Ma douleur est constante et aiguë. Je ne souhaite un monde meilleur à personne. En fait, je veux même que ma douleur soit infligée aux autres. Je veux que personne n’y échappe. Mais même après avoir admis cela, il n’y a pas de catharsis. Ma punition continue de m’échapper, et je n’en sais pas davantage sur moi même. Aucune découverte ne ressort de mes dires. Cette confession n’aura servi à RIEN.