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Il FAUT une SOCIÉTÉ MATRIARCALE !

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C'est le seul rempart face à la décadence. :ok:

Les germants-scandinaves l'ont très bien compris et vivent aisément :oui:

Le sexisme ambiant sera définitivement abolie, ainsi que les revendications virilistes grotesques.

Ce système ne se baserait pas sur une discrimination sexuelle, mais sur l'importance accordée au féminin, car la femme incarnant la reproduction de l'espèce et son espoir de pérennité dans une dimension temporelle qui n'était pas linéaire comme elle le devint avec le patriarcat, mais circulaire et cyclique où prend naissance le mythe de « l'éternel retour ».

Dans cette société, les rapports entre femmes et hommes seraient assez égaux même si la prépondérance serait accordée au féminin en raison de la religiosité qui entoure la maternité. Le matriarcat ne doit probablement jamais maltraiter les hommes, et le passage au patriarcat doit se faire dans une relative égalité des sexes jusqu'à ce que pour des raisons qui restent à étudier celui-ci s'instaure définitivement dans la violence et par la discrimination qui est encore inhérente aujourd'hui.

On pourrait inaugurer ces sociétés matriarcales par une structure en familles élargies collectivistes (clans), matrilinéaires, sans mariage, ni paternité génétique reconnue. L’enfant appartiendra au clan de sa mère dont est exclu le géniteur.
Les enfants sont élevés par les hommes de leur clan (oncles maternels) et non pas par leur géniteur.

Il n’y aura pas de couple, ni de fidélité, ni de jalousie, ni de possessivité, ni de violence sexiste, ni de prostitution, ni aucune marchandisation du sexe. Quand bien même il existera certaines formes de mariage, on parlera plutôt de concubinage, d’unions temporaires à durée déterminée. L'oncle maternel restera le premier référent auprès de l’enfant, le père n’aura aucun droits, et les mœurs sexuelles resteront plutôt permissives et laxistes. :ok:

Les affaires internes à la famille sont plutôt gérées par les femmes, tandis que les affaires externes à la famille sont plutôt gérées par les hommes. La répartition du travail se fait au mérite. Ainsi, la mère n’est pas au-dessus mais au centre de la société. De manière générale, les femmes possèderont les enfants, les foyers, la terre, les commerces… Elle vont élire et révoquer les chefs mâles, et ont un droit de veto sur toutes leurs décisions. Par conséquent, la femme détient le pouvoir mais ne l’exerce pas. L'homme exercera le pouvoir mais ne le détiendra pas. Le pouvoir de l’homme procèdera toujours du consentement de la femme. :bave:

Je pourrais étayer plus si vous avez des questions :hap:

Chez moi c’était comme ça
c'est pas déjà le cas ? :(
T'as lu trop de trucs sur les elfes noirs l'auteur.
L'auteur qui s'excuse quand il éjacule.

Le 19 mai 2021 à 23:09:27 :
L'auteur qui s'excuse quand il éjacule.
:rire:

Le 19 mai 2021 à 23:07:41 :
c'est pas déjà le cas ? :(

Loin de là, il y a d'ailleurs pas de rapports avec ceux que je viens de citer. :ok:

Le 19 mai 2021 à 23:07:09 :
Chez moi c’était comme ça

Des modèles de sociétés matrilinéaires et mastriques ont déjà existé aux 4 coins du globe. Tu es de quelle origine ?

Les hommes, ayant marre de se partager les mêmes femmes, vont coopérer et user de leur supériorité physique pour reprendre le pouvoir et réinstaurer un patriarcat encore plus sévère qu'avant pour leur faire comprendre la leçon

Le 19 mai 2021 à 23:10:14 :
Non + j'ai pas lu.

Ma société idéale :d)

- Sur la Terre, règne la loi du plus fort. Pour tenter d'équilibrer le droit à la survie, des règles doivent différencier hommes et femmes. Les femmes doivent être prioritaires dans l'héritage des terres, sinon la peur de la misère restera enfouie en elles. Cette peur est démultipliée pendant les grossesses et se communique aux enfants à naître. Conséquence : les enfants, garçons et filles, traversent la vie sans estime de soi, avec, dans leur subconscient, l'esprit de soumission, la paralysie, la rancoeur, ...

