NORMAN - LE TRAVAIL REND T'IL VRAIMENT LIBRE ?
SuppriméLe 09 juin 2021 à 11:54:33 :
Le 09 juin 2021 Ă 11:53:41 :
MAIS DE OU TU POSTES ENCORE TOI ??????!!!!!!!!!! QU'ALLAH TE BRISE LE DOS SALE PERVERS SEXUEL !!!!!!!!!!
intéresse toi plutot à l'op qui est un pervers sexuel amateur de pisse
+ la Turquie t'explose
Le 09 juin 2021 Ă 11:55:47 :
Le 09 juin 2021 Ă 11:54:33 :
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+ la Turquie t'explose
A part mes chiottes après un kebab la turquie explose que dalle
Le 09 juin 2021 Ă 11:56:22 :
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+ la Turquie t'explose
A part mes chiottes après un kebab la turquie explose que dalle
t'as raison entre la france et les chiottes pas trop de diff pour la Turquie l'ami
Le 09 juin 2021 Ă 11:57:08 :
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Le 09 juin 2021 Ă 11:55:47 :
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NORMAN - ERDOGAN ET LES CHUTES DE CHEVAUX, HOAX OU REALITÉ ?
Le 09 juin 2021 Ă 11:57:37 :
Le 09 juin 2021 Ă 11:56:51 :
Va disposer dans ton shithole le consanguin et prestementtu traites les turcs de consanguins lĂ !!!!!!??? attention par contre je suis plus calme que avant mais qd meme
Je me rappelle quand sur un topic ou ça respectait pas la turquie tu t'étais fait ban et t'étais revenu avec le pseudo "TueurDuChantier" aya
Et tu veux que je te traite pas de consanguin aprés ça ?
Le 09 juin 2021 Ă 11:58:47 :
Le 09 juin 2021 Ă 11:57:08 :
Le 09 juin 2021 Ă 11:56:22 :
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Le 09 juin 2021 Ă 11:53:41 :
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NORMAN - ERDOGAN ET LES CHUTES DE CHEVAUX, HOAX OU REALITÉ ?
Le 09 juin 2021 Ă 11:59:24 :
Le 09 juin 2021 Ă 11:57:37 :
Le 09 juin 2021 Ă 11:56:51 :
Va disposer dans ton shithole le consanguin et prestementtu traites les turcs de consanguins lĂ !!!!!!??? attention par contre je suis plus calme que avant mais qd meme
Je me rappelle quand sur un topic ou ça respectait pas la turquie tu t'étais fait ban et t'étais revenu avec le pseudo "TueurDuChantier" aya
Et tu veux que je te traite pas de consanguin aprés ça ?
tu dit ce que tu veux sur moi j'ai muri je suis plus calme je vais pas m'Ă©nerver mais tu parles pas de la grande Turquie c'est tout
Se demander si le travail nous fait perdre notre liberté, c’est se demander si le travail nous dépossède d’une liberté dont nous disposerions sans lui. A priori, on aurait tendance à penser le travail comme un obstacle à notre liberté : nous n’irions jamais librement vers le travail, en ce qu’il serait source de souffrance. Mais est-il pour autant une activité aliénante ?
Le travail peut se définir comme une activité proprement humaine de transformation de la nature par laquelle l’homme, en développant des techniques, se transforme lui-même. Perdre une chose, c’est l’avoir eue en sa possession et s’en trouver dépossédé. La perte s’oppose ainsi au gain. La liberté se définit de façon négative comme l’absence d’obstacle à la réalisation de ma volonté ou de mes désirs.
Pourtant, cette définition de sens commun semble se heurter à la réalité même du désir : si je suis poussé par mon désir, suis-je libre ? La liberté semble alors devoir s’opposer à la nécessité et au déterminisme : l’homme libre serait celui qui serait capable d’agir et de penser par lui-même, c’est-à -dire sans que cette action ou cette pensée résulte d’une cause extérieure à sa volonté. La liberté se définit alors comme libre-arbitre. La liberté s’opposerait alors à la nature : l’homme libre serait celui qui s’affranchit de la nécessité naturelle, celui qui est capable de s’opposer à la nature.
Le problème posé par le sujet réside dans le rapport envisagé entre le travail et la liberté. Le travail nous retire-t-il une liberté que nous aurions sans lui, ou au contraire, le travail nous permet-il d’accéder à notre liberté. Mais quelle est cette liberté que le travail nous retirerait ? En quoi nous empêcherait-il d’être libres ? La question sera alors de savoir s’il est possible de parler indifféremment de tout type de travail : car en quoi le travail serait-il en soi une activité aliénante ?
