Ssssssssss sssssssss ssss Sache que :Peur:
SuppriméPartagez les kheys avant le 410 !!
Ça va être explosif !!
Qq vidéos pour alimenter la réflexion
https://m.youtube.com/watch?v=xs0viH4snrs
https://reinfocovid.fr/science/le-paradigme-du-confinement-seffondre/
https://odysee.com/@JlBerdal:52/YouCut_20210318_091411089:8
https://m.youtube.com/watch?v=EBBNNnPp2u8
Quand les Ă©lites bravent le danger sanitaire c'est qu'elles savent qu'il n'existe pas
https://m.youtube.com/watch?v=CRQcDT6woq4
https://micheldogna.fr/la-tisane-de-pin-sylvestre-incontournable/
onciliation.fr/FauciGate-le-scandale-est-mondial-et-francais-64335.html
Sur ce lien coupé en deux pour éviter la censure automatique, on voit que delfraissy a constaté une efficacité légère de la chloroquine mais a bloqué son utilisation....
Bizzare pour un médicament innofensif
https://www.20min.ch/fr/story/le-vaccin-pfizer-provoquerait-des-troubles-cardiaques-787840026207
Le 09 juin 2021 Ă 00:39:27 :
Nous t’écoutons
Le Rhume 19 ne sort pas de nulle part :
La propagation du virus au sein de la population mondiale pourrait permettre à certaines puissances politiques, la réalisation d'un plan global : Instrumentalisation de la pandémie pour tenter de retrouver l'unité nationale, indispensable au consentement des populations - Instrumentaliser la crise sanitaire pour justifier l'inévitable crise économique et monétaire mondiale - Installer de multiples techniques pour contrôler et surveiller les populations - Pétrifier les soulèvements populaires aux quatre coins du globe. Il est par ailleurs extrêmement surprenant, que le Covid-19, épargne les nourrissons et jeunes enfants qui font habituellement partie des personnes vulnérables aux maladies infectieuses. Le virus semble avoir étrangement les mêmes tendances que le néolibéralisme; préserver ceux qui vont dégager du profit et abattre les improductifs, vieux, handicapés et maladifs.
C'est lorsque tous rêvent à la fin du système, que les maîtres du système rêvent à la fin de tous et produisent le virus
Automne 1917 surgit la grande révolution prolétarienne en Russie. Hiver 1917, les premiers cas de grippe espagnole apparaissent, les origines de cette pandémie demeurent obscures. Son caractère hautement infectieux, sa facilité à se répandre laissent penser qu’elle n’est pas née – et qu’elle ne se diffuse pas – « par hasard », mais qu’elle est plutôt l’œuvre des bactériologistes d’outre-Rhin. La presse française de l'époque, parle d’ailleurs d’une maladie « venant d’Allemagne » et qu’après les gaz de combat, cette dernière est, à n’en point douter, une nouvelle invention germanique. Toujours en 1917, un espion allemand qui avait l’intention de diffuser un agent biologique fut arrêté en Russie. Ce n'est que très récemment, en avril 2016, qu'un de ces équipements de guerre biologique fut retrouvé dans les archives du musée de la Police de Trondheim, en Norvège. Une bouteille de verre contenant un morceau de sucre brisé en deux et dissimulant en son sein un petit capillaire de verre. Le conservateur du musée fut pris d’inquiétude en lisant la notice de l'objet qui était la suivante : « Un morceau de sucre contenant des bacilles du charbon ( également appelée anthrax ) , trouvé dans le bagage du baron Otto Karl von Rosen, lorsqu'il fut appréhendé à Karasjok en janvier 1917, suspecté d’espionnage et de sabotage. Dans les bagages du baron, on trouva aussi des flacons de curare, diverses cultures de microbes, et dix-neuf morceaux de sucre, contenant chacun des bacilles du charbon. Deux d’entre eux furent ainsi conservés au musée de Trondheim. L'objet fut donc transmis à l’agence de recherche et d’évaluation de défense de Porton Down au Royaume-Uni et également soigneusement étudié dans les laboratoires de microbiologie des forces armées norvégiennes à Oslo qui ont confirmé qu’il contenait vraiment de l’anthrax, et qu’après 100 ans, la substance était encore capable de tuer. Cet événement illustre qu'en 1917, il existait déjà la volonté politique de produire une pandémie. A cette époque, la bactérie du charbon ( anthrax ) et bien d'autres, sont produites dans un laboratoire de maladie tropicale à Berlin, puis transportées ou envoyées à des agents chargés de la propagation. La bactérie du charbon est employée à cette fin en raison des graves problèmes de santé qui surviennent lorsque les spores sont inhalées. L'atteinte pulmonaire par cette bactérie entraîne souvent la mort si aucun traitement n'est reçu dès les premiers stades de la maladie.
