Les preuves scientifiques existantes remettent en question la sécurité et l'efficacité de porter un masque facial comme intervention préventive contre le COVID-19.
Les données suggèrent que les masques faciaux médicaux et non médicaux sont inefficaces pour bloquer la transmission interhumaine de maladies virales et infectieuses telles que SARS-CoV-2 et COVID-19, soutenant contre l'utilisation de masques faciaux.
Il a été démontré que le port de masques faciaux a des effets indésirables importants physiologiquement et psychologiquement.
Ceux-ci comprennent l'hypoxie, l'hypercapnie,essoufflement, augmentation de l'acidité et de la toxicité, activation de
réaction de peur et de stress, augmentation des hormones de stress, immunosuppression, fatigue, maux de tête, baisse des performances cognitives, prédisposition à maladies virales et infectieuses, stress chronique, anxiété et dépression.
Les conséquences à long terme du port d'un masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, développement et progression de maladies chroniques et décès prématurées.
Les gouvernements, les décideurs et les organisations de santé devraient utiliser une approche prospère et fondée sur des preuves scientifiques en ce qui concerne le port de masques faciaux, lorsque ce dernier est considéré comme une intervention préventive pour la santé publique.
