[ALCOOL] Se reveiller en sueur et tremblant la nuit
Suppriméhttps://soundcloud.com/albertpoudrenoire/pujol-5
Mon alcoolisme me mêne aussi à l'inspiration et votre avis, meme mauvais me ferait grand bien
Le 21 août 2023 à 01:47:46 :
https://soundcloud.com/albertpoudrenoire/pujol-5Mon alcoolisme me mêne aussi à l'inspiration et votre avis, meme mauvais me ferait grand bien
C'est pas mon style mais c'est ecoutable
Le 21 août 2023 à 01:47:46 :
https://soundcloud.com/albertpoudrenoire/pujol-5Mon alcoolisme me mêne aussi à l'inspiration et votre avis, meme mauvais me ferait grand bien
J'ai pas envie d'écouter un mec qui écrit sous l'influence de l'alcool
Le 20 août 2023 à 15:53:53 :
Le 20 août 2023 à 15:49:34 :
Qui est en manque actuellement (symptômes physiques hein)Pas mal aujourd'hui pour mon troisieme jours d'abstinent
GG
Il y a, dans chaque semaine, deux jours pour lesquels on ne devrait pas se tracasser,
deux jours qui pourraient être des exempts de la crainte et de l’appréhension.
L’un de ces jours est - HIER - avec ses erreurs et ses soucis, ses fautes et ses bévues,
ses maux et ses peines. HIER s’échappe à jamais de nos mains.
Tout l’or du monde ne peut faire revivre HIER. Nous ne pouvons défaire un seul des
actes posés ; nous ne pouvons retirer une seule des paroles prononcées. HIER n’est
plus.
L’autre jour est - DEMAIN - avec ses misères possibles, ses fardeaux, ses larges
espérances et ses pauvres accomplissements. DEMAIN est aussi hors de notre portée.
DEMAIN, le soleil se lèvera dans toute sa splendeur ou derrière un écran de nuages,
mais il se lèvera. Jusqu’à cet instant, nous n’avons pas de prise sur DEMAIN, parce
qu’il est encore à venir.
Il ne reste qu’un jour - AUJOURD’HUI. Tout être humain peut livrer les combats
d’un seul jour. C’est seulement lorsque vous et moi ajoutons les fardeaux de ces deux
redoutables éternités - HIER ET DEMAIN - que nous sommes vaincus.
Ce ne sont pas les épreuves d’un jour qui rendent les hommes fous, c’est le remords
ou la rancœur d’un incident qui est arrivé HIER, et la crainte de ce que DEMAIN
peut apporter.
VIVONS DONC
UN SEUL JOUR À LA FOIS Source anonyme
qui veut diriger tout le spectacle ; il essaie sans cesse
de régler à sa façon l’éclairage, la chorégraphie, le
décor, et de diriger les autres acteurs. Si seulement tout
restait tel qu’il l’a voulu, si seulement les autres fai-
saient ce qu’il souhaite, le spectacle serait un succès.
Tout le monde, y compris lui-même, serait content. La
vie serait magnifique. Dans ses efforts pour tout mettre
en place, notre acteur peut parfois se montrer très ver-
tueux. D’une part, il peut être bon, attentionné, patient,
généreux, même humble et plein d’abnégation. D’autre
part, il peut être mesquin, égoïste, infatué et malhon-
nête. Comme la plupart des êtres humains, il est pro-
bable qu’il a divers traits de caractère.