Été 1966 - Surgit la grande révolution culturelle prolétarienne en République populaire de Chine. En 1967 c'est le virus H3N2, appelé « grippe de Hong Kong » qui fait son apparition. La population se retrouve totalement dépourvue d'immunité tant il est inconnu. Le virus apparaît d'abord en Chine, il se diffuse à Hong Kong, fait rapidement le tour de l’Asie du Sud-Est, gagne Taiwan, Singapour et le Vietnam, atteint ensuite l’Inde, l’Australie, l'Iran avant de gagner les États-Unis où il voyage notamment avec les militaires revenant du Vietnam.
Automne 2018, surgit le mouvement des Gilets jaunes en France et presque à l'unissons émergent des soulèvements populaires aux quatre coins du globe. Hiver 2019, des médecins chinois donnent l'alerte sur un nouveau virus inconnu qu'ils nomment 2019n-CoV.
Tout comme la grippe espagnole et de Hong Kong, La propagation du Covid-19 pourrait bien avoir été organisé pour des raisons politiques. Le renommé Dr Francis Boyle, expert en guerre biologique, affirme que « le 2019n-CoV est une arme de guerre biologique offensive, échappée du laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan ». Le 3 mai 2019, le secrétaire d’État Américain Mike Pompeo a déclaré : « nous n’avons pas de certitude, que le virus s’est échappé du laboratoire, même s’il y a des preuves significatives. » Quant à la dissémination, elle semble avoir été planifiée et de nombreux éléments consolident cette hypothèse : La léthargie de nombreux gouvernements pour prendre des mesures en urgence - La négligence zélée dans la gestion sur le terrain - Les choix suspects concernant un traitement. Pire, le Royaume-Uni affirme avoir reçu en avril dernier d'un laboratoire Luxembourgeois, un stock de tests contaminés par le Covid-19 lui-même, sans donner d’explication sur les raisons de cette contamination. Certains Etats Africains affirment avoir constaté des anomalies similaires concernant les tests. Le président Tanzanien John Magufuli, informe qu'un laboratoire d'analyse avait déclaré positives des sujets non humains, comme une papaye, une caille et une chèvre. John Magufuli, affirme avoir envoyé lui-même sous couvert de l’anonymat ces échantillons car il doutait du processus de dépistage. Le président Tanzanien a annoncé que la police enquêterait sur les kits de test, dont l’origine est inconnue.
Sache que :
Je suis un homme déplaisant !
Je crois que jai une maladie de foie...
Si je ne me soigne pas c'est par pure méchanceté envers moi même..
Je ne suis pas en colère contre le médecin
Je ne fais de tort qu Ă moi-mĂŞme !
Je le sais mieux que QUICONQUE ! !
D ailleurs je ne sais pas au juste oĂą jai mal...
C est par pure vanité que je ne me soigne pas !
Jai mal au foie ! !!!! TANT MIEUX !!!!
https://vocaroo.com/16AcPI63f7hD PIOOOOOOOOUMENT https://m.youtube.com/watch?v=lIMi8_Y96BY
Le 09 juin 2021 Ă 00:39:53 :
Le 09 juin 2021 Ă 00:39:27 :
Nous t’écoutonsLe Rhume 19 ne sort pas de nulle part :
La propagation du virus au sein de la population mondiale pourrait permettre à certaines puissances politiques, la réalisation d'un plan global : Instrumentalisation de la pandémie pour tenter de retrouver l'unité nationale, indispensable au consentement des populations - Instrumentaliser la crise sanitaire pour justifier l'inévitable crise économique et monétaire mondiale - Installer de multiples techniques pour contrôler et surveiller les populations - Pétrifier les soulèvements populaires aux quatre coins du globe. Il est par ailleurs extrêmement surprenant, que le Covid-19, épargne les nourrissons et jeunes enfants qui font habituellement partie des personnes vulnérables aux maladies infectieuses. Le virus semble avoir étrangement les mêmes tendances que le néolibéralisme; préserver ceux qui vont dégager du profit et abattre les improductifs, vieux, handicapés et maladifs.
