Vos POÈMES à la CON
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Lâchez donc vos plus beaux poèmes à la con.
Histoires de fesses, de foutre et de lardon,
La fois où vous vous tiriez la nouille à la cave,
Et que votre oncle descendu là, les yeux graves,
Avait déboutonné son futal de velour,
Sortit son sexe, et à vos lamentations sourd,
Commencé sa besogne dans vos fesses pales
De minot naïf ignorant des joies du mâle.
Ah ouais
Broute le noir genièvre et la menthe sauvage...
Au large la mer luit comme un métal ardent.
Soudain le bouc lascif se dresse et, titubant,
Sur la chèvre efflanquée à l'échiné rugueuse
Satisfait au soleil sa luxure fougueuse.
Et Mnasyle, l'éphèbe en fleur de Scyoné,
Aussi beau qu'une vierge et d'iris couronné,
De ses longs yeux d'or noir le regarde étonné ;
Et, pris de langueur vague en l'exil de la grève,
Laisse flotter sa main sur sa chair nue, et rêve...
parce qu'il n'y a rien de plus banal
je vais te montrer ce qu'est une vraie finale
m'évites pas en faisant le marginal
tu te prendras vite un tourbillon infernal
je te défoncerai jusqu'à ton organe intestinal
même si je finis au tribunal
Oh Toi ma jolie blonde
Je te baiserai devant tout le monde
Tu me fais tellement bander
Je ne peux m’empêcher de me branle
Chaque soir je pense à toi
Le caleçon baissé, la bite dressée
Je me masturbe dans un string en soie
Que je t'ai volé, dans les vestiaires où tu t'es changée
Viens chérie on va tester le sexe anal
Tu vas aimer mon corps de mâle
Mes abdos en acier, mon torse taillé en V
J'vais te retourner, te pilonner ta chatte rasée
Bisous sur les fesses, je dois quitter les réseaux sociaux
Mon chibre se dresse quand je t'écris ces quelques mots
En plongeant dans son cul,
Au plus loin que j'ai pu,
Impossible de voir si le gouffre finit.
Paris fleurit,
Papy y vit,
Paris est beau,
Par le vélo,
J'passe à la droguerie,
Je mange un bonbon,
J'en rie,
Je prends mon fiston
Il déguste la sucrerie,
Je paie avec un bon,
Quelle annerie,
Qu'on refuse un amour...
S'il ne te faut ma soeur chérie
Qu'un cuni d'une lèvre amie
Et qu'une goutte de mon pieux
Je te les donnerai sans peine
De nos ébats qui t'ont déchiré l'hymen
Si tu m'ouvres ton petit creux
Sache que je ne proclame ni la jouissance
Ni l'amour ni mon sexe gros comme une charue
Hélas ! Seulement la souffrance
Ta bouche réservée pour ma semance
Pour écouter parler le cul
Sur les façades, les réseaux
Les magasins, sous les préaux,
Entre les lignes en toutes lettres
je vaquais sur le forum dix huit vingt cinq ans
sans le sou , bières à la main et trinquant
aux années qui filaient et à l'ennui plombant.
je percu donc un topic , les yeux tombant,
déjà bien des messages euent été postés
et au lieu d'aller , paisible dans mon lit,
embrasser la nuit dans mes draps ramollis ,
je decidai d'ecrire texte pour la posté
-rité , bien décidé a graver mon nom
sur cet heureux topic , qui tomba bien à pique
pour perdre un peu de temps , mais gagner du renom
en affichant mes vers beau comme un porc épic
pfiou , c'était bien laborieux
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Données du topic
- Auteur
- Bardaboume
- Date de création
- 19 avril 2021 à 01:29:20
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