J'utilise mon droit de blasphème donc ce que je dis est parfaitement légal
Cette religion est parfaitement absurde, impose des choses complètement ahurissantes.
Par exemple : le voile pour les femmes parce que "gneu gneu seulle l'eux marri a le droa de voar sa fam", la ramadan pour "se mettre à la place des pauvres qui n'ont rien" (d'ailleurs je savais pas que les "pauvres qui n'ont rien" mangent une quantité astronomique de bouffe une fois le soleil couché )
Sans oublier les mariages arrangés où les parents envoient leur fille (mineure) se marier avec un mec de 40 piges
J'en ai fait les frais d'ailleurs, j'avais une voisine arabe de mon âge il y a quelques années, on s'entendait super bien (Elle avait la peau pâle, donc elle était blanche du coup)
Quand on avait 15 ans on était hyper proches, elle m'a dit qu'elle m'aimait mais qu'il fallait surtout pas que ses parents l'apprennent. On a donc vécu notre amour en cachette, elle me rejoignait à mon internat une fois qu'elle avait fini ses cours, Je rappelle qu'on avait le MÊME âge donc no pédo et le week-end ou pendant les vacances on sortait en ville et on passait nos journées tous les deux
Bordel tout était si parfait
Et un jour devinez quoi ?
Il était 11h30 environ, j'entends de la musique orientale en bas de chez moi, je dormais encore donc ça m'a évidemment réveillé. Je me dirige vers mon salon et là qu'elle fut ma surprise de voir ma voisine en robe en compagnie d'un mec de plus de 40 ans qui la tenait fermement par le bras.
Je l'ai appelée, elle m'a regardé les larmes aux yeux. J'ai dit "attends je descends", elle a fais non de la tête.
J'ai lâché un petit "je t'aime", elle a dit "moi aussi" (C'était inaudible évidemment mais je vis au 1er étage donc il était facile pour nous de lire sur nos lèvres
Tout ceci est no fake, je l'ai jamais revue depuis et quand je demandais des nouvelles à ses parents ils me hurlaient dessus en me disant que ça me regardait pas et qu'elle était là où elle devait être. Je suis même allé voir les flics pour tout leur raconter, ils m'ont dit "on peut rien faire"