C'est lorsque tous rêvent à la fin du système, que les maîtres du système rêvent à la fin de tous et produisent le virus
Automne 1917 surgit la grande révolution prolétarienne en Russie. Hiver 1917, les premiers cas de grippe espagnole apparaissent, les origines de cette pandémie demeurent obscures. Son caractère hautement infectieux, sa facilité à se répandre laissent penser qu’elle n’est pas née – et qu’elle ne se diffuse pas – « par hasard », mais qu’elle est plutôt l’œuvre des bactériologistes d’outre-Rhin. La presse française de l'époque, parle d’ailleurs d’une maladie « venant d’Allemagne » et qu’après les gaz de combat, cette dernière est, à n’en point douter, une nouvelle invention germanique. Toujours en 1917, un espion allemand qui avait l’intention de diffuser un agent biologique fut arrêté en Russie. Ce n'est que très récemment, en avril 2016, qu'un de ces équipements de guerre biologique fut retrouvé dans les archives du musée de la Police de Trondheim, en Norvège. Une bouteille de verre contenant un morceau de sucre brisé en deux et dissimulant en son sein un petit capillaire de verre. Le conservateur du musée fut pris d’inquiétude en lisant la notice de l'objet qui était la suivante : « Un morceau de sucre contenant des bacilles du charbon ( également appelée anthrax ) , trouvé dans le bagage du baron Otto Karl von Rosen, lorsqu'il fut appréhendé à Karasjok en janvier 1917, suspecté d’espionnage et de sabotage. Dans les bagages du baron, on trouva aussi des flacons de curare, diverses cultures de microbes, et dix-neuf morceaux de sucre, contenant chacun des bacilles du charbon. Deux d’entre eux furent ainsi conservés au musée de Trondheim. L'objet fut donc transmis à l’agence de recherche et d’évaluation de défense de Porton Down au Royaume-Uni et également soigneusement étudié dans les laboratoires de microbiologie des forces armées norvégiennes à Oslo qui ont confirmé qu’il contenait vraiment de l’anthrax, et qu’après 100 ans, la substance était encore capable de tuer. Cet événement illustre qu'en 1917, il existait déjà la volonté politique de produire une pandémie. A cette époque, la bactérie du charbon ( anthrax ) et bien d'autres, sont produites dans un laboratoire de maladie tropicale à Berlin, puis transportées ou envoyées à des agents chargés de la propagation. La bactérie du charbon est employée à cette fin en raison des graves problèmes de santé qui surviennent lorsque les spores sont inhalées. L'atteinte pulmonaire par cette bactérie entraîne souvent la mort si aucun traitement n'est reçu dès les premiers stades de la maladie.
Été 1966 - Surgit la grande révolution culturelle prolétarienne en République populaire de Chine. En 1967 c'est le virus H3N2, appelé « grippe de Hong Kong » qui fait son apparition. La population se retrouve totalement dépourvue d'immunité tant il est inconnu. Le virus apparaît d'abord en Chine, il se diffuse à Hong Kong, fait rapidement le tour de l’Asie du Sud-Est, gagne Taiwan, Singapour et le Vietnam, atteint ensuite l’Inde, l’Australie, l'Iran avant de gagner les États-Unis où il voyage notamment avec les militaires revenant du Vietnam.
Automne 2018, surgit le mouvement des Gilets jaunes en France et presque à l'unissons émergent des soulèvements populaires aux quatre coins du globe. Hiver 2019, des médecins chinois donnent l'alerte sur un nouveau virus inconnu qu'ils nomment 2019n-CoV.
