[RISITAS] Carabistouille en ex-RDA
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Chapitre 1 : Halte à Berlin
Les haltères retombèrent lourdement par terre. Cette sensation d'étirement musculaire qui courrait le long de mes pectoraux, bien congestionnés pour une fois, me signifia que j'avais tout donné. Bordel, ça fait tellement de bien de s'arracher en mode go muscu, de tirer une sale gueule de triso pendant l’effort en poussant des gémissements de porc en rut, , et, surtout, cette indescriptible satisfaction quand vous sentez que les dix dernières vont être difficiles, un magnifique boule bien ferme de chez père dodu vous passe sous le nez et que, grâce à cette stimulation sensorielle des plus agréables, vous finissez par en faire vingt. Sortie de salle, j'étais en condition physique parfaite. Il était 19h en cette agréable soirée d'avril 2017 lorsque je reçus un appel de mon pote de boulot Karl qui me proposait un bon resto avant de partir en boite pour chasser de la femelle.
Après avoir bouffé comme des enculés, nous partîmes toute la nuit danser. A peine arrivés sur place, c'était déjà chaud. Malgré que mes formes congestionnés étaient bien dessinées par ma chemise blanche, , ce qui dégageait une allure d’alpha, j'avais en réalité, encore cette appréhension dont les racines se trouvent quelque part entre les renoncements d'une mère dénaturée et des humiliations de la part des fillettes de la maternelle, des filles à l’école puis des jeunes femmes à l’université . Ce voile de pensées négatives s'estompait néanmoins dès lors que je repensais à chaque fois, le chemin parcouru depuis, mon putain de doctorat et, accessoirement, le nombre de connasses qui m'avaient tant de fois descendu et que j'ai fini par monter avant de jeter comme de vulgaires capotes usagées . En screenant un peu les lieux, notamment les sorties de secours, Karl m'apporta une bière. Dès la première gorgée, je sentis la différence entre les bières (que dis-je, la pisse !) que j'avais l'habitude boire en France et ici en Allemagne . Cela dit, en apercevant une blonde platinée à deux mètres de moi, je compris instantanément que ce constat ne se limiterait point à ce délicieux breuvage. Premier échange de regard : j’en ai eu mal aux yeux, tant cette fille suintait le cul. Une bombe, un mannequin, un avion de chasse, les mots ne me manquèrent point sur le moment pour décrire le potentiel reproducteur de cette femme qui, selon toute vraisemblance, était destinée à mettre au monde une demi-douzaine de morpions. Je sentis mes récepteurs dopaminergiques en manque, je tremblais comme un quai, et manquais de foutre mon verre par terre . Cependant, je retrouvais en une fraction de seconde, mon calme souverain en repensant à ce topic de grand débile mental qu'un putain de khey en or massif sertis de saphirs avait posté ici et qui racontait en quelles circonstances ahuries il s'était retrouvé à chier dans un bon Dieu de saladier au fin fond d’une rangée de pantalons en rayon d'un magasin Auchan . Cela fit son effet et je retrouvais mon allure d'alpha, même si restait toujours en arrière-plan, cette timidité envers la gente féminine qui remonte à mes premières années. Je bombai le torse, et, verre en main, Karl et moi, partîmes aborder les filles qu'on avait repéré dont cette blonde platinée, cette aryenne, cette beauté, d'une sainte pureté que tout black ou beur, de son génome, rêverait de souiller . Malgré tant d'années pendant lesquelles je n'avais pas parlé la langue de Goethe, ces seize ans de Rammstein dans les oreilles ne m'avaient pas lâché. On fit connaissance avec le petit groupe de filles, il se trouve que Karl en connaissait une. Bonjour moi c'est ValiumRoche. Es freut mich Sie kennen zu lernen Ich bin Französen (avec un long r roulé à la Adolf please). El famoso Français quand tu es à l'étranger n'est pas une légende et tout de suite une fille vint vers moi pour taper la causette, franchement pas dégueu, un solide 7, les yeux bleus, les cheveux bruns, la gueule un peu carrée, bref sur le coup on aurait dit Romy Schneider jeune. Mais contre tout attente, les clés, la blonde platinée que j'avais dans le viseur, et ben ELLE SE CASSE Bordel de merde le seum qui m'envahit dès lors. Je me voyais déjà rentrer chez moi la queue entre les jambes comme un putain de fragile. Je restai impassible pour ne pas passer pour un enculé qui aurait déjà repéré sa proie et surtout ne pas vexer Romy Schneider. Quelques minutes passèrent, Karl me proposa une clope, que je refusai, bien que ce n’était pas l'envie qui manquait. Et là, je me retrouve TOUT SEUL COMME UN CON, TOUT LE MONDE EST PARTI CLOPER. Je me posai à une table et vidai mon verre d’un trait, le cœur vide et les couilles PLEINES. Et là contre toute attente, par le fruit un hasard Gaussien dont il eut été indécent d'en prédire la probabilité, la blonde platinée se repointa oklm avec un verre à chaque main et en posa un à ma table. Mon cerveau se réveilla, mais pas aussi vite que mes couilles.
