[Kheyette] ma philosophie de vie

Le 06 juin 2021 à 01:13:15 :

Le 06 juin 2021 à 01:07:45 :
Problème réglé par Parménide il y a vingt-cinq siècles dans le peri phuseon et réglé une deuxième fois dans le Gorgias

Ta position ne va même pas au fond de sa propre voie je trouve. Le plus profond étant du style de ce qu’en dit Gorgias lui-même dans l’Éloge d’Hélène et celui de Palamède, et qui voit (à mon sens) une confirmation chez Vico

On balance des figures d'autorité et là on existe.

On fait référence à des doctrines dont l’étude remplit plusieurs rayons de bibliothèques, pour ne pas avoir à répéter pour rien, sur un topic qui sera bientôt 410, ce qui a été écrit des milliers de fois et qui devrait être connu de tous ceux qui prétendent disputer ces questions

Le 06 juin 2021 à 00:25:29 :
Je m'intéresse à la philosophie, je résume :
- tout n'est qu'apparence : phénoménalisme, pas de chose en soi
- pas de réalité extérieure : alors ça se déduit pas logiquement du premier point, ça philosophiquement c'est l'idéalisme
- "l'esprit n'est pas celui d'un sujet" : donc ce serait une sorte d'idéalisme par une entité supérieure ?

Tout ça me fait penser à Berkeley

Ou Schopenhauer quoiqu'il y ait un monde des idées chez Schopenhauer accessible par l'art non ? D'où le fait qu'il soit en quelque sorte l'héritier noble de Kant de façon très comique.

Le 06 juin 2021 à 01:17:53 :

Le 06 juin 2021 à 00:25:29 :
Je m'intéresse à la philosophie, je résume :
- tout n'est qu'apparence : phénoménalisme, pas de chose en soi
- pas de réalité extérieure : alors ça se déduit pas logiquement du premier point, ça philosophiquement c'est l'idéalisme
- "l'esprit n'est pas celui d'un sujet" : donc ce serait une sorte d'idéalisme par une entité supérieure ?

Tout ça me fait penser à Berkeley

Ou Schopenhauer quoiqu'il y ait un monde des idées chez Schopenhauer accessible par l'art non ? D'où le fait qu'il soit en quelque sorte l'héritier noble de Kant de façon très comique.

Ça n’a rien de comique, que Schopenhauer soit un néo-kantien n’est un secret pour personne, d’ailleurs pour Kant, la chose en soi, le noumène existe bien, le fait qu’il soit inaccessible n’a rien à voir avec son existence, d’ailleurs son existence est une condition de possibilité du phénomène

Le 06 juin 2021 à 01:17:02 :

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Le 06 juin 2021 à 01:07:45 :
Problème réglé par Parménide il y a vingt-cinq siècles dans le peri phuseon et réglé une deuxième fois dans le Gorgias

Ta position ne va même pas au fond de sa propre voie je trouve. Le plus profond étant du style de ce qu’en dit Gorgias lui-même dans l’Éloge d’Hélène et celui de Palamède, et qui voit (à mon sens) une confirmation chez Vico

On balance des figures d'autorité et là on existe.

On fait référence à des doctrines dont l’étude remplit plusieurs rayons de bibliothèques, pour ne pas avoir à répéter pour rien, sur un topic qui sera bientôt 410, ce qui a été écrit des milliers de fois et qui devrait être connu de tous ceux qui prétendent disputer ces questions

Le nihilisme de Gorgias est bafouillant, il est novateur mais ne règle rien, il ne fait que poser des questions métaphysiques qui demandent de creuser. Vico je ne l'ai pas lu donc je suis ignorant.

Le 06 juin 2021 à 01:19:51 :

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Je m'intéresse à la philosophie, je résume :
- tout n'est qu'apparence : phénoménalisme, pas de chose en soi
- pas de réalité extérieure : alors ça se déduit pas logiquement du premier point, ça philosophiquement c'est l'idéalisme
- "l'esprit n'est pas celui d'un sujet" : donc ce serait une sorte d'idéalisme par une entité supérieure ?

Tout ça me fait penser à Berkeley

Ou Schopenhauer quoiqu'il y ait un monde des idées chez Schopenhauer accessible par l'art non ? D'où le fait qu'il soit en quelque sorte l'héritier noble de Kant de façon très comique.

