Topic de Cigareth :

[PAVÉ] MISE au POINT sur le PHÉNOMENE des NARBONNOIDES.

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La question n'est pas de savoir si "narbonnoïde" est un concept racial valide (et encore ça peut se défendre) ou si "ça divise" inutilement. Car, selon moi, le narbonnoïdisme est d'abord un phénomène empirique.

On se rend compte avec l'expérience que certains traits phénotypiques sont associés à des comportements et à une psychologie assez peu honorable.

Quand j'ai découvert le milieu faf après l'adolescence, j'ai eu la surprise de voir tous les frisés disparaître. Dans le milieu, il n'y avait que des gens à cheveux lisses. Aucun frisé. Pas non plus de Nadia, Sonia et autres Myriam à l'ethnicité aussi ambigue que leur prénom.

Ce n'est pas que les frisés ou les cheveux épais étaient discriminés, juste que les gens n'étaient même pas conscients du phénomène, on n'en parlait pas. Non : si les frisés ne venaient pas c'est parce qu'ils vont eux-mêmes à gauche, du côté "culture", bobo, apologie du métissage, fonctionnariat, fumage de joints, chevreuillisme/babosserie et ainsi de suite.

C'est un comportement spontané de leur part. Ce phénomène a été mon premier contact, indirect puisque par absence, avec les narbonnoïdes.

Je n'avais pas le concept (et je n'avais pas saisi à ce moment-là les implications raciales et ethniques de la chose) mais, ayant l'habitude de voir des frisés, des Nadia et des gens vaguement baba-cool/bobo/babos un peu partout, la différence anthropologique m'avait frappé.

Notez que ce n'est PAS dû à la géographie dans l'absolu. J'ai eu l'occasion, à l'époque, de côtoyer des identitaires de Nice, ils avaient une très grosse section et même s'ils étaient du famoso "sud de la France" je ne me souviens pas d'avoir vu un frisé ou un demi-bicot parmi eux.

Le narbonnoïdisme m'est plus tard revenu dans la figure avec de multiples anecdotes. J'en ferais un topic.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, je voudrais faire une comparaison avec des cousins éloignés, mais beaucoup plus honorables, des narbos : les fondateurs de l'Amérique du Sud.

Pourquoi ? Parce que les narbos ont souvent des origines portugaises, espagnoles, italiennes, voire gitanes et nord-africaines. Or, on ne peut pas les réduire à ça. Les narbonnoïdes sont un phénomène spécialement français et je vais expliquer pourquoi.

Quand le traité de Tordesillas a été conclu en 1494 pour donner toutes les Amériques à la Castille et au Portugal, les deux pays ont eu un siècle de libre colonisation devant eux. Ensuite, les autres pays européens sont rentrés en jeu, mais la colonisation s'est poursuivie.

Les Amériques étaient des terres où il n'y avait rien. De la nature sauvage. Des terres gigantesques. Des maladies inconnues. Des Indiens, plus ou moins développés, plus ou moins féroces. Aucun confort. Pire encore : y aller en caravelle était long et éprouvant.

Qui est parti dans les Amériques ? Pas n'importe quels Ibères. Ce sont des conquérants, des gens assez confiants et courageux pour tenter une aventure folle, qui sont partis. Beaucoup qui avaient l'esprit entrepreneur mais étaient limités par la mainmise de la noblesse à domicile (ce qui rappelle la mainmise par une bourgeoisie-caste aujourd'hui en France).
Le Portugal, en particulier, a eu une politique extrêmement ambitieuse. Imaginez être grand comme deux fois la Loire-Atlantique et vouloir créer un empire mondial.

Pendant deux siècles, les Portugaises ont eu dans les 10 enfants par femme, et tous les enfants capables de faire quelque chose de leurs dix doigts sont partis pour généralement ne jamais revenir. Les Amériques signifiaient une sélection naturelle rigoureuse. Elles attiraient des gens d'un type particulier, des gens aptes, curieux, intrépides, plus autonomes, avec une rage de réussir qu'on ne retrouve pas chez le bourgeois-né qui a toujours tout eu.

Quand les vice-royaumes d'Amérique du Sud ont pris leur indépendance, ils avaient toujours besoin d'immigrants.
Ils étaient toujours plein de terres immenses, d'industries à construire, et comme on était réaliste on savait que les Indiens ne faisaient pas le boulot et les nègres pas beaucoup plus. On voulait des Blancs. On avait besoin de Blancs.