Dans un premier temps, nous verrons pour quelles raisons on peut penser que, loin de nous faire perdre notre liberté, le travail nous fait gagner notre liberté. Pourtant, tout travail nous affranchit-il de la nécessité naturelle ? Nous nous demanderons alors en quoi le travail nous vole notre liberté.
Enfin, nous démontrerons que le travail et la liberté sont incompatibles : non seulement le travail nous fait perdre notre liberté, mais il est la marque de notre absence de liberté.
1. Le travail nous fait gagner notre liberté
A. Le travail est l’activité par laquelle l’homme s’affranchit de la nature
La nature peut se définir comme l’ensemble du monde non transformé par l’homme. On distingue en ce sens la nature de la culture ou de l’artifice.
Dans un premier temps, on peut penser que, loin de nous faire perdre notre liberté, le travail nous fait gagner notre liberté. Autrement dit, c’est par le travail que nous devenons libre, d’abord en ce que nous nous libérons par lui de la nature.
C’est en particulier ce qu’indique Hegel dans la première Philosophie de l’Esprit : le travail est une activité rationnelle qui, en tant que telle, s’oppose à la nature dont l’homme se dégage en la soumettant, par la technique, à une transformation. Le travail nie le donné naturel : il est ce par quoi l’homme se sépare de la nature et se crée lui-même. En ce sens, c’est par le travail que l’homme se libère et accède à son identité.
B. Le travail humanise l’homme
Dans Le Capital, Marx définit le travail comme une activité propre à l’homme, un « acte qui se passe entre l’homme et la nature » et « en même temps qu’il agit par ce mouvement sur la nature extérieure et la modifie ». Autrement dit, le travail est humanisant parce que l’homme se sépare de sa propre nature.
C’est cette dimension libératrice, émancipatrice, du travail que développeront les analyses de Marx : si l’on peut dire que le travail est pour l’homme le moyen de gagner sa liberté, c’est dans la mesure où le travail est là encore pensé comme un acte qui fonde l’identité de l’homme. L’homme n’est lui-même que par le travail : il est l’essence de l’homme, dit Marx, ce par quoi la « nature devient pour l’homme ». Le « vrai travail », dit-il, est l’acte par lequel l’homme remplace le donné naturel par ses propres œuvres, ce par quoi le monde naturel devient humain.
Pourtant, que le travail nous affranchisse de la nature ou nous fasse accéder à notre identité semble correspondre à une visée idéale du travail, à ce qu’il vise en son essence : mais la réalité du travail correspond-elle à son essence ? Autrement dit, peut-on dire que tout travail libère l’homme ?
2. Le travail nous fait perdre notre liberté
A. Le travail sous sa forme productive reconduit la nécessité naturelle
En réalité, on peut douter des vertus libératrices du travail dès lors que l’on considère le travail sous sa forme moderne, à savoir le travail productif, tel qu’il est organisé par la division du travail. Visant essentiellement la libération à l’égard de la nature et de sa nécessité, le travail perd alors son but initial : il avait pour but de satisfaire nos besoins ; son but devient la production elle-même. Il devait appeler l’homme à se développer ; il le coupe de tout effort comme du rapport au résultat final du travail. « Du même coup, écrit Hegel, cette abstraction de l’habileté et du moyen rend plus complets la dépendance et les rapports mutuels entre les hommes pour la satisfaction des autres besoins, au point d’en faire une nécessité absolue. »
Dès lors que le travail n’est plus le moyen par lequel nous nous affranchissons de la nature mais ce par quoi nous retournons à la nécessité naturelle, on peut dire qu’il nous fait perdre cette liberté à laquelle nous accédions dans le cadre d’un travail artisanal.
B. Le travail moderne nous aliène
Ainsi, si le travail nous fait perdre notre liberté, c’est que de libérateur il devient aliénant : alors même qu’il nous libérait, il devient dans le cadre du travail productif l’outil de notre aliénation. Loin de nous humaniser, le « travail réel » que décrit Marx nous animalise. En lui, dit Marx dans les Manuscrits de 1844, « ce qui était animal devient humain, et ce qui était humain devient animal ». En effet, répétitif, désincarné, abstrait, ce travail n’a plus de raison d’être que le besoin vital. « L’homme fait de son activité vitale, écrit Marx dans Ébauche d’une critique de l’économie politique, de son essence, un simple moyen de son existence ».