Tout comme la grippe espagnole et de Hong Kong, La propagation du Covid-19 pourrait bien avoir été organisé pour des raisons politiques. Le renommé Dr Francis Boyle, expert en guerre biologique, affirme que « le 2019n-CoV est une arme de guerre biologique offensive, échappée du laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan ». Le 3 mai 2019, le secrétaire d’État Américain Mike Pompeo a déclaré : « nous n’avons pas de certitude, que le virus s’est échappé du laboratoire, même s’il y a des preuves significatives. » Quant à la dissémination, elle semble avoir été planifiée et de nombreux éléments consolident cette hypothèse : La léthargie de nombreux gouvernements pour prendre des mesures en urgence - La négligence zélée dans la gestion sur le terrain - Les choix suspects concernant un traitement. Pire, le Royaume-Uni affirme avoir reçu en avril dernier d'un laboratoire Luxembourgeois, un stock de tests contaminés par le Covid-19 lui-même, sans donner d’explication sur les raisons de cette contamination. Certains Etats Africains affirment avoir constaté des anomalies similaires concernant les tests. Le président Tanzanien John Magufuli, informe qu'un laboratoire d'analyse avait déclaré positives des sujets non humains, comme une papaye, une caille et une chèvre. John Magufuli, affirme avoir envoyé lui-même sous couvert de l’anonymat ces échantillons car il doutait du processus de dépistage. Le président Tanzanien a annoncé que la police enquêterait sur les kits de test, dont l’origine est inconnue.
Le 09 juin 2021 Ă 00:41:01 :
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Nous t’écoutonsLe Rhume 19 ne sort pas de nulle part :
La propagation du virus au sein de la population mondiale pourrait permettre à certaines puissances politiques, la réalisation d'un plan global : Instrumentalisation de la pandémie pour tenter de retrouver l'unité nationale, indispensable au consentement des populations - Instrumentaliser la crise sanitaire pour justifier l'inévitable crise économique et monétaire mondiale - Installer de multiples techniques pour contrôler et surveiller les populations - Pétrifier les soulèvements populaires aux quatre coins du globe. Il est par ailleurs extrêmement surprenant, que le Covid-19, épargne les nourrissons et jeunes enfants qui font habituellement partie des personnes vulnérables aux maladies infectieuses. Le virus semble avoir étrangement les mêmes tendances que le néolibéralisme; préserver ceux qui vont dégager du profit et abattre les improductifs, vieux, handicapés et maladifs.
C'est lorsque tous rêvent à la fin du système, que les maîtres du système rêvent à la fin de tous et produisent le virus
Automne 1917 surgit la grande révolution prolétarienne en Russie. Hiver 1917, les premiers cas de grippe espagnole apparaissent, les origines de cette pandémie demeurent obscures. Son caractère hautement infectieux, sa facilité à se répandre laissent penser qu’elle n’est pas née – et qu’elle ne se diffuse pas – « par hasard », mais qu’elle est plutôt l’œuvre des bactériologistes d’outre-Rhin. La presse française de l'époque, parle d’ailleurs d’une maladie « venant d’Allemagne » et qu’après les gaz de combat, cette dernière est, à n’en point douter, une nouvelle invention germanique. Toujours en 1917, un espion allemand qui avait l’intention de diffuser un agent biologique fut arrêté en Russie. Ce n'est que très récemment, en avril 2016, qu'un de ces équipements de guerre biologique fut retrouvé dans les archives du musée de la Police de Trondheim, en Norvège. Une bouteille de verre contenant un morceau de sucre brisé en deux et dissimulant en son sein un petit capillaire de verre. Le conservateur du musée fut pris d’inquiétude en lisant la notice de l'objet qui était la suivante : « Un morceau de sucre contenant des bacilles du charbon ( également appelée anthrax ) , trouvé dans le bagage du baron Otto Karl von Rosen, lorsqu'il fut appréhendé à Karasjok en janvier 1917, suspecté d’espionnage et de sabotage. Dans les bagages du baron, on trouva aussi des flacons de curare, diverses cultures de microbes, et dix-neuf morceaux de sucre, contenant chacun des bacilles du charbon. Deux d’entre eux furent ainsi conservés au musée de Trondheim. L'objet fut donc transmis à l’agence de recherche et d’évaluation de défense de Porton Down au Royaume-Uni et également soigneusement étudié dans les laboratoires de microbiologie des forces armées norvégiennes à Oslo qui ont confirmé qu’il contenait vraiment de l’anthrax, et qu’après 100 ans, la substance était encore capable de tuer. Cet événement illustre qu'en 1917, il existait déjà la volonté politique de produire une pandémie. A cette époque, la bactérie du charbon ( anthrax ) et bien d'autres, sont produites dans un laboratoire de maladie tropicale à Berlin, puis transportées ou envoyées à des agents chargés de la propagation. La bactérie du charbon est employée à cette fin en raison des graves problèmes de santé qui surviennent lorsque les spores sont inhalées. L'atteinte pulmonaire par cette bactérie entraîne souvent la mort si aucun traitement n'est reçu dès les premiers stades de la maladie.
