; Hitler est inscrit comme journaliste et est qualifié de « Mussolini allemand » avec ces notes : « Ne serait que l'instrument de puissances supérieures : n'est pas un imbécile mais très adroit démagogue. Aurait Ludendorf derrière lui. Organise des Sturmtruppen genre fasciste. Condamné à cinq ans de forteresse avec possibilité de sursis après six mois de détention. ». Après treize mois de détention (dont neuf depuis sa condamnation) et malgré l’opposition déterminée du procureur Ludwig Stenglein à Munich, il bénéficie d’une libération anticipée le 20 décembre 1924. Comme le suggère Bertolt Brecht par le titre de sa pièce La Résistible Ascension d'Arturo Ui, âpre satire antinazie, la marche au pouvoir d'Adolf Hitler ne fut ni linéaire ni irrésistible. Toutefois, elle fut favorisée après 1929 par un contexte de crise exceptionnel, et par les faiblesses, les erreurs ou le discrédit de ses adversaires et concurrents politiques. L'Allemagne n'avait derrière elle en 1918 qu'une faible tradition démocratique. Née d'une défaite et d'une révolution, la République de Weimar s'était mal enracinée, d'autant que serviteurs et nostalgiques du Kaiser restaient très nombreux dans l'armée, l'administration, l'économie et la population. Enfin, le culte traditionnel des grands chefs et l'attente diffuse d'un sauveur providentiel prédisposaient une bonne part de sa population à s'en remettre à Hitler. État-nation très récent et fragile, traversé de multiples clivages géographiques, religieux, politiques et sociaux, l'Allemagne entre en plus dans une nouvelle phase d'instabilité politique à partir de 1929. Après le décès de Gustav Stresemann, artisan avec Aristide Briand du rapprochement franco-allemand, la chute du chancelier Hermann Müller en 1930 est celle du dernier gouvernement parlementaire. Il est remplacé par le gouvernement conservateur et autoritaire de Heinrich Brüning, du Zentrum. Monarchiste convaincu, le très populaire maréchal Paul von Hindenburg, porté à la présidence de la République en 1925, cesse de jouer le jeu de la démocratie à partir de 1930. Il se met à gouverner par décrets, nommant des cabinets à ses ordres de plus en plus dépourvus de la moindre majorité au Parlement, usant et abusant de son droit de dissolution du Reichstag — utilisé pas moins de quatre fois de 1930 à 1933. Les institutions de Weimar sont donc vidées de leur substance bien avant qu’Hitler ne leur porte le coup de grâce. Les conséquences catastrophiques de la crise de 1929 sur l’économie allemande, très dépendante des capitaux rapatriés aux États-Unis immédiatement après le krach de Wall Street, apportent bientôt au NSDAP un succès foudroyant et imprévu. Aux élections du14 septembre 1930, avec 6,5 millions d'électeurs, 18,3 % des voix et 107 sièges, le parti nazi devient le deuxième parti au Reichstag. La déflation sévère et anachronique menée par Brüning ne fait qu'aggraver la crise économique et précipite de nombreux Allemands inquiets dans les bras d’Hitler. En constituant avec ce dernier le « Front de Harzburg » en octobre 1931, dirigé contre le gouvernement et la République, Hugenberg et les autres forces des droites nationalistes jouent involontairement le jeu de Hitler, dont la puissance (électorale et parlementaire) en fait désormais un personnage de premier plan sur la scène politique. Le septennat du président Hindenburg se terminant le 5 mai 1932, la droite et le Zentrum, afin d’éviter de nouvelles élections, proposent de renouveler tacitement le mandat présidentiel. L’accord des nazis étant nécessaire, Hitler exige la démission du chancelier Brüning et de nouvelles élections parlementaires. Hindenburg refuse, et le 22 février 1932, Joseph Goebbels annonce la candidature d’Adolf Hitler à la présidence de la République. Le 26 février, Hitler est opportunément nommé Regierungsrat, fonctionnaire d’État, ce qui lui confère automatiquement la nationalité allemande. Entouré d’un culte de la personnalité intense, qui le célèbre comme le sauveur messianique de l’Allemagne, Hitler exige un serment de fidélité à sa propre personne.
Espagne Slovaquie
Quel sketch ayaaaa
Moraté qui rate son péno. Normal
Le CSC du goal slovaque bordel
Lapuerta le traitre qui marque
Données du topic
- Auteur
- GiuliaGwinn
- Date de création
- 22 juin 2021 à 16:09:51
- Nb. messages archivés
- 9581
- Nb. messages JVC
- 100005