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Chapitre 2 : La parade
- C'est pour moi ?
- Ben oui ton verre est vide voyons
Moment de solitude suprême. Ce n’est pas une légende, les Allemands ne font pas de détails. Elle s'assit. Issou Marie Joseph, j'avais pu au loin apercevoir ses courbes de rêves, et maintenant, c'était sa voix d'argent dans les tympans, et un décolleté plongeant de terroriste dans les rétines.
- J'ai cru comprendre que tu étais un étranger ici
- Oui je viens de France, je sais pas si tu connais Karl c'est un pote à moi on est stagiaires dans la même boite, y’a zéro boulot correctement payé en France dans notre secteur toussa toussa.
On commença à taper la causette. Elle, elle bossait dans événementiel, la communication. Faut dire qu'elle était taillée pour ça la bougresse. On cause un petit quart d'heure puis je me suis levé chercher à boire mais avant je lui ai demandé ce qu'elle voulait. Elle me répondit avec un sourire qui ravage les tripes et vous chatouille les couilles :
- Comme toi
Je me sentis pousser six couilles. J'ai payé, je m'apprêtais à retourner à la table qu'elle m'avait rejoint au comptoir. Elle prit sa bière et tenez-vous bien, elle l’a vidé CUL SEC , sa putain de bière de 50cl, cette timbrée. La vue de ses mouvements de gorge à chaque gorgée qu'elle avalait m'a glacé le dos et projeté des vues pour le moins obscènes.
- A ton tour ! qu’elle me répond
Je galère à vider ce putain de verre, j'ai pas une descente de ouf mais j'y arrive. Sur le coup j'étais remonté, je prends son verre et le mien, je le repose au comptoir, je la prends par la main et lui dit :
- Komm’ zu mir meine schöne Pupelee, on va danser.
J'ai commencé à activer mes méninges pour essayer de trouver un genre de chorégraphie par trop pourrie afin d'éviter de passer pour un con quand même. On est partis danser comme ça une bonne demi-heure, entre deux bières, le GABA commençait à se faire sentir là-haut. Finalement la danse est venue tout seul. N’empêche j’ai quand même tiqué quand je l’ai vu torcher sa bière d’un coup. Je fis le rapprochement avec son physique de déesse. Et si c’était une russe bordel ? Genre allemande de l’est post-RDA ? Je me suis dit que j'irais la tester tout à l’heure en balançant un truc en russe, malgré mon niveau assez faible. Cela dit j’ai tout misé sur El famoso effet Pouchkine. On continuait de danser, de s'approcher mutuellement, de s'éloigner puis se recoller. Ça a commencé à bien chauffer. Je laissai mes mains se balader le long de ses hanches alors que j'avais son PUTAIN DE FIACRE qui commençait à sérieusement se coller à mes burnes. Elle sentit mes doigts de pianiste courir le long sur ses hanches. Elle se retourna doucement. Et tout aussi délicatement je m’approchai de ses lèvres et lui glissai en russe pas terrible :
- Je ne vais pas te demander combien de fois un homme t’a dit que tu étais belle mais je vais te demander si ça t’es déjà arrivée qu’on te dise que tu étais franchement moche ?
Là elle ne me lâche pas du regard et me demande :
- Tu parles russe ?
- Ben non tu vois c’est du mandarin
- Viens, on sort
- Mais Karl et les autres alors ?