Ça n’a rien de comique, que Schopenhauer soit un néo-kantien n’est un secret pour personne, d’ailleurs pour Kant, la chose en soi, le noumène existe bien, le fait qu’il soit inaccessible n’a rien à voir avec son existence, d’ailleurs son existence est une condition de possibilité du phénomène

Sauf que tu sais très bien à quel point Hegel se considèrait comme l'héritier de Kant, je ne devrais pas avoir besoin d'expliquer plus loin en quoi cette situation est hilarante, et à la bonne heure.

Le 06 juin 2021 à 01:20:36 :

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Problème réglé par Parménide il y a vingt-cinq siècles dans le peri phuseon et réglé une deuxième fois dans le Gorgias

Ta position ne va même pas au fond de sa propre voie je trouve. Le plus profond étant du style de ce qu’en dit Gorgias lui-même dans l’Éloge d’Hélène et celui de Palamède, et qui voit (à mon sens) une confirmation chez Vico

On balance des figures d'autorité et là on existe.

On fait référence à des doctrines dont l’étude remplit plusieurs rayons de bibliothèques, pour ne pas avoir à répéter pour rien, sur un topic qui sera bientôt 410, ce qui a été écrit des milliers de fois et qui devrait être connu de tous ceux qui prétendent disputer ces questions

Le nihilisme de Gorgias est bafouillant, il est novateur mais ne règle rien, il ne fait que poser des questions métaphysiques qui demandent de creuser. Vico je ne l'ai pas lu donc je suis ignorant.

Je considère que toute poésie n'est autre qu'un discours marqué par la mesure, telle est ma définition. Par elle, les auditeurs sont envahis du frisson de la crainte, ou pénétrés de cette pitié qui arrache les larmes ou de ce regret qui éveille la douleur, lorsque sont évoqués les heurs et les malheurs que connaissent les autres dans leurs entreprises ; le discours provoque en l'âme une affection qui lui est propre. Mais ce n'est pas tout ! Je dois maintenant passer à d'autres arguments.

Les incantations enthousiastes nous procurent du plaisir par l'effet des paroles, et chassent le chagrin. C'est que la force de l'incantation, dans l'âme, se mêle à l'opinion, la charme, la persuade et, par sa magie, change ses dispositions. De la magie et de la sorcellerie sont nés deux arts qui produisent en l'âme les erreurs et en l'opinion les tromperies.

(Gorgias de Léontium, Éloge d'Hélène, 9-10, cité dans Les Présocratiques, Gorgias, XI, Paris, 1988, p. 1033)

Ce sur quoi il importe au contraire d’insister, c’est sur un trait de la pensée du sophiste auquel était réservée une fortune extraordinaire, ainsi que nous le montrerons en étudiant Hippias et Prodicus.

Il s’agit de l’idée qu’il y a un art qui jouit d’une sorte de royauté ou de primat sur tous les autres arts, par la raison qu’il enveloppe la capacité de donner toute leur valeur aux ressources que procurent toutes les autres spécialités, sciences ou métiers. Cet art souverain est, selon Gorgias, la science du discours, tandis que les sophistes qui viendront bientôt contesteront à la rhétorique cette supériorité. Mais ils adopteront à l’envi l’idée d’une science première ou supérieure, qui fait valoir l’apport de toutes les autres disciplines.

(Eugène Dupréel, Les Sophistes, Gorgias, III, Neuchâtel, 1948, p. 76)

Le 06 juin 2021 à 01:23:27 :

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Je m'intéresse à la philosophie, je résume :
- tout n'est qu'apparence : phénoménalisme, pas de chose en soi
- pas de réalité extérieure : alors ça se déduit pas logiquement du premier point, ça philosophiquement c'est l'idéalisme
- "l'esprit n'est pas celui d'un sujet" : donc ce serait une sorte d'idéalisme par une entité supérieure ?

Tout ça me fait penser à Berkeley

Ou Schopenhauer quoiqu'il y ait un monde des idées chez Schopenhauer accessible par l'art non ? D'où le fait qu'il soit en quelque sorte l'héritier noble de Kant de façon très comique.

