[RISIFIC] Celestin Crusoé ou l'ascension d'un mortel vers la connaissance infinie.
Bonjour. J'ai eu l'envie d'écrire une fanfiction. Du coup, j'vais pas m'attarder plus longtemps
Petit Disclaimer : Tout d'abord, je ne sais pas jusqu'où j'aurais la motivation. Si l'histoire vous passionne, alors j'essayerai de me motiver à continuer. De plus, le genre de cette Risific sera un peu plus sombre et potentiellement SF. Donc, certains concepts pourrait être tirer par les cheveux. Dans ce cas, faites avec. Si jamais c'est trop absurde, j'en prendrais note. Mais comme je suis quelqu'un d'assez joueur, ça sera une histoire.. à choix évidemment. J'ai hâte de voir ce que vous allez choisir.
Si vous avez des questions, postez à la suite et je tâcherai d'y répondre. Ceci dit, commençons.
----
Chapitre 1 : Le jour où tout à basculé.
Bonjour, je m'appelle Celestin. J'ai 45 ans. Et ce que je m'apprête à vous contez est une aventure hors du commun et pourtant, elle m'est vraiment arrivée. Elle a changée ma vie de tout au tout. J'espère que vous prendrez plaisir à la lire.
Je me lasse pas de relire et de repenser à cette formidable aventure que j'ai vécu. A chaque fois, des frissons parcourent mon corps et je me rends compte que j'ai eu une chance incroyable. D'ailleurs, en y repensant.. ça avait très mal commencer.
A cette époque, j'avais 17 ans. Je venais d'entrer au lycée de mon quartier. Comme vous vous doutez bien, je n'étais pas quelqu'un de spécialement attirant ou autre. Légèrement boutonneux, balbutiant quelques mots au lieu de former des phrases, rougissant à n'importe quelle femme qui vient me parler. Bref, tout ça pour dire que mes années lycées n'ont pas été des plus florissantes. Pourtant, c'est bien de là que tout commence :
- Hey, Celestin ! Tu n'as pas oublier j'espère !
- Rooh, mais c'est pas possible ! Bon, écoute bien. Nous partons tous en croisière pendant deux semaines, pour les vacances d'automne. Le départ est prévu dans deux jours, au port de Marseille. Tu es prêt ?
- Mince ! J'avais complètement oublier ça.
La croisière.. Je ne m'en souvenais plus. Entre les brimades les cours et les révisions, cela m'était complètement sorti de la tête. Mais j'avais donner mon accord et je pouvais pas non plus faire marche arrière. Nous discutions encore quelques minutes avant que mon père ne rentre de son boulot. Mon père était quelqu'un d'assez dur avec moi. Il ne se gênait pas pour me faire des remarques sur le fait que je passe trop de temps sur mon ordi ou qu'il m'entendait me branler... Ce qui avait tendance à me mettre mal-à-l'aise. Mais heureusement, aujourd'hui, il était bien trop heureux pour dire quoique ce soit.
De mon côté, après avoir manger avec ma famille, j'étais remonter dans ma chambre pour me renseigner sur cette croisière. Celle qui devait nous faire traverser la Méditerranée. Le voyage se disposait comme ceci : Marseille -> Palmas -> Cagliari -> Rome -> Marseille. Un beau programme en tout cas.
-------
Le jour du départ arriva enfin. Grâce aux contacts de mon père, nous avions pu être parmi les premiers à embarquer. De ce fait, nous avions eu les meilleurs suites.. Quelle erreur cependant. Quoiqu'il en soit, plusieurs heures après l'embarquement, la croisière commença enfin. Au départ, je n'étais pas emballé du tout. Déjà que je n'arrivais pas à me faire d'amis dans ma classe mais en faire ici, je ne voyais pas absolument comment m'en faire. Surtout que ma génitrice insistait pour ne pas que je reste seul sur mon téléphone.
- Celestin ! Tu peux pas rester déjà ta chambre sur ton téléphone alors que nous venons de partir !
