Bordeaux : Un retraité battu à MORT par des Jeunes
Supprimé- 1
«Il était très gentil, poli» : près de Bordeaux, un retraité battu à mort pour une remarque
Quatre jeunes ont été mis en examen après le meurtre d’un homme de 68 ans, tué au pied de son immeuble à Floirac (Gironde). Ils ont expliqué le déchaînement de violence par une remarque que leur aurait fait la victime sur leur présence près d’un local technique
A peine quelques instants plus tard, un voisin entend des bruits provenant du local technique, là où depuis quelque temps une bande de jeunes fume du cannabis et boit de l’alcool. Ces bruits inhabituels l’interpellent. Alors cet habitant de la résidence se rend sur les lieux. Il découvre l’horreur. A terre, sur le dos, Pierre Sourgen gît, inanimé. Son visage porte de nombreuses traces de coups
Pourquoi c'est pas considéré comme du racisme anti-blanc ?
Va falloir arrêter avec ce topic on a compris au bout de la 50eme fois
Le 22 avril 2021 à 00:10:06 :
"Floirac"
Un problème ?
Le 22 avril 2021 à 00:12:19 :
Va falloir arrêter avec ce topic on a compris au bout de la 50eme foisLe 22 avril 2021 à 00:10:06 :
"Floirac"Un problème ?
Non.
C’est un quartier familial et tranquille de la rive droite de Bordeaux (Gironde). Ici, on est loin des cités sensibles des Aubiers ou de Chantecrit qui ont défrayé la chronique ces derniers mois. Il fait doux, le soleil brille et l’atmosphère semble légère. Pourtant, aux abords de la résidence du Hameau de Bourbon, rue Edgar-Degas à Floirac, une lourde chape de plomb semble s’être abattue. Au pied du petit bâtiment de deux à trois étages, les riverains sont bouleversés, huit jours après le meurtre de l’un des leurs. Car tout le monde connaissait la victime, Pierre Sourgen, paisible retraité de 68 ans. « Il était très gentil, poli. On est sous le choc de cette horreur. C’est fou ! » lâche Michel, un vieil habitant du quartier. Et la nouvelle de l’arrestation des auteurs présumés du passage à tabac ne change pas grand-chose.
Ce petit îlot a basculé dans l’horreur le samedi 10 avril dans la torpeur d’un week-end de confinement. Toute la journée, Pierre Sourgen bricole dans son garage comme souvent. Son « atelier » est situé à une dizaine de mètres à peine de l’endroit où son corps sera retrouvé en début de soirée. Peu avant 19 heures, il remonte chez lui avant d’informer son épouse qu’il redescend pour revenir rapidement, couvre-feu oblige. Que se passe-t-il à ce moment ? Est-il revenu au pied de l’immeuble pour interpeller ses futurs bourreaux ? Ou a-t-il croisé leurs routes par hasard au moment où ils quittaient les lieux ? Aucun élément n’a filtré. Toujours est-il qu’en quelques minutes, tout bascule.
A peine quelques instants plus tard, un voisin entend des bruits provenant du local technique, là où depuis quelque temps une bande de jeunes fume du cannabis et boit de l’alcool. Ces bruits inhabituels l’interpellent. Alors cet habitant de la résidence se rend sur les lieux. Il découvre l’horreur. A terre, sur le dos, Pierre Sourgen gît, inanimé. Son visage porte de nombreuses traces de coups. Les sapeurs-pompiers, rapidement alertés, tentent le tout pour le tout pour le sauver. En vain, malgré un long massage cardiaque, ils n’y parviennent pas. Le sexagénaire meurt en bas de son immeuble, à quelques dizaines de mètres à peine de chez lui.
Une enquête rapide après un témoignage anonyme
Une information judiciaire est ouverte par le parquet de Bordeaux pour meurtre. L’autopsie, pratiquée à l’Institut médico-légal de la ville, conclut à un décès dû « à un œdème cérébral post-traumatique suite à un fracas facial majeur », selon le parquet. Plusieurs fractures ont été relevées sur son visage. Des traces de sang ont été retrouvées sur les murs, au ras du sol. Elles laissent fortement penser aux enquêteurs que la victime a été frappée alors qu’elle était au sol. La procureure de la République de Bordeaux Frédérique Porterie évoque ainsi un « homicide commis avec soudaineté et brutalité ».
