L'été arrive et l'acre odeur des chattes crasseuses moulées dans des mini shorts en jean nous rend dingue. De 16 à 66 ans, les prédateurs sont de sortie : tachycardie, pