Topic de StohessBOUGA :

Cette névrose en France sur la République

Le 08 mai 2021 à 10:15:55 :
C'est depuis que LaRem est au pouvoir.
Avant, même les socialo parlaient de France (et de Répupublique aussi bien sûr) https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529415961-faut-savoir.png
Là c'est "police de la république", "école républicaine", "valeurs de la république" bla bla https://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493487432-soraldoigt.png
C'est parce qu'ils se rendent compte que leur pouvoir tombe donc ils veulent marteler leurs conceptions de la France à tout va !

La IIIe république rigole

car c'est la religion d'état

la république en france n'est pas juste une manière d'organiser la politique et les lois, comme en iran, en turquie ou au kazakhstan, ce sont des républiques, mais ça reste des pays, la turqui est le pays des turcs, simplement organisé en république, la hongrie est le pays des hongrois, simplement organisé en république, mais ça s'arrête là.

en France, la république, c'est un état sur l'état, une civilisation à elle seule, un état fantoche greffée à la france, tout comme le Soviet était un état fantoche et parasite greffée à la Russie,

la République en France est une religion, avec sa divinité (fausse) Marianne, ses codes religieux: liberté égalités etc, sa mythologie : révolution, la liberté qui libère le peuple, etc...

les républicains français (je parle des politiciens) sont des fanatiques, les plus extrèmes parlent même de prier la république (j'ai oublié le nom du politicien), ils parlent de temples quand il s'agit des institutions

voilà pourquoi il y a tant d'hostilité contre les catholiques et surtout l'Islam, ils ont compris que des croyants, notamment musulmans, ne peuvent pas être républicains

The late Jean Raspail wrote of “The Fatherland Betrayed by the Republic.” What he meant is that the universalistic bromides of the French Revolution ultimately broke up the French themselves, destroying them as a nation, culture, and people.

Le 08 mai 2021 à 10:12:53 :
"les lois de la république"

"les endroits perdus de la république"

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/10/1489110187-complot.png

Le 08 mai 2021 à 10:09:40 :
Bah le rôle premier d'un système c'est de justifier sa propre existence

+1

Some want to bring back the monarchy, whether they support the Orléanist candidate or the Legitimist Duke of Anjou. There’s at least the possibility of rebirth.
Macron est président de la République Française d'Europe faut le savoir hein
voilà pourquoi les politiciens disent "la république " et non pas "la France"

La République est un cancer à exterminer.

Universalisme = destruction du peuple français dans sa dimension ethnique et désormais culturelle avec la "créolisation"
Laïcité = destruction de notre patrimoine catholique, aucune spiritualité si ce n'est l'hédonisme des Lumières
Jacobinisme = destruction de notre fantastique patrimoine régional

Et encore on a de la chance d'avoir un régime bonapartiste avec la 5ème plutôt qu'une pourriture parlementaire.

Le 08 mai 2021 à 10:18:38 :
car c'est la religion d'état

la république en france n'est pas juste une manière d'organiser la politique et les lois, comme en iran, en turquie ou au kazakhstan, ce sont des républiques, mais ça reste des pays, la turqui est le pays des turcs, simplement organisé en république, la hongrie est le pays des hongrois, simplement organisé en république, mais ça s'arrête là.

en France, la république, c'est un état sur l'état, une civilisation à elle seule, un état fantoche greffée à la france, tout comme le Soviet était un état fantoche et parasite greffée à la Russie,

la République en France est une religion, avec sa divinité (fausse) Marianne, ses codes religieux: liberté égalités etc, sa mythologie : révolution, la liberté qui libère le peuple, etc...

les républicains français (je parle des politiciens) sont des fanatiques, les plus extrèmes parlent même de prier la république (j'ai oublié le nom du politicien), ils parlent de temples quand il s'agit des institutions

voilà pourquoi il y a tant d'hostilité contre les catholiques et surtout l'Islam, ils ont compris que des croyants, notamment musulmans, ne peuvent pas être républicains

c'est comme un gouvernement illégitime qui force sur sa légitimité :(

comme De Gaulle et son gouvernement illégitime en 1940 :(

Le 08 mai 2021 à 10:19:00 :
The late Jean Raspail wrote of “The Fatherland Betrayed by the Republic.” What he meant is that the universalistic bromides of the French Revolution ultimately broke up the French themselves, destroying them as a nation, culture, and people.

Exa exa, le 17 juin 2004, dans un entretien au Figaro, Raspail, écrivain et explorateur, répond 31 ans après la parution de son livre prophétique Le camp des saints.

J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C’est pourtant l’interrogation capitale. J’ai hésité. D’autant plus qu’en 1973, en publiant Le Camp des saints, j’ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites.

Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu’« ils sont chez eux chez moi » (Mitterrand), au sein d’une « Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes » (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui verra les « Français de souche » se compter seulement la moitié la plus âgée de la population du pays, le reste étant composé d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer.