Été 1966 - Surgit la grande révolution culturelle prolétarienne en République populaire de Chine. En 1967 c'est le virus H3N2, appelé « grippe de Hong Kong » qui fait son apparition. La population se retrouve totalement dépourvue d'immunité tant il est inconnu. Le virus apparaît d'abord en Chine, il se diffuse à Hong Kong, fait rapidement le tour de l’Asie du Sud-Est, gagne Taiwan, Singapour et le Vietnam, atteint ensuite l’Inde, l’Australie, l'Iran avant de gagner les États-Unis où il voyage notamment avec les militaires revenant du Vietnam.
Automne 2018, surgit le mouvement des Gilets jaunes en France et presque à l'unissons émergent des soulèvements populaires aux quatre coins du globe. Hiver 2019, des médecins chinois donnent l'alerte sur un nouveau virus inconnu qu'ils nomment 2019n-CoV.
Tout comme la grippe espagnole et de Hong Kong, La propagation du Covid-19 pourrait bien avoir été organisé pour des raisons politiques. Le renommé Dr Francis Boyle, expert en guerre biologique, affirme que « le 2019n-CoV est une arme de guerre biologique offensive, échappée du laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan ». Le 3 mai 2019, le secrétaire d’État Américain Mike Pompeo a déclaré : « nous n’avons pas de certitude, que le virus s’est échappé du laboratoire, même s’il y a des preuves significatives. » Quant à la dissémination, elle semble avoir été planifiée et de nombreux éléments consolident cette hypothèse : La léthargie de nombreux gouvernements pour prendre des mesures en urgence - La négligence zélée dans la gestion sur le terrain - Les choix suspects concernant un traitement. Pire, le Royaume-Uni affirme avoir reçu en avril dernier d'un laboratoire Luxembourgeois, un stock de tests contaminés par le Covid-19 lui-même, sans donner d’explication sur les raisons de cette contamination. Certains Etats Africains affirment avoir constaté des anomalies similaires concernant les tests. Le président Tanzanien John Magufuli, informe qu'un laboratoire d'analyse avait déclaré positives des sujets non humains, comme une papaye, une caille et une chèvre. John Magufuli, affirme avoir envoyé lui-même sous couvert de l’anonymat ces échantillons car il doutait du processus de dépistage. Le président Tanzanien a annoncé que la police enquêterait sur les kits de test, dont l’origine est inconnue.
Le 09 juin 2021 Ă 00:41:01 :
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Le 09 juin 2021 Ă 00:39:27 :
Nous t’écoutonsLe Rhume 19 ne sort pas de nulle part :
La propagation du virus au sein de la population mondiale pourrait permettre à certaines puissances politiques, la réalisation d'un plan global : Instrumentalisation de la pandémie pour tenter de retrouver l'unité nationale, indispensable au consentement des populations - Instrumentaliser la crise sanitaire pour justifier l'inévitable crise économique et monétaire mondiale - Installer de multiples techniques pour contrôler et surveiller les populations - Pétrifier les soulèvements populaires aux quatre coins du globe. Il est par ailleurs extrêmement surprenant, que le Covid-19, épargne les nourrissons et jeunes enfants qui font habituellement partie des personnes vulnérables aux maladies infectieuses. Le virus semble avoir étrangement les mêmes tendances que le néolibéralisme; préserver ceux qui vont dégager du profit et abattre les improductifs, vieux, handicapés et maladifs.