Le Пoжалуйста qu’elle m’a sorti m’a littéralement fait chavirer. Nous sommes sortis de la boite. On a parlé d'elle, de son pays, dans un russe qui, lorsqu'il sortait de sa bouche fut des choses les plus apaisantes qu'il m'eut été permis d'entendre. Arriva dès lors La famosa question qui fâche :
- Qu’est-ce que tu penses de Poutine ?
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Chapitre 3 : Au front
Putain d’bordel, l’envie de baiser commençait vraiment à monter, et je n’avais vraiment pas l’envie de me faire recaler hors de la boite pour une putain de question à la con alors que tout s’était magnifiquement déroulé jusque-là . Du coup je commençé à lui pondre ça :
Ce n’est pas mon président je vais avoir du mal à avoir un avis objectif la dessus. Cela dit, objectivement, je pense que c’est un colosse pour vouloir diriger un pays comme le sien et qu’il a par conséquent une solide paire de couilles. En trois mandats, j’imagine facilement qu’il a fait beaucoup de bonnes choses pour son pays à en juger par exemple la politique menée pour le redressement démographique du pays qui a pris un grand coup dans savate la gueule après l’effondrement de l’Union Soviétique toussa toussa… Après sans doute aurait t-il du un peu plus écouter son compatriote Vladimir Jirinovski sur certaines idées comme le développement d’infrastructures genre routes, lignes de train et tout le bordel bref camper une véritable industrie du transport ou y’aurait zéro concurrence avec un pays aussi immense et anticiper La famosa route de la Soie…
Et là les cailloux, j’ai même pas eu le temps de finir ma thèse qu’ELLE M’A GALOCHE la gueule, en me mordant la langue et les lèvres. Face à ces délicieuses prémices de cannibalisme, l'escargot est quelque peu retourné dans sa coquille, m’ôtant par la même occasion cette sensation de serrage au niveau du zizi . J’ai alors senti ses mains me caresser le cul. Voilà une première voix qui me dit :
- T’inquiète pas khey no gay c’est une fille
Et la deuxième voix :
- Excellent ! Mais si c’est un trap khey, ca se passe comment ?
Cette seconde, ou cet affreux doute m’avait envahi m’a paru long comme deux éternités. Puis bon je me suis jeté. Dans ce genre de cas de figure, c’est comme quand tu fais un gosse, s’il y a un chromosome en trop qui se ballade on improvisera entre le RU-482 et la Mifépristone. C’est alors qu’elle me lança avec son regard plein d’envie :
- Tu viens chez moi boire un dernier verre ?
J’ai répondu avec le sourire mais en arrière-plan je me disais que si c’était un trap, on me retrouverait le lendemain pendu les veines ouvertes . Cela dit, son odeur d’œstrogène typiquement féminine m’a quelque peu rassuré sur la nature du matos qu’elle était susceptible d’avoir entre les jambes. Entre deux galoches sur le chemin, j’ai même pensé que cet état de démence temporaire mais marquant que j’ai ressenti me paraissait comme une atroce chimère entre un était d’hypochondriaque et la famosa théorie du genre qui pour sûr, condamnerait un large pan du génome humain à un trépas imminent au profit d’une sorte d’état de stagnation génétique plus ou moins contrôlée, une léthargie évolutive qui par définition est incompatible avec la vie
Mon quart d’heure de scientifique psychopathe s’est néanmoins vite estompé et je suis revenu aux fondamentaux lorsque j’ai plongé ma tête dans ses nibards : gros, fermes, et doux L’enfance merdique m’a renvoyé un instant ce complexe d’Œdipe dont nous souffrons tous sans le savoir la plupart du temps. Ça schlinguait les œstrogènes SAINTE MARIE ! Elle sentit, non sans surprise surprise, que je commençais à bander comme un taureau
- Humm c’est quoi ce que je sens-là tout dur ?
Moi, comme un con, sous pression, de but en blanc je réponds:
Ça l’a fait bien rire. On est arrivé chez elle, c’était plutôt cosy
- Du coup je te sers une Vodka qu’elle me demande
- Da !
