On vit une époque absurde et paradoxale.
Le rap et la musique urbaine n ont jamais eu autant de succès. Cette culture urbaine véhicule une idéologie violente, belliqueuse, matchiste, superficielle.
Et pourtant d un autre côté, l agenda féministe extrémiste ne cesse de progresser et d avoir du crédit au sein de la société.
Parfois, je me demande si certaines filles ne sont pas schyzophrènes. Celles-ci mettent en avant leur combat et engagement féministes en tenant un discours virulent pourtant ça ne les empêchent pas d écouter de la musique qui prônent l antithèse de ce pour lequel elles luttent. Comment peut on écouter du rap français en étant féministe sachant qu elles sont les premières à dire que c est la culturel, le social qui sont à l origine de tout.
Pourquoi ne boycottent elles pas le rap ?
Ah, oui on me rappelle que les mouvements féministes partagent les délires comme l intersectionnalité des oppression envers différentes communauté.
Vu que les rappers sont issus de la diversité et de minorité forcément oppressees, on leur pardonne leur propos, leurs comportements.
La déresponsabilisation, ce mal de société
Et évidemment, on sait tous quel est l ennemi commun de ces mouvances gauchistes, c est le fameux mâle blanc cis hetero. Au final, tout le monde s y retrouve.
Se plaindre de l essentialisme alors que les féministes sont les premieres à le faire
L absurdistan