Que se passe-t-il habituellement ? Le spectacle ne
se déroule pas très bien. L’acteur commence à croire
que la vie est injuste envers lui. Il décide de se forcer
davantage. La fois suivante, il devient plus exigeant ou
les alcooliques anonymes68
plus bienveillant, selon le cas. Mais la pièce ne le satis-
fait toujours pas. Tout en reconnaissant sa part de res-
ponsabilité, il est convaincu que les autres ont encore
plus de torts. Il se fâche, s’indigne et s’apitoie sur son
sort. Quel est son problème fondamental ? Ne
recherche-t-il pas sa propre satisfaction, même lorsqu’il
essaie d’être bon avec les autres ? N’est-il pas victi-
me de l’illusion que l’on peut tirer bonheur et satis-
faction de ce monde à la seule condition de savoir s’y
prendre ? N’est-il pas évident pour le reste des acteurs
que c’est à cela qu’il travaille ? Son attitude n’entraî-
ne-t-elle pas les autres à se venger en retirant du spec-
tacle tout ce qu’ils peuvent ? Même dans ses meilleurs
moments, ne crée-t-il pas plus de confusion que d’har-
monie ?
Notre metteur en scène ne pense qu’à lui ou, pour
employer un terme à la mode, c’est un égocentrique.
Il est comme l’homme d’affaires à la retraite qui se
prélasserait sous le soleil de la Floride en se plaignant
de l’état pitoyable de la nation, comme le pasteur du
culte qui soupirerait sur les péchés du XXe siècle,
comme l’homme politique et le réformateur, convain-
cus que la terre serait un paradis si seulement le reste
du monde était meilleur ; comme le pilleur de coffres-
forts qui trouverait que la société est injuste envers lui ;
enfin, comme l’alcoolique qui a tout perdu et qui est
enfermé. Quelles que soient nos protestations, ne
sommes-nous pas, pour la plupart, tournés sur nous-
mêmes, sur nos ressentiments ou notre apitoiement ?
Égoïsme et égocentrisme, c’est là, croyons-nous,
la source de nos problèmes. Animés par une centai-
ne de sortes de peurs, déçus de nous-mêmes, ne
recherchant que nos intérêts et nous apitoyant sur
notre sort, nous marchons sur les pieds de nos sem-
notre méthode 69
blables et ils réagissent. Ils nous blessent parfois, appa-
remment sans avoir été provoqués, mais invariable-
ment, nous découvrons que dans le passé, nous avons
pris une décision égoïste qui nous a exposés à être bles-
sés plus tard.
Nous sommes donc les principaux artisans de nos
malheurs. Ils viennent de nous, et l’alcoolique fournit
l’exemple parfait de la volonté personnelle déchaînée,
même si, la plupart du temps, il ne s’en rend pas comp-
te. Avant toute chose, nous, les alcooliques, devons
nous corriger de notre égoïsme, sinon il nous tuera !
Et avec Dieu, c’est possible. Il semble souvent que
seule Son aide puisse nous libérer totalement de nous-
mêmes. Nous étions nombreux à nous nourrir de toutes
les convictions morales et philosophiques imaginables,
et nous aurions bien aimé pouvoir vivre selon nos prin-
cipes, mais nous en avons été incapables. Nous n’avons
pas non plus réussi à réduire de beaucoup notre égo-
centrisme par notre seul désir ou en comptant sur notre
propre force. Il nous fallait l’aide de Dieu.
Voilà le pourquoi et le comment de notre méthode.
D’abord, nous avons dû cesser de jouer à Dieu car cela
ne donnait rien. Nous avons ensuite décidé que doré-
navant, Dieu serait le Metteur en scène de la pièce
qu’est notre vie. Il est le Directeur et nous sommes ses
agents. Il est le Père et nous sommes ses enfants. Ce
concept, simple comme la plupart des bonnes idées, fut
la clé de voûte de l’arche nouvelle et triomphante qui
s’ouvrait sur notre liberté
Le 21 août 2023 à 12:59:04 :
Yo les kheys sa fait un moment jsuis pas venu par ici toujours un plaisir de vous lire quand sava pas trop j'ai replongé comme une vieille bouse dedans psychologiquement c le KO total
Bon courage kheyou
On se sent sommeliers.
Données du topic
- Auteur
- lemmancheur
- Date de création
- 29 avril 2021 à 11:40:00
- Date de suppression
- 19 septembre 2023 à 21:41:00
- Supprimé par
- Modération ou administration
- Nb. messages archivés
- 18616
- Nb. messages JVC
- 17965