On a discuté Poutine et Russie pendant une bonne heure facile. Je m’apprêtais à venir cueillir ses lèvres douces et pulpeuses qu’elle s’est levé pour aller mettre un peu de musique pour l’ambiance comme elle m’a dit. Le genre de musique que j’entendis alors m’a littéralement provoqué une descente d’organe
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Chapitre 4 : L'escarmouche
Elle a mis ça cette timbrée
https://youtu.be/zouk5pTLPng
BORDEL DE FION ! Des chants grégoriens orthodoxes qui sortent du lecteur MP3 du patriarche de Moscou ! Je me suis dit ça y’est c’est plié, une religieuse orthodoxe pure et dure, c’est no-zob et je l’ai dans le cul. Je me suis vu prier le Seigneur de l’atome à poil devant le réacteur numéro 4 éventré de la centrale de Techernobyl à respirer à plein poumons, à grands coup de 2500 roentgens dans les bronches, pour que je puisse lui foutre un bon coup de barre de bore tout de même.
Et le Seigneur de l’Atome me répondit : là elle s’est repointé, à moitié nue et s’est mise à califourchon sur moi tout en me regalochant de plaisir. Tout doucement, la trique revint. N’empêche, se retrouver avec une bombe qu’on s’apprête à sauter comme un bâtard en lui faisant les pires cochonneries et écouter cette musique tout en l’embrassant goulûment, ça file un effet indescriptible les quilles. T’as l’impression que c’est Dieu en personne qui t’envoie cette beauté . Bon à un moment donné, je commence à la lui faire comprendre que j’aimerais finir ce qu’elle a commencé, à savoir, la déshabiller entièrement.
- Faut que je prenne une douche avant, je n’aime pas le faire quand je me sens pas propre.
De mon côté, je reniflais discrètement une aisselle et, effectivement je ne sentais pas la rose non plus après avoir fait le con sur le dancefloor toute à l’heure, même si ma thèse sur Pladimir Voutine m’a tout aussi crevé. Elle partit se doucher. J’ai attendu deux minutes. Puis je suis parti la rejoindre la chemise ouverte, laissant ainsi apparaître mes pectoraux. Dans la salle de bain, elle m’a bouffé du regard et moi comme un boloss je lui faisais genre un strip-tease en me dessapant devant elle genre le truc méga-cliché. Puis est venue cette satisfaction, digne d’une sensation de plénitude rectale après avoir démoulé un alien post-cuite de trois kilos, cette putain de satisfaction de constater que finalement, elle n’avait pas un chibre de 25 cm, parce que je vous le concède, mes quilles, j’ai eu un doute au début. Je l’ai donc rejointe sous la douche. Nous nous embrassâmes à en nous en brûler l’âme. Après lui avoir caressé le dos, les seins, les cuisses, mordillé son cou et sucé le lobe de son oreille droite, j’ai commencé à m’intéresser à son intimité. Là, j’ai un croisé un regard que je ne suis pas prêt d’oublier. Un lancer de rétine qui me disait un je t’aime des yeux, derrière lequel sa cachait une attirance, une envie inextinguible, qui me fit oublier ses ongles qui commençait à labourer la peau de mon dos jusqu’au sang. Une attirance qui dissimulait tant bien que mal cette pulsion de reproduction qu’elle n’était plus capable de dompter. Ça les kheys, je vous le souhaite à tous, au moins une fois dans votre vie.
Avant de passer à l’action, je me suis remémoré le cycle de réplication et les modes de transmission du virus du SIDA et des premiers symptômes d’infection. Sait-on jamais, et puis c’est devenu un réflexe vu ma santé mentale qu’au fond je ne souhaite à personne. Mes deux doigts joueurs ont commencé à imprimer sur son visage d’ange, des traits de plaisir et de volupté, lorsqu’ils se sont introduits dans son sanctuaire des sanctuaires. Bordel un vrai torrent de mouille légèrement acidulé. Quant à elle, ou plutôt ses mains, elles étaient comme aimantées à mon membre viril qu’elle ne manqua pas de saisir et de stimuler vindicativement. C'est alors qu'elle se mit à genoux et me dit :
- Préviens-moi juste quand tu t’apprêtes à jouir
Elle commença à me tailler un crayon de malade genre à la Heather Brooke, une véritable artiste Cependant je n’en ai pas tiré de fierté dans la mesure où cette gourgandine m’a fait gicler en moins de deux minutes, tant son talent de fellatrice était démesurément des plus divins. Seulement, quand je lui ai dit que j’étais aux bords de la giclette, contre toute attente, la bougresse n’a pas arrêté ses mouvements divins, elle a au contraire, accéléré la cadence de ouf en me regardant avec son regard de succube. J'ai succombé. Elle m’a avalé de A à Z. J’ai revu dans ma tête la scène où elle torchait sa bière de 50cl cul sec et où je l’imaginais déjà dober mon foutre. J’en ai eu une larme à l’œil. On est sortis de la douche, je la vois s’enfiler un string, un bain de bouche de Chlorexidine et un brossage de dents en vitesse avec une vue imprenable sur son cul. Je l’ai aidé à fermer son appartement genre volets de la cuisine toussa puis on va se caler au lit au chaud. Et là, en bon gros fils de maman je lui demande :
- T’as deux paires de menottes ?