Ça n’a rien de comique, que Schopenhauer soit un néo-kantien n’est un secret pour personne, d’ailleurs pour Kant, la chose en soi, le noumène existe bien, le fait qu’il soit inaccessible n’a rien à voir avec son existence, d’ailleurs son existence est une condition de possibilité du phénomène

Sauf que tu sais très bien à quel point Hegel se considèrait comme l'héritier de Kant, je ne devrais pas avoir besoin d'expliquer plus loin en quoi cette situation est hilarante, et à la bonne heure.

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Je m'intéresse à la philosophie, je résume :
- tout n'est qu'apparence : phénoménalisme, pas de chose en soi
- pas de réalité extérieure : alors ça se déduit pas logiquement du premier point, ça philosophiquement c'est l'idéalisme
- "l'esprit n'est pas celui d'un sujet" : donc ce serait une sorte d'idéalisme par une entité supérieure ?

Tout ça me fait penser à Berkeley

Ou Schopenhauer quoiqu'il y ait un monde des idées chez Schopenhauer accessible par l'art non ? D'où le fait qu'il soit en quelque sorte l'héritier noble de Kant de façon très comique.

Ça n’a rien de comique, que Schopenhauer soit un néo-kantien n’est un secret pour personne, d’ailleurs pour Kant, la chose en soi, le noumène existe bien, le fait qu’il soit inaccessible n’a rien à voir avec son existence, d’ailleurs son existence est une condition de possibilité du phénomène

Sauf que tu sais très bien à quel point Hegel se considèrait comme l'héritier de Kant, je ne devrais pas avoir besoin d'expliquer plus loin en quoi cette situation est hilarante, et à la bonne heure.

La philosophie de Hegel était dominée par l'idée de « développement », ou de « devenir ». « Nous autres Allemands sommes hégéliens, même s'il n'y avait jamais eu de Hegel, du fait que (au contraire des peuples latins) nous attribuons instinctivement au devenir, au développement, un sens plus profond et une valeur plus riche qu'à ce qui "est" [V., p. 300 sqq]. » L'Allemand est, par nature, hégélien, du fait qu'il ne se contente pas des phénomènes immédiats, mais « retourne l'apparence » et croit à peine au bon droit de la notion d' « être ». A cet égard Leibniz et Kant étaient aussi « hégéliens » remarque Nietzsche. La philosophie allemande croit, plutôt qu'à la règle de la logique, au credo quia absurdum, qui fut déjà dans l'histoire du dogme chrétien l'arme de l'argumentation allemande. « Mais aujourd'hui encore, un millénaire plus tard, nous autres Allemands d'aujourd'hui,... nous flairons une certaine vérité, sous le fameux principe de dialectique réaliste, dont Hegel dota l'esprit allemand et grâce auquel celui-ci triompha en Europe : « La contradiction meut le monde, toute chose se contredit elle-même. » Nous sommes, jusqu'en logique, des pessimistes. [IV., p. 7 sq.] » Et Nietzsche, en dégageant, de l'auto-négation du nihilisme, son propre paradoxe de l'Éternel Retour, a consciemment fait faire un pas de plus à la logique de la contradiction et affirmé sa foi en l'absurde. [voir Jaspers, Nietzsche, pp. 317 et 325.]

(Karl Löwith, Von Hegel zu Nietzsche, IV, Nietzsche philosophe de notre temps et de l'éternité, I, Comment Nietzsche jugea Goethe et Hegel, 1941, Mesnil-sur-l'Estrée, 2003, p. 223)

Tu finiras chrétienne car sans l'idée de Dieu il n'y a plus rien et c'est ton héritage culturel.

Le 06 juin 2021 à 01:27:35 :
Tu finiras chrétienne car sans l'idée de Dieu il n'y a plus rien et c'est ton héritage culturel.

Si tu résumes dieu à au monothéisme catholique, dieu que ton esprit est plat comme leur première fausse prédiction

Le 06 juin 2021 à 01:30:42 :

Le 06 juin 2021 à 01:27:35 :
Tu finiras chrétienne car sans l'idée de Dieu il n'y a plus rien et c'est ton héritage culturel.

Si tu résumes dieu à au monothéisme catholique, dieu que ton esprit est plat comme leur première fausse prédiction

C'est vrai que tu dois être particulièrement éclairé de ton coté pour venir me bassiner automatiquement avec tes suppositions trollesques.

Paix sur âme nonobstame.