De ceux déjà nés sur place (ceux qui n'étaient pas ou pas trop métissés), certes, mais pas que. Il en fallait plus. De 1850 à 1914, plusieurs localités sud-américaines et notamment les provinces brésiliennes de São Paulo et Minas Gerais avaient des agents d'immigration en Europe. Le but : faire venir des Européens capables de bosser pour développer le café, alors en plein boom, puis le chemin de fer.

L'état brésilien de São Paulo a eu beaucoup d'Italiens du Nord. Il est devenu la locomotive économique du pays en bonne partie grâce à ses Italiens. Lorsque l'Industrie a remplacé l'agriculture, ces Blancs se sont reconvertis sans problème.

Dans tout ça, pas d'allocations familiales. Pas d'étatisme lourdingue. Pas de dysgénésie sous perfusion. Le communisme a gagné dans les pays les plus indiens : Vénézuéla et Bolivie.

En Colombie, pays déjà plus métissé (c’est-à-dire plus blanc), le narcotrafic l'a emporté, ce qui est assez peu honorable mais révèle déjà un esprit plus entrepreneur et combatif que la branlette sur Hugo Chavez.

Au Chili, la tentative rouge d'Allende a été dégagée manu militari, et en Argentine même les gens dits de gauche continuent à parler de Juan Perón en bien. Ces deux pays sont plus blancs (et plus tempérés) que le Vénézuéla beaucoup plus proche de l'Équateur.

Ces Blancs-là ne sont pas seulement des descendants d'Espagnols, de Portugais, d'Italiens, d'Allemands ou même parfois de Français.

Ce sont des descendants de gens entreprenants, intrépides, sélectionnés par les forces du marché et parfois du combat plutôt que par celles du léchage de cul dans le monde français sclérosé, avec un effet méritocratique sur des générations et, pour pour pas mal de métis avec un QI à 3 chiffres, l'envie sincère de devenir aryen (pas l'envie de tout africaniser comme en France).

Maintenant, revenons aux narbonnoïdes.
La République a explosé les identités régionales au XIXe siècle pour brasser bretons, alsaciens, savoyards, provençaux dans un même moule.

Elle a puni lourdement les patois et promu ces déracinés (comme disait Barrès) qu'étaient les bons citoyens français, c'est-à-dire ceux qui se conformaient aux ordres des hussards noirs, des francs-macs, ou des curés, dans tous les cas d'une pyramide sociale lourde et déjà établie.

Dans le sud de la France, la République a promu les provençaux les plus "doués" pour prendre avantage du système. Autrement dit, les plus magouilleurs, les plus forts en gueule, les futurs députés, politiciens, francs-maçons. Les putes à judoka surtout.
"Dans la politique, c'est le Judoka qui dirige, et le Méridional qui agit. Derrière Rouvier, il y a Rothschild... Si le Judoka veut de l'argent, le Méridional veut des places" (Gaston Méry, /Jean Révolte, roman de lutte). Déjà l'alliance du judoka et du métèque. Un métèque peut-être moins métèque à l'époque, mais déjà métèque quand même.

Au XXe siècle, le nord de la France a été plusieurs fois ruiné. Par les guerres mondiales où les celto-germaniques meurent plus souvent au combat que les jean-planque. Par l'épuration de 1944 et après par la destruction de l'industrie. Le cœur industriel de la France était au nord, pas à Marseille, là c'étaient plutôt les dockers grévistes...

Les celto-germaniques qui ont "survécu" en France sont ceux qui se sont urbanisés et, le cas échéant, vendu aux judokas, y compris en se métissant avec eux. C'est d'ailleurs pour ça que certains judokas paraissent plus “aryens" que ces demi-gitans vous expliquant en vidéo qu'ils sont plus blancs que vous.

Car oui, il y a tant de narbos, qui, au lieu de s'avouer leur corruption, tentent d’être considérés au même titre qu’un hyperboréen. "Être considéré", navré d'employer ce discours, mais ce n'est pas une préoccupation de blanc. Un blanc est, ou n'est pas. “Être considéré”, c'est ce dont seuls les menteurs se préoccupent. Ça va être la préoccupation de l'arabe du Maghreb qui va vouloir se faire passer pour un berbère, du judoka toulousain qui va vouloir se faire passer pour un gascon. Enfin bref.