L’enquête va vite aboutir, notamment grâce à l’ampleur des moyens humains et techniques déployés. Elle prend un tournant décisif dans les jours suivant les faits, grâce à un témoignage anonyme. L’un des auteurs se serait vanté d’être directement impliqué dans la mort de Pierre Sourgen. Les policiers remontent vite la piste et identifient les suspects des violences. Des vérifications techniques, comme le bornage de leurs téléphones mobiles, laissent penser qu’ils se trouvaient dans le secteur au moment des faits. En début de semaine dernière, les policiers surveillent leurs domiciles et leurs points de chute connus. Jeudi 15 avril dans la soirée, trois jeunes hommes âgés à peine d’une vingtaine d’années sont interpellés dans l’agglomération bordelaise et sur le bassin d’Arcachon à Andernos. Puis, vendredi matin, un jeune couple, également au début de la vingtaine, se rend aux enquêteurs.
Les cinq personnes sont sans emploi et originaires des communes de la rive droite, Lormont, Cenon et Floirac. L’une d’entre elles, connue pour des faits de violence, serait récemment sortie de prison. Selon un proche de l’enquête, les quatre garçons auraient reconnu leur présence sur les lieux et avoir porté des coups de pied à la victime. Les quatre agresseurs présumés ont justifié leur acte en représailles à un propos qu’ils ont jugé déplacé de la part de la victime. En revanche, ils ont nié avoir eu l’intention de tuer.
Samedi 17 avril, ils ont été mis en examen pour meurtre et placés en détention provisoire. Quant à la jeune femme, qui a nié avoir frappé le sexagénaire, elle a été placée sous le statut de témoin assisté.
Le 22 avril 2021 à 00:12:34 :
Prison ferme pour 30 ans pour ces sal*peries de criminel. C'est tout ce qu'ils méritent, sans allégement de peine possible.
Prison ferme a vie plutôt ils ont du prendre leur pied ces chiens donc nous on doit prendre notre pied en les foutant en taule ces pd
Le 22 avril 2021 à 00:12:49 :
Putain mais les journalistes qui osent toujours pas prononcés les ethnies des "jeunes" par peur de passer pour un journal de giga extrême droite
Btg ?
Le 22 avril 2021 à 00:14:09 :
<code>C’est un quartier familial et tranquille de la rive droite de Bordeaux (Gironde). Ici, on est loin des cités sensibles des Aubiers ou de Chantecrit qui ont défrayé la chronique ces derniers mois. Il fait doux, le soleil brille et l’atmosphère semble légère. Pourtant, aux abords de la résidence du Hameau de Bourbon, rue Edgar-Degas à Floirac, une lourde chape de plomb semble s’être abattue. Au pied du petit bâtiment de deux à trois étages, les riverains sont bouleversés, huit jours après le meurtre de l’un des leurs. Car tout le monde connaissait la victime, Pierre Sourgen, paisible retraité de 68 ans. « Il était très gentil, poli. On est sous le choc de cette horreur. C’est fou ! » lâche Michel, un vieil habitant du quartier. Et la nouvelle de l’arrestation des auteurs présumés du passage à tabac ne change pas grand-chose.
Ce petit îlot a basculé dans l’horreur le samedi 10 avril dans la torpeur d’un week-end de confinement. Toute la journée, Pierre Sourgen bricole dans son garage comme souvent. Son « atelier » est situé à une dizaine de mètres à peine de l’endroit où son corps sera retrouvé en début de soirée. Peu avant 19 heures, il remonte chez lui avant d’informer son épouse qu’il redescend pour revenir rapidement, couvre-feu oblige. Que se passe-t-il à ce moment ? Est-il revenu au pied de l’immeuble pour interpeller ses futurs bourreaux ? Ou a-t-il croisé leurs routes par hasard au moment où ils quittaient les lieux ? Aucun élément n’a filtré. Toujours est-il qu’en quelques minutes, tout bascule.
