La fumée entraine une désinhibition ce qui entraîne cette liberté de pensée .
Globalement on est à la base une sorte d'électron libre bourré de ressources mais qui finit dans la petitesse, conscrit par ses inhibitions ( morales, physiques , sociétales)
Les grands poètes écrivaient sous absinthe : leur sens s'en trouvaient décuplés et leur art magnifié. Malheureusement cela retombe vite en plus de détruire le corps pour quelques heures d'esprit transcendé.
Il y a une réponse à chercher la dedans