Il assassine un militaire français et finit avec un pieu dans le c*l !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Soleyman_el-Halaby
Sentence
En raison de cet acte, le conseil de guerre le condamne à mort, ainsi que ses complices, avec exécution le jour des obsèques de Kléber (17 juin). Les complices ont la tête tranchée au cimeterre avant que leurs corps ne soient brûlés sous les yeux de Soleyman. Celui-ci est condamné au supplice du pal, dont l'exécution est décrite en ces termes par Claude Desprez, un érudit du xixe siècle2 :
« L'homme fut condamné, par le conseil de guerre français, à avoir les poings brûlés puis à être empalé vif. Le bourreau Barthèlemy coucha sur le ventre Soliman, tira un couteau de sa poche, lui fit au fondement une large incision, en approcha le bout de son pal et l'enfonça à coups de maillet. Puis il lia les bras et les jambes du patient, l'éleva en l'air et fixa le pal dans un trou préparé. Soliman vécut encore durant quatre heures, et il eût vécu plus si, durant l'absence de Barthèlemy un soldat ne lui eut donné à boire : à l'instant même il expira. »
Le médecin français Dominique-Jean Larrey, rapporte en 18033 :
« Le courage et le sang froid avec lequel Sulayman se laissa brûler la main droite et empaler étonnent l’homme sensible, et prouvent combien la ferme volonté de l’individu influe sur les sensations physiques. Il vécut environ quatre heures, au milieu des plus cruelles souffrances, sans faire entendre une seule plainte. La brûlure de la main s’était portée jusqu’aux os ; et le pal, après avoir dilacéré les viscères du bas-ventre, les nerfs et les vaisseaux, avait fracturé l’os sacrum, deux vertèbres lombaires, et s’était implanté dans le canal vertébral. Je me suis convaincu de ces faits par l’inspection que je fis, quelque temps après, de son cadavre, quoique déjà desséché : j’en ai déposé le squelette au muséum d’histoire naturelle. »
Le crâne et le stylet de Soleyman al-Halabi ont longtemps été exposés au Musée de l'Homme à Paris[réf. nécessaire].
Le poignard qui servit à tuer Kléber est exposé au Musée des beaux-arts de Carcassonne. Il a été rapporté par son secrétaire André Peyrusse (1774-1854) et offert à la ville par son frère, le trésorier de Napoléon, Guillaume Peyrusse4,5.
C'est fou le contraste entre les époques. 200 ans c'est presque hier.
Il suffit de voir à quelle vitesse est passée la décennie 2010-2020. C'est seulement un x20
Je vois pas l'intérêt de garder le poignard et tout pour les mettre au musée
Genre les gens vont le voir en se disant :"Ce poignard a servit à déchirer l'anus d'une homme, cool" et le conservateur qui dit "Et voila le couteau qui a découpé l'anus de Celestin, admirez, il y a encore quelque traces de merde séché"
Le 26 mai 2021 à 00:43:25 :
Je vois pas l'intérêt de garder le poignard et tout pour les mettre au muséeGenre les gens vont le voir en se disant :"Ce poignard a servit à déchirer l'anus d'une homme, cool" et le conservateur qui dit "Et voila le couteau qui a découpé l'anus de Celestin, admirez, il y a encore quelque traces de merde séché"
C'est son couteau à lui, pas le couteau qui a servi à son exécution
Le 22 mai 2021 à 23:20:05 :
Putain on savait rigoler à l'époque
Le 26 mai 2021 à 00:45:53 :
Le 26 mai 2021 à 00:43:25 :
Je vois pas l'intérêt de garder le poignard et tout pour les mettre au muséeGenre les gens vont le voir en se disant :"Ce poignard a servit à déchirer l'anus d'une homme, cool" et le conservateur qui dit "Et voila le couteau qui a découpé l'anus de Celestin, admirez, il y a encore quelque traces de merde séché"
C'est son couteau à lui, pas le couteau qui a servi à son exécution
Données du topic
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- Haimebitch
- Date de création
- 22 mai 2021 à 21:11:25
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