A peine quelques instants plus tard, un voisin entend des bruits provenant du local technique, là où depuis quelque temps une bande de jeunes fume du cannabis et boit de l’alcool. Ces bruits inhabituels l’interpellent. Alors cet habitant de la résidence se rend sur les lieux. Il découvre l’horreur. A terre, sur le dos, Pierre Sourgen gît, inanimé. Son visage porte de nombreuses traces de coups. Les sapeurs-pompiers, rapidement alertés, tentent le tout pour le tout pour le sauver. En vain, malgré un long massage cardiaque, ils n’y parviennent pas. Le sexagénaire meurt en bas de son immeuble, à quelques dizaines de mètres à peine de chez lui.
Une enquête rapide après un témoignage anonymeUne information judiciaire est ouverte par le parquet de Bordeaux pour meurtre. L’autopsie, pratiquée à l’Institut médico-légal de la ville, conclut à un décès dû « à un œdème cérébral post-traumatique suite à un fracas facial majeur », selon le parquet. Plusieurs fractures ont été relevées sur son visage. Des traces de sang ont été retrouvées sur les murs, au ras du sol. Elles laissent fortement penser aux enquêteurs que la victime a été frappée alors qu’elle était au sol. La procureure de la République de Bordeaux Frédérique Porterie évoque ainsi un « homicide commis avec soudaineté et brutalité ».
L’enquête va vite aboutir, notamment grâce à l’ampleur des moyens humains et techniques déployés. Elle prend un tournant décisif dans les jours suivant les faits, grâce à un témoignage anonyme. L’un des auteurs se serait vanté d’être directement impliqué dans la mort de Pierre Sourgen. Les policiers remontent vite la piste et identifient les suspects des violences. Des vérifications techniques, comme le bornage de leurs téléphones mobiles, laissent penser qu’ils se trouvaient dans le secteur au moment des faits. En début de semaine dernière, les policiers surveillent leurs domiciles et leurs points de chute connus. Jeudi 15 avril dans la soirée, trois jeunes hommes âgés à peine d’une vingtaine d’années sont interpellés dans l’agglomération bordelaise et sur le bassin d’Arcachon à Andernos. Puis, vendredi matin, un jeune couple, également au début de la vingtaine, se rend aux enquêteurs.
Les cinq personnes sont sans emploi et originaires des communes de la rive droite, Lormont, Cenon et Floirac. L’une d’entre elles, connue pour des faits de violence, serait récemment sortie de prison. Selon un proche de l’enquête, les quatre garçons auraient reconnu leur présence sur les lieux et avoir porté des coups de pied à la victime. Les quatre agresseurs présumés ont justifié leur acte en représailles à un propos qu’ils ont jugé déplacé de la part de la victime. En revanche, ils ont nié avoir eu l’intention de tuer.
Samedi 17 avril, ils ont été mis en examen pour meurtre et placés en détention provisoire. Quant à la jeune femme, qui a nié avoir frappé le sexagénaire, elle a été placée sous le statut de témoin assisté.
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Le 22 avril 2021 à 00:12:49 :
Putain mais les journalistes qui osent toujours pas prononcés les ethnies des "jeunes" par peur de passer pour un journal de giga extrême droite
Jamais ils disent l'ethnie hein.
Le 22 avril 2021 à 00:12:49 :
Putain mais les journalistes qui osent toujours pas prononcés les ethnies des "jeunes" par peur de passer pour un journal de giga extrême droite
Ha si quand ce sont des blancs ils osent et pas qu'un peu
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Données du topic
- Auteur
- NwegoDerek
- Date de création
- 22 avril 2021 à 00:09:16
- Date de suppression
- 22 avril 2021 à 00:20:58
- Supprimé par
- Modération ou administration
- Nb. messages archivés
- 19
- Nb. messages JVC
- 19