Revenons au sud de la Fronce, qui lui, a pu prospérer, mais avec une sélection sociale en faveur des futurs cégétistes, politiciens véreux, éternels fonctionnaires, hôteliers bateleurs et autres gueulards qui agaçaient déjà Céline.

Ce Sud a attiré des réfugiés très particuliers. Il a attiré des Italiens rouges, dont beaucoup du Sud, qui fuyaient Mussolini. Des Espagnols violeurs de nonnes qui fuyaient la rétribution franquiste. Des Portugais communistes. Bref, pas n'importe quels méditerranéens, et surtout pas les gens entrepreneurs ou courageux, mais la merdasse rouge dont leur propre pays ne voulait plus.

Ces gens, sélectionnés pour leur parasitisme, se sont mélangés aux locaux déjà pas brillants. Et encore après sont arrivés les nord-africains et les subsahariens, plus les gitans, histoire d’asséner le coup fatal.

Vous ajoutez à ça un pays plus étatiste, plus fonctionnariste, plus cégétiste et plus africanolâtre que jamais, vous obtenez des narbonnoïdes. Fruits pourris de la longue course de Vercingétorix à Zazou.

La race, c'est beau, mais il ne faut pas oublier que les sélections sociales en interne jouent aussi. Si vous soutenez les gauchistes et que vous purgez les gens de droite il est logique que vous ayez du gauchiste à l'arrivée. À l'inverse, si vous avez un lieu qui sélectionne des bosseurs et des entrepreneurs vous avez un peuple de bosseurs et d'entrepreneurs.

C'est pour ça que vous pouvez avoir en Amérique du Sud des gens qui, s'ils ont toujours certains traits très méditerranéens, notamment la famille étendue, sont aussi des bosseurs et n'ont pas le côté retourneur de veste, fonctionnariste, magouilleur des narbos.

Les pressions sélectives qui ont fait émerger les narbonnoïdes en France n'existent pas en Amérique du Sud. D'où le résultat paradoxal de peuples parfois très métissés, avec des problèmes de corruption et de criminalité endémique, mais pas de mentalité comparable au cégétisme.

D'ailleurs, la France attire son lot de gauchistes sud-américains. J'ai connu une chilienne moche au lycée, ses parents avaient fui Pinochet. Elle-même était full communiste et rageait sur les séfarades bling-bling (lol). Raquel Garrido, la chi(lli)enne de TPMP qui pestait sur GI et Thaïs. Ricardo Palma Salamanca, Chilien (encore) qui a tenté de tuer Pinochet et a assassiné plusieurs personnes dont un professeur d'université, s'est enfui... en France où Macron lui a donné l'asile politique. Besancenot, quand Vincent Lapierre a voulu l'interviewer, était défendu par le garde du corps Ugo Palheta, déchet gauchiste que la Fronce a très bien intégré, il a un meilleur statut que vous. Bref, on pourrait plein d’autres exemples.

Ces gens ne représentent pas l'Amérique du Sud typique mais vraiment ses éléments les plus gauchistes, qui se sentent mieux au milieu des narbos et des boucaques que de leurs propres compatriotes, même dans des pays plus ou moins métissés...

Le narbonnoïdisme est un phénomène spécialement français. Ces êtres moitié chat moitié chien doivent leur identité chiasseuse au grand brassage républicain.

Il est clair que beaucoup vont probablement disparaître avec la Fronce et le vrai défi à moyen terme est de savoir les détecter avant qu'ils ne viennent parmi nous faire du dégât.

A ceux qui emploient le terme "novlangue", ce sont des tentatives de subversion. Parce que de un, le terme n'est pas nouveau, de deux, il n'est pas employé par le pouvoir, de trois, il ne véhicule pas de mensonge.
On les reconnait comment ? https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501185683-jesusjournalbestreup.png
ça n'existe pas en France, stop forcer
Cette distinction de merde entre les blonds et bruns https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474488555-jesus24.png
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Cigareth
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31 mars 2021 à 12:32:35
Date de suppression
31 mars 2021 à 12:57:34
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