La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas rapport de l’ONU (qui s’en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment , mais ils sont systématiquement occultés et l’Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme…

Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de « l’accueil à l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050. Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile.

Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion progressive : c’est nous qu’on intègre à « l’autre », à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte je cherche un terme approprié d’une communauté de la pérennité française. Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.

Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque chose comme l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite ?

Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.

Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné. Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr…

Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons le qualificatif d’éternelle qui révulse les belles consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces « intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française.

Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication : ils confondent la France avec la République. Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini, on le sait jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, idéologie avec un grand « I », l’idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde.

Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l’étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République… »

Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : « Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie. » (Président Boumediene, mars 1974.)

Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse : « Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée. »

Il avait tout dit. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Le 08 mai 2021 à 10:22:57 :
La République est un cancer à exterminer.

Universalisme = destruction du peuple français dans sa dimension ethnique et désormais culturelle avec la "créolisation"
Laïcité = destruction de notre patrimoine catholique, aucune spiritualité si ce n'est l'hédonisme des Lumières
Jacobinisme = destruction de notre fantastique patrimoine régional

Et encore on a de la chance d'avoir un régime bonapartiste avec la 5ème plutôt qu'une pourriture parlementaire.

la 5ème était faite pour De Gaulle, ou toute autre personne aimant réellement la France

là les plein-pouvoirs sont donnés à des traitres, c'est très malheureux

Le 08 mai 2021 à 10:25:56 :

Le 08 mai 2021 à 10:19:00 :
The late Jean Raspail wrote of “The Fatherland Betrayed by the Republic.” What he meant is that the universalistic bromides of the French Revolution ultimately broke up the French themselves, destroying them as a nation, culture, and people.

Exa exa, le 17 juin 2004, dans un entretien au Figaro, Raspail, écrivain et explorateur, répond 31 ans après la parution de son livre prophétique Le camp des saints.

J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C’est pourtant l’interrogation capitale. J’ai hésité. D’autant plus qu’en 1973, en publiant Le Camp des saints, j’ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites.

Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu’« ils sont chez eux chez moi » (Mitterrand), au sein d’une « Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes » (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui verra les « Français de souche » se compter seulement la moitié la plus âgée de la population du pays, le reste étant composé d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer.

La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas rapport de l’ONU (qui s’en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment , mais ils sont systématiquement occultés et l’Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme…

Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de « l’accueil à l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050. Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile.

Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion progressive : c’est nous qu’on intègre à « l’autre », à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte je cherche un terme approprié d’une communauté de la pérennité française. Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.

Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque chose comme l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite ?

Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.

Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné. Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr…

Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons le qualificatif d’éternelle qui révulse les belles consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces « intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française.

Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication :ils confondent la France avec la République. Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini, on le sait jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, idéologie avec un grand « I », l’idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde.

Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l’étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République… »

Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : « Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie. » (Président Boumediene, mars 1974.)

Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse : « Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée. »

Il avait tout dit. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

ah oui c'est un long texte

j'ai un peu la flemme actuellement, je viens déjà de lire un assez long article (dont j'ai tiré les deux citations en anglais), mais je mets de côté :ok:

Le 08 mai 2021 à 10:10:13 :

Le 08 mai 2021 à 10:09:40 :
Bah le rôle premier d'un système c'est de justifier sa propre existence

y'a qu'en France qu'on force à ce point sur la république en vrai

parfois on pourrait croire que le nom de notre pays c'est "République"

BTG? ILS veulent détruire la France pour construire leur République universelle.

vous aussi le smiley ":ok:" n'apparait pas ?

Le 08 mai 2021 à 10:27:42 :

Le 08 mai 2021 à 10:10:13 :

Le 08 mai 2021 à 10:09:40 :
Bah le rôle premier d'un système c'est de justifier sa propre existence

y'a qu'en France qu'on force à ce point sur la république en vrai

parfois on pourrait croire que le nom de notre pays c'est "République"

BTG? ILS veulent détruire la France pour construire leur République universelle.

à mon avis ils ont peur du retour de la monarchie, parce-qu'en réalité en France il n'est jamais très loin

Un animal acculé se défend plus férocement.
S'ils sont toujours à brandir "La république", "La république", c'est parce qu'il savent que leur fin est proche, que leur système est précaire et que la foi de la population envolée.

bah tiens si tu veux du coup : https://www.amren.com/blog/2021/05/the-french-example/

c'est un pote américain qui m'a partagé ça

Le 08 mai 2021 à 10:10:13 :

Le 08 mai 2021 à 10:09:40 :
Bah le rôle premier d'un système c'est de justifier sa propre existence

y'a qu'en France qu'on force à ce point sur la république en vrai

parfois on pourrait croire que le nom de notre pays c'est "République"

C'est le cas : la République Française :pf:

Données du topic

Auteur
StohessBOUGA
Date de création
8 mai 2021 à 10:09:07
Nb. messages archivés
131
Nb. messages JVC
110
En ligne sur JvArchive 329