C'est lorsque tous rêvent à la fin du système, que les maîtres du système rêvent à la fin de tous et produisent le virus
Automne 1917 surgit la grande révolution prolétarienne en Russie. Hiver 1917, les premiers cas de grippe espagnole apparaissent, les origines de cette pandémie demeurent obscures. Son caractère hautement infectieux, sa facilité à se répandre laissent penser qu’elle n’est pas née – et qu’elle ne se diffuse pas – « par hasard », mais qu’elle est plutôt l’œuvre des bactériologistes d’outre-Rhin. La presse française de l'époque, parle d’ailleurs d’une maladie « venant d’Allemagne » et qu’après les gaz de combat, cette dernière est, à n’en point douter, une nouvelle invention germanique. Toujours en 1917, un espion allemand qui avait l’intention de diffuser un agent biologique fut arrêté en Russie. Ce n'est que très récemment, en avril 2016, qu'un de ces équipements de guerre biologique fut retrouvé dans les archives du musée de la Police de Trondheim, en Norvège. Une bouteille de verre contenant un morceau de sucre brisé en deux et dissimulant en son sein un petit capillaire de verre. Le conservateur du musée fut pris d’inquiétude en lisant la notice de l'objet qui était la suivante : « Un morceau de sucre contenant des bacilles du charbon ( également appelée anthrax ) , trouvé dans le bagage du baron Otto Karl von Rosen, lorsqu'il fut appréhendé à Karasjok en janvier 1917, suspecté d’espionnage et de sabotage. Dans les bagages du baron, on trouva aussi des flacons de curare, diverses cultures de microbes, et dix-neuf morceaux de sucre, contenant chacun des bacilles du charbon. Deux d’entre eux furent ainsi conservés au musée de Trondheim. L'objet fut donc transmis à l’agence de recherche et d’évaluation de défense de Porton Down au Royaume-Uni et également soigneusement étudié dans les laboratoires de microbiologie des forces armées norvégiennes à Oslo qui ont confirmé qu’il contenait vraiment de l’anthrax, et qu’après 100 ans, la substance était encore capable de tuer. Cet événement illustre qu'en 1917, il existait déjà la volonté politique de produire une pandémie. A cette époque, la bactérie du charbon ( anthrax ) et bien d'autres, sont produites dans un laboratoire de maladie tropicale à Berlin, puis transportées ou envoyées à des agents chargés de la propagation. La bactérie du charbon est employée à cette fin en raison des graves problèmes de santé qui surviennent lorsque les spores sont inhalées. L'atteinte pulmonaire par cette bactérie entraîne souvent la mort si aucun traitement n'est reçu dès les premiers stades de la maladie.
Été 1966 - Surgit la grande révolution culturelle prolétarienne en République populaire de Chine. En 1967 c'est le virus H3N2, appelé « grippe de Hong Kong » qui fait son apparition. La population se retrouve totalement dépourvue d'immunité tant il est inconnu. Le virus apparaît d'abord en Chine, il se diffuse à Hong Kong, fait rapidement le tour de l’Asie du Sud-Est, gagne Taiwan, Singapour et le Vietnam, atteint ensuite l’Inde, l’Australie, l'Iran avant de gagner les États-Unis où il voyage notamment avec les militaires revenant du Vietnam.
Automne 2018, surgit le mouvement des Gilets jaunes en France et presque à l'unissons émergent des soulèvements populaires aux quatre coins du globe. Hiver 2019, des médecins chinois donnent l'alerte sur un nouveau virus inconnu qu'ils nomment 2019n-CoV.