- Mais enfin maman ! Tu sais.. très bien que je suis pas à l'aise.. avec les gens !
- Ce n'est pas une raison ! Tu sors de cette chambre et tu n'y reviens pas avant la nuit tombé.
J'étais dépité de voir que ma génitrice ne voulait pas me comprendre. Un soupir s'était échappé alors de mes lèvres tandis que je me levais pour ouvrir la porte de ma chambre. Un long couloir se dévoilait alors devant moi, munie de diverses portes les unes en face des autres. J'ai donc refermé doucement ma porte pour ne pas que le bruit résonne dans ce même couloir. J'avais pris la décision de monter sur le pont avant. C'était un endroit où il y avait peu de monde donc parfait pour profiter du calme afin d'être plus tranquille. Grossière erreur.
A peine j'eus le temps de monter l'escalier, qu'une personne m'avait percuter sacre bleuemment. La puissance du choc me fit alors tomber sur le dos, au début de ce même escalier, avec un poids sur mon corps. Le temps que je réalise ce qui venait de se passer, une femme était alors allonger sur moi. Cliché n'est-ce pas ? Et pourtant, je ne savais que faire. J'étais en pleine paaime. Mon front suait à grosses gouttes.
---
Voici les propositions :
A) Secouer légèrement la personne pour la réveiller.
B) Lui mettre une claque sur le cul pour la réveiller mais bien comme il faut
C) Crier "A l'aide" pour que quelqu'un vienne et vous surprenne
D) Ne rien faire et attendre qu'elle émerge de cette chute, quitte à attendre toute la nuit.
E) La repousser sacre bleuemment et se recroquevillez dans un coin en boule.
Voila ! J'espère que ce début vous plaira. Je prends tout les commentaires qui peuvent me donner des conseils. C'est ma première, soyez indulgents !
Chapitre I Partie 2 : Du cauchemar à la réalité.
La chute avait été assez douloureuse pour m'arracher une grimace. Je ressentais encore des fourmillements dans le dos et cette sensation de poids n'avait toujours pas disparu au bout de dix minutes. Cela commençait à m'agacer alors je déglutis un instant, levant ma main droite de manière assez fébrile, avant de l'abattre sur les fesses de la personne sur moi. Lentement, cette fille commence à émerger de son sommeil, redressant sa tête avant de se frotter les yeux. Lorsqu'elle me vit en-dessous d'elle, je n'eus pas le temps d'émettre le moindre geste qu'une sacre bleuente gifle s'abat alors contre mon visage. Elle n'avait pas été de main morte. Elle semblait vraiment en colère alors qu'elle pousse un gémissement de douleur en s'écartant rapidement de mon corps et en touchant son cul.
- Qui t'a permis de me toucher le cul comme ça ?! Ca va pas ? Espèce de pervers va !
- Je..Que.. Mais.. T..Tu étais.. su..sur moi et.. je... !
- Ferme là ! Espèce de porc va .. Tu me dégoutes..
Sans me laisser le temps de répondre quoique ce soit, elle s'éloigna de moi en courant, pestant encore plusieurs insultes à mon encontre. Tandis que moi, je me redressais tant bien que mal. J'avais une douleur qui me parcourait le dos mais c'était minime comparé à la fracture émotionnelle que je venais de me prendre en pleine face. Sous le choc, je me mis à remonter de nouveau les escaliers pour arriver sur ce pont. Le bateau avançait à une allure confortable, si bien qu'on avait pas une sensation de vitesse extrême, même à cet endroit. Le vent fouettait mon visage tandis que je me mis à pleurer comme une bouse. Oui littéralement, à ce moment, je me sentais comme une petite bouse.