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Chapitre 5 : Stalingrad
- Oui pourquoi ?
- Sors-les
- Pourquoi faire ?
- Non c’est moi qui pose les questions.
- Elle s’est exécutée, doucement cambrée pour sortir deux paires de menottes d’un tiroir
- Allonges toi sur le lit
Elle s’exécuta, ayant compris où je voulais en venir. J’ai délicatement attaché ses deux poignets à la descente de son lit.
- Qu’est-ce que tu fais petit vilain ?
- Moi ? Je vais t’apprendre à hurler.
Là je lui ai enlevé son petit string et comme on dit dans les salles de jeux : rien ne va plus. J’ai commencé à lui bouffer son petit chat tout rose oklm, de une parce que je kiffe ça, et de deux parce que période réfractaire oblige fallait laisser passer le temps. Son cou a alors commencé à rougir et des gémissements on ne peut plus suggestifs commencèrent à sortir de sa bouche, entremêlées de saintes cochonneries en russe. PU-TAIN Au bout de dix-quinze minutes elle eut ses premières grosses contractions au niveau du bas ventre. Allez hop 1-1. Mes tympans se souviennent encore de ses cris, de même que les voisins. Me remémorant mes cours d’anatomie et de physiologie, je me suis souvenu que, au même titre que l’organe mâle, l’organe femelle, c’est d’une putain de sensibilité après l’orgasme . Mais comme elle était attachée, et que moi, ben j’étais un gros dégueulasse sur les bords, ben j’y suis retourné bien que plus délicatement cette fois, malgré le fait qu’elle me suppliait d’arrêter Le Seigneur savait à l’avance pourquoi, pas moi à ce moment-là. Dix minutes plus tard au moment du deuxième orgasme elle a croisé ses jambes pour bloquer ma tête. Mon petit côté maso a kiffé ce moment, jusqu'à ce qu'elle me lâche UNE CAISSE dans le TARIN. A partir de là, deux choses : non seulement les femmes pètent mais en plus ca ne sent pas la rose ? M'aurait-on une fois de plus menti ?
Pas le temps de disserter, cette espèce de greluche continuait de lâcher ses p'tits pets d'orgasme alors que ma tête qui était toujours kéblo Heureusement qu’elle m’a pas sorti les trompettes de la Saint-Barthélemy, autrement j’en aurais eu plein les sinus . Le pire c’est que sur le coup, elle ne s’en est même pas rendu compte. Du coup j’ai gardé cet événement secret défense pour moi. Après je me levé, passé par la case Hextril et de retour au pieu. S’en est suivie une intense séance de câlins, de tendres baisers, de compliments, nous savourâmes ce temps de nous reposer, et d’apaiser nos sens sur ces merveilleuses notes de musique https://www.youtube.com/watch?v=mmCnQDUSO4I ou encore la dessus https://www.youtube.com/watch?v=uqccaYkr0E8
Une petite demi-heure après j’ai sonné le tocsin et vous l'aurez compris, je lui ai rangé Stalingrad dans le fion à cette gourgandine , bien juteuse, bien serrée, je vous raconte pas les dégâts dans les draps. J’ai une deuxième larme à l’œil en pensant à tous mes petits soldats morts au front.
Bref, à 8h, je me suis barré en douce, j’étais déjà bien en retard pour le boulot Inutile de vous préciser qu’en repensant à l’intensité émotionnelle, de cette soirée et de cette nuit, il m’arrive de temps en temps d’en chialer et pas seulement de rire
Bien sûr, toussa toussa c'est
FIN
Ça a me rappelle quelques moments de ma vie l’auteur
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Données du topic
- Auteur
- ValiumRoche
- Date de création
- 16 mai 2021 à 15:10:42
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