Le désespoir on en talk
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J'ai des phases de désespoir comme ça. C'est temporaire.
L'OP, je te conseillerais de lire "Lettres et Maximes" d'Épicure. Ça te plairait je pense, et te ferait un grand bien.
Je peux te recommander d'autres philosophes, comme les stoïciens, ou d'autres, les lire te fera le plus grand bien.
Le 25 avril 2021 à 22:01:46 :
J'ai des phases de désespoir comme ça. C'est temporaire.L'OP, je te conseillerais de lire "Lettres et Maximes" d'Épicure. Ça te plairait je pense, et te ferait un grand bien.
Je peux te recommander d'autres philosophes, comme les stoïciens, ou d'autres, les lire te fera le plus grand bien.
Je ne crois pas en la philosophie, la philosophie n'est qu'une étape temporaire vers la science, une philosophie qui n'apporte rien à la science rate donc quelque chose
le désespoir comme l'angoisse doit correspondre à l'effet de l'entropie sur notre corps, de manière non traumatisante ce sont des émotions qui nous évoquent notre identité physique-physiologique-affective je suppose. C'est à mon avis pourquoi notre inconscient automatique, notre conscience s'attarde sur ces émotions et d'autre part la difficulté qu'on a à sortir de ces états émotionnels doit aussi s'expliquer par le fait que l'entropie est universelle et nécessaire d'un point de vue physique.
à partir de là, on devrait peut-être avoir une idée plus claire pour sortir du désespoir.
Je m'intéresse à une classe de désespoir que j'appelle "dépression visuelle". 1) si l'entropie est nécessaire et universelle on doit pouvoir la subir autrement, trouver une manière plus cohérente de subir l'entropie 2) Si la conscience a besoin du désespoir parce qu'elle est friande de ce qui lui rappelle à son identité physique-physiologique-affective, si on trouve d'autres façons que le désespoir pour lui rappeler cette identité, on devrait pouvoir sortir de ce rapport de dépendance.
Autres façons de rappeler l'identité physique-physiologique- affective que le désespoir : la nostalgie ressemble au désespoir, la saudade (nostalgie mais avec une connotation positive) est intéressante, peut-on vraiment lutter contre un penchant naturel finalement ? Si cette identité physique-physiologique-affective ne se rappelle à nous que lorsqu'il y a du désespoir, nostalgie ou autre ? Comme si on ne pouvait pas sortir du schéma la violence et le sacrée décrit par Girard (passer outre le cercle vicieux psychanalytique autour de ses textes qui sont d'un extrême intérêt).
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Données du topic
- Auteur
- FusionSamus
- Date de création
- 25 avril 2021 à 21:59:37
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