J'avais été incapable de m'excuser, de me défendre ou autre et je l'avais laisser m'insulter. Pourtant, la seule chose qui me venait à l'esprit, c'était la douceur de son cul. J'étais peut-être vraiment un porc après tout. Cette vision me hantait vraiment, si bien que j'avais l'impression de devoir m'excuser à tout bout de champ. Ces vacances venait à peine de débuter que j'allais être cataloguer comme un pervers par tout le bateau à cause de cette connasse. J'avais serrer les dents à cette époque, essayant de me focaliser ailleurs comme sur l'île que je voyais au loin, rêvant d'exploration. Quel doux rêve. Mais non, j'étais coincé dans ce bateau de bouse avec une famille qui me voit comme un déchet associable et une ribambelle de gens qui vont désormais me regarder de travers.
Ces pensées venaient assombrir encore un peu plus, un tableau déjà bien sombre quand soudain, le bateau se mit à sacre bleuemment tanguer de gauche à droite. C'était si sec que j'étais passé d'un bout à l'autre du ponton, les vagues se fracassant contre la coque alors que le vent se mit à hurler de toutes ses forces. Des sirènes se font entendre à bord du paquebot, le commandant lança alors un message d'alerte.
Avis à tout les passagers, veuillez vos cabines immédiatement pour votre sécurité, nous... sons une ... de.. tur..lence .. ne.. ez pas ... gités... et ... tez ... dents ..
La force du vent coupait parfois le discours du commandant, à cause du bruit qu'il émettait. Je m'étais à courir en direction des cabines lorsqu'une vague gigantesque frappa le ponton. La force de celle-ci, m'expulsa du bateau jusqu'au coeur de la tempête, m'engloutissant alors dans un voyage... que je n'aurais jamais imaginer.
----
Je sentais quelque chose encore une fois sur mon corps, imaginant un nouveau corps contre le mien. Mais cette fois, c'était bien plus chaud. Comme quelque chose qui brûlait ma peau. Lorsque j'essayais de remuer mon corps, celui-ci mit un temps pharaoaime à se répondre à mes demandes. J'étais courbaturé de partout, crachotant un peu d'eau et d'algues, toussant pendant plusieurs secondes d'affilés. Progressivement, mes yeux s'ouvrent sur une plage bien beige, dont le sable semblait très très fin à en juger par la texture. Avec une difficulté extrême, je fis redresser mon corps pour me mettre debout, titubant de droite à gauche en essayant de regarder autour de moi.
- O..Où..e..est-..ce que je...suis ? Papa ? Maman ?
La paaime commence à s'emparer de moi. A plusieurs centaines de mètres, on pouvait voir un volute de fumée s'élevant dans les airs. Je craignais le pire alors que mon cœur battait à tout rompre, courant de manière désarçonné, si bien que je n'avais pas manquer de tomber plusieurs fois dans le sable. Et ce que je craignais par-dessus tout, je le vis finalement après plusieurs minutes de courses : La carcasse d'un bateau, fendu en deux, avec des corps qui jonchait dans l'eau, transpercer par les morceaux de métaux et autres objets contondants. J'étais pris d'une paaime phénoménale, incapable d'émettre le moindre son alors que je suais à grosses gouttes.
Et soudain, j'entendis un gémissement... Un gémissement .. pas inconnu. J'étais terrifiée, horrifiée mais mes jambes bougèrent tout seul pour se rapprocher très lentement des bruits de gémissements.
------
Nouveau choix :
A) M'arrêter pour faire une analyse de la situation en essayant de me calmer, malgré les nombreux gémissements, dont un en particulier
B) Continuer d'avancer pour savoir ce qui venait de se passer
C) Reculer de plusieurs pas, de peur de voir une nouvelle scène horrifique
D) Me laisser tomber à genoux, en pleurant une nouvelle fois.
Bon choix à vous ! Et encore une fois, n'hésitez pas à vous manifestez.
Bonne continuation à vous !
Le 06 mai 2021 à 18:33:49 :
Pas lu, mais je up
Merci mais je doute que ça aille plus loin. Les gens n'ont pas l'air emballer. J'imagine que j'écris trop. Mais merci quand même !
Données du topic
- Auteur
- Agnostyc
- Date de création
- 6 mai 2021 à 16:04:27
- Nb. messages archivés
- 21
- Nb. messages JVC
- 9