- Les femmes doivent être présentes partout où la préservation de la vie est en jeu, c'est-à-dire dans toutes les instances de décisions, à tous les niveaux.

- Pour le respect de l'intégrité de la personne, une femme doit avoir son lit et sa chambre personnels. Les partager doit être à chaque fois le fait de son libre choix, l'expression de son souhait. Elle est en permanence en état de vulnérabilité si elle est matériellement dépendante de l'homme qui partage son lit. Qui plus est, pour une raison biologique naturelle, les maladies sexuellement transmissibles atteignent davantage les femmes. Le plaisir n'est au rendez-vous que si le rapport est librement consenti mais avant tout voulu. En tout cas, le risque de grossesse lui est spécifique et ce n'est pas le moindre. On peut vraiment dire que la vie des femmes est généralement soumise à une forme de barbarie. Elles sont bien des êtres de second rang et elles s'y sont habituées, de telle sorte que si elles n'ont pas appris à penser leurs émotions et à les exprimer à voix haute, elles croient que c'est là leur condition naturelle. La grande majorité des hommes ne peuvent se représenter les terreurs que vivent les femmes dans leur for intérieur, ils préfèrent se persuader que, puisqu'on dit que les femmes d'aujourd'hui sont émancipées, elles ont dans leur vie sexuelle les mêmes plaisirs, les mêmes problématiques qu'eux-mêmes. Rien n'est moins vrai, évidemment.

- Un homme ne devrait jamais proposer un rapport sexuel à une femme. Cette femme n'a peut-être pas la possibilité de refuser ; c'est le cas si elle craint de perdre un ami ou de se voir exclue par le fait que cet homme ira chercher des femmes plus faciles. Elle doit répondre sans délai à l'invitation. Elle est ni plus ni moins un produit dans la vitrine d'un restaurant, sauf que le risque est mille fois plus grand. Pour le moins le marché est malhonnête. Qui court des risques ? Elle ou les deux ? C'est dans ce sens que l'éducation des femmes aux sujets de sexualité masculine / féminine doit être rendue obligatoire.

- A vingt ans, on ne sait pas qui on épouse, il est donc irresponsable de lier à vie tous ses intérêts à un inconnu, et pour les adultes d'encourager ce qui n'est qu'une coutume. En plus, on ne fait pas des enfants avec un homme qu'on n'aime plus. Quand l'amour n'est même pas là le jour de la conception, comment peut-on améliorer l'humanité ? L'institution du mariage est donc une aberration. Les intérêts des femmes en tant que telles doivent être pensés en dehors de ceux des hommes.

- L'éducation des femmes doit être soignée et se continuer toute la vie. Les hommes fréquentent les stades et les bars ; pour eux les lieux où se rencontrer ne manquent pas, tandis que les femmes doivent souvent rester dans la solitude, elles ne peuvent profiter des expériences de leurs consœurs, elles pensent que leur problème leur est spécifique, elles sont loin d'imaginer que toutes les femmes souffrent les mêmes tourments. Un lieu réservé doit être prévu pour les femmes dans chaque communauté de vie. Là, elles pourront apprendre des autres femmes, elles pourront aussi y allaiter leurs enfants. En effet, une femme qui a choisi l'allaitement pour son enfant est condamnée à rester confinée chez elle pendant des mois, par crainte des regards et des commentaires inappropriés.

-- L'éducation au métier de parent est un droit, d'abord pour les femmes. Les premières années d'éducation de l'enfant sont primordiales, c'est-à-dire que la mère est le plus proche de lui. Avec une mère bien éduquée, même un être peu moral enregistrera dans son inconscient un modèle qui lui évitera les plus mauvais désagréments à l'âge adulte.

- Si une femme désire un enfant, elle doit savoir que n'importe quelles circonstances ne conviennent pas. Elle doit en parler à son partenaire, se mettre en condition, rêver l'enfant avant la conception, et ceci des mois à l'avance. L'esprit sage qui cherche une famille où s'incarner ne s'attardera pas auprès d'âmes qui s'accouplent à la va-vite ou à la manière des animaux. Une femme instruite des choses de la vraie vie sait qu'elle peut dans une certaine mesure influer pour accueillir chez elle un esprit raffiné. La venue d'un être supérieur sera une bénédiction pour la vie entière.

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ToiGoyMeFeed
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19 mai 2021 à 23:05:57
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