Mais ce moyen de survivre que devient le travail dépossède l’homme de lui-même : privé du rapport au produit de son travail, le travailleur est alors aliéné en ce qu’il vend sa force de travail (il produit pour un autre en échange d’un salaire), et ne peut plus se reconnaître dans le résultat de son travail. On peut alors dire que si le travail nous fait perdre notre liberté, c’est dans la mesure où il devient ce par quoi l’homme se perd lui-même en devenant étranger à ses propres yeux.
Mais au fond, si le travail moderne nous fait perdre notre liberté, n’est-ce pas parce que le travail est en soi une activité négatrice de liberté ?
3. Le travail et la liberté sont incompatibles
Après avoir montré en quoi le travail sous sa forme moderne nous faisait perdre notre liberté, il s’agit de montrer en quoi le travail est par essence un obstacle à la liberté.
A. Le travail est l’activité qui nous attache à la nature
Enfin, on peut dire que si le travail nous fait perdre notre liberté, c’est essentiellement parce que nous ne sommes libres qu’affranchis du travail. C’est là la conception du travail propre à l’Antiquité grecque, conception qu’examine Hannah Arendt dans la Condition de l’homme moderne : loin d’être une activité noble, humanisante, le travail est l’activité qui nous rattache à la sphère des besoins biologiques, à la nécessité de la nature.
« Les Anciens (…) jugeaient qu’il fallait avoir des esclaves à cause de la nature servile de toutes les occupations qui pourvoyaient aux besoins de la vie (…). Travailler, c’était l’asservissement à la nécessité, et cet asservissement était inhérent aux conditions de la vie humaine. Les hommes étant soumis aux nécessités de la vie ne pouvaient se libérer qu’en dominant ceux qu’ils soumettaient de force à la nécessité. » Ainsi, le travail étant indissociable du besoin, c’est-à -dire du seul souci de survivre, il est aussi ce en quoi l’homme perd son humanité.
B. Gagner sa liberté, c’est se libérer du travail
Par conséquent, l’homme libre, dit Arendt, est précisément pour les Grecs de l’Antiquité, celui qui ne travaille pas. « L’institution de l’esclavage dans l’Antiquité (…) fut une tentative pour éliminer des conditions de la vie le travail. » Ainsi, il n’y a pas de liberté possible dans ni par le travail : la seule liberté possible, correspondant au statut de l’homme libre, est celle de la vie sans travail.
Au caractère répétitif du travail, caractère lié au but du travail, à savoir la reconduction de la vie biologique, s’oppose alors le caractère actif de l’homme sans travail, l’homme libre, celui-ci consacrant son temps aux affaires publiques. La vie politique, vie d’action, serait alors la seule vie proprement humaine, opposée en cela au champ des activités laborieuses qui ramènent l’homme à son animalité.
Conclusion
En définitive, on peut dire que si le travail nous fait perdre notre liberté, c’est en tant qu’il relève de la nécessité propre à la vie biologique. Rivé au besoin, le travail nous empêche d’être libre en ce sens qu’il constitue un obstacle à la réalisation de l’homme, que l’humanité de cet homme soit définie par son aptitude politique ou par sa créativité.
De fait, si le travailleur moderne ou l’esclave sont soumis à la nécessité, on peut dire qu’ils sont aliénés en ce qu’ils tournent le dos à leur humanité. Si le travail fait perdre la liberté, c’est finalement dans la mesure où l’homme se perd lui-même dans le travail.
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NORMAN - ERDOGAN ET LES CHUTES DE CHEVAUX, HOAX OU REALITÉ ?
de quoi tu parle le timbré sexuel ?????!!!!! le président Erdogan est un humain il peut tomber ouais et alors ???
Le 09 juin 2021 Ă 12:00:19 :
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NORMAN - ERDOGAN ET LES CHUTES DE CHEVAUX, HOAX OU REALITÉ ?
NORMAN - ERDOGAN A T'IL UN QUELCONQUE POID SUR LA SCENE INTERNATIONALE ?
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Turquie = shithole
Tous les turcs se casse de ce pays pour fuir en Europe tellement il est pourri
Données du topic
- Auteur
- Holocon2
- Date de création
- 9 juin 2021 Ă 11:51:59
- Date de suppression
- 9 juin 2021 Ă 14:00:16
- Supprimé par
- Modération ou administration
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