Tout comme la grippe espagnole et de Hong Kong, La propagation du Covid-19 pourrait bien avoir été organisé pour des raisons politiques. Le renommé Dr Francis Boyle, expert en guerre biologique, affirme que « le 2019n-CoV est une arme de guerre biologique offensive, échappée du laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan ». Le 3 mai 2019, le secrétaire d’État Américain Mike Pompeo a déclaré : « nous n’avons pas de certitude, que le virus s’est échappé du laboratoire, même s’il y a des preuves significatives. » Quant à la dissémination, elle semble avoir été planifiée et de nombreux éléments consolident cette hypothèse : La léthargie de nombreux gouvernements pour prendre des mesures en urgence - La négligence zélée dans la gestion sur le terrain - Les choix suspects concernant un traitement. Pire, le Royaume-Uni affirme avoir reçu en avril dernier d'un laboratoire Luxembourgeois, un stock de tests contaminés par le Covid-19 lui-même, sans donner d’explication sur les raisons de cette contamination. Certains Etats Africains affirment avoir constaté des anomalies similaires concernant les tests. Le président Tanzanien John Magufuli, informe qu'un laboratoire d'analyse avait déclaré positives des sujets non humains, comme une papaye, une caille et une chèvre. John Magufuli, affirme avoir envoyé lui-même sous couvert de l’anonymat ces échantillons car il doutait du processus de dépistage. Le président Tanzanien a annoncé que la police enquêterait sur les kits de test, dont l’origine est inconnue.
Le 09 juin 2021 Ă 00:42:08 :
Le 09 juin 2021 Ă 00:41:01 :
Le 09 juin 2021 Ă 00:39:53 :
Le 09 juin 2021 Ă 00:39:27 :
Nous t’écoutonsLe Rhume 19 ne sort pas de nulle part :
La propagation du virus au sein de la population mondiale pourrait permettre à certaines puissances politiques, la réalisation d'un plan global : Instrumentalisation de la pandémie pour tenter de retrouver l'unité nationale, indispensable au consentement des populations - Instrumentaliser la crise sanitaire pour justifier l'inévitable crise économique et monétaire mondiale - Installer de multiples techniques pour contrôler et surveiller les populations - Pétrifier les soulèvements populaires aux quatre coins du globe. Il est par ailleurs extrêmement surprenant, que le Covid-19, épargne les nourrissons et jeunes enfants qui font habituellement partie des personnes vulnérables aux maladies infectieuses. Le virus semble avoir étrangement les mêmes tendances que le néolibéralisme; préserver ceux qui vont dégager du profit et abattre les improductifs, vieux, handicapés et maladifs.
C'est lorsque tous rêvent à la fin du système, que les maîtres du système rêvent à la fin de tous et produisent le virus
Automne 1917 surgit la grande révolution prolétarienne en Russie. Hiver 1917, les premiers cas de grippe espagnole apparaissent, les origines de cette pandémie demeurent obscures. Son caractère hautement infectieux, sa facilité à se répandre laissent penser qu’elle n’est pas née – et qu’elle ne se diffuse pas – « par hasard », mais qu’elle est plutôt l’œuvre des bactériologistes d’outre-Rhin. La presse française de l'époque, parle d’ailleurs d’une maladie « venant d’Allemagne » et qu’après les gaz de combat, cette dernière est, à n’en point douter, une nouvelle invention germanique. Toujours en 1917, un espion allemand qui avait l’intention de diffuser un agent biologique fut arrêté en Russie. Ce n'est que très récemment, en avril 2016, qu'un de ces équipements de guerre biologique fut retrouvé dans les archives du musée de la Police de Trondheim, en Norvège. Une bouteille de verre contenant un morceau de sucre brisé en deux et dissimulant en son sein un petit capillaire de verre. Le conservateur du musée fut pris d’inquiétude en lisant la notice de l'objet qui était la suivante : « Un morceau de sucre contenant des bacilles du charbon ( également appelée anthrax ) , trouvé dans le bagage du baron Otto Karl von Rosen, lorsqu'il fut appréhendé à Karasjok en janvier 1917, suspecté d’espionnage et de sabotage. Dans les bagages du baron, on trouva aussi des flacons de curare, diverses cultures de microbes, et dix-neuf morceaux de sucre, contenant chacun des bacilles du charbon. Deux d’entre eux furent ainsi conservés au musée de Trondheim. L'objet fut donc transmis à l’agence de recherche et d’évaluation de défense de Porton Down au Royaume-Uni et également soigneusement étudié dans les laboratoires de microbiologie des forces armées norvégiennes à Oslo qui ont confirmé qu’il contenait vraiment de l’anthrax, et qu’après 100 ans, la substance était encore capable de tuer. Cet événement illustre qu'en 1917, il existait déjà la volonté politique de produire une pandémie. A cette époque, la bactérie du charbon ( anthrax ) et bien d'autres, sont produites dans un laboratoire de maladie tropicale à Berlin, puis transportées ou envoyées à des agents chargés de la propagation. La bactérie du charbon est employée à cette fin en raison des graves problèmes de santé qui surviennent lorsque les spores sont inhalées. L'atteinte pulmonaire par cette bactérie entraîne souvent la mort si aucun traitement n'est reçu dès les premiers stades de la maladie.
Été 1966 - Surgit la grande révolution culturelle prolétarienne en République populaire de Chine. En 1967 c'est le virus H3N2, appelé « grippe de Hong Kong » qui fait son apparition. La population se retrouve totalement dépourvue d'immunité tant il est inconnu. Le virus apparaît d'abord en Chine, il se diffuse à Hong Kong, fait rapidement le tour de l’Asie du Sud-Est, gagne Taiwan, Singapour et le Vietnam, atteint ensuite l’Inde, l’Australie, l'Iran avant de gagner les États-Unis où il voyage notamment avec les militaires revenant du Vietnam.
Automne 2018, surgit le mouvement des Gilets jaunes en France et presque à l'unissons émergent des soulèvements populaires aux quatre coins du globe. Hiver 2019, des médecins chinois donnent l'alerte sur un nouveau virus inconnu qu'ils nomment 2019n-CoV.
Tout comme la grippe espagnole et de Hong Kong, La propagation du Covid-19 pourrait bien avoir été organisé pour des raisons politiques. Le renommé Dr Francis Boyle, expert en guerre biologique, affirme que « le 2019n-CoV est une arme de guerre biologique offensive, échappée du laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan ». Le 3 mai 2019, le secrétaire d’État Américain Mike Pompeo a déclaré : « nous n’avons pas de certitude, que le virus s’est échappé du laboratoire, même s’il y a des preuves significatives. » Quant à la dissémination, elle semble avoir été planifiée et de nombreux éléments consolident cette hypothèse : La léthargie de nombreux gouvernements pour prendre des mesures en urgence - La négligence zélée dans la gestion sur le terrain - Les choix suspects concernant un traitement. Pire, le Royaume-Uni affirme avoir reçu en avril dernier d'un laboratoire Luxembourgeois, un stock de tests contaminés par le Covid-19 lui-même, sans donner d’explication sur les raisons de cette contamination. Certains Etats Africains affirment avoir constaté des anomalies similaires concernant les tests. Le président Tanzanien John Magufuli, informe qu'un laboratoire d'analyse avait déclaré positives des sujets non humains, comme une papaye, une caille et une chèvre. John Magufuli, affirme avoir envoyé lui-même sous couvert de l’anonymat ces échantillons car il doutait du processus de dépistage. Le président Tanzanien a annoncé que la police enquêterait sur les kits de test, dont l’origine est inconnue.
Le 09 juin 2021 Ă 00:43:15 :
Sache que
Sache que :
Je suis une carrière souterraine
Je suis une carrière souterraine gigantesque
Je suis une carrière labyrinthique !
Je crois que jai plaisir Ă ce que des gens se perdent et meurent
Si je perds des touristes sous terre c'est par pure méchanceté
Je ne suis pas en colère le BRGM
Je ne fais de tort qu Ă la DOPC !
Je le sais mieux que QUICONQUE ! !
D ailleurs je ne sais pas au juste jusque oĂą je m Ă©tends..
C est par pure vanité que je ne vous ramène pas en Surface !
Jaime pas les GOLEMS de la surface ! !!!! TANT MIEUX !!!!
Données du topic
- Auteur
- Troglonaute180
- Date de création
- 9 juin 2021 Ă 00:38:14
- Date de suppression
- 9 juin 2021 Ă 01:26:12
- Supprimé par
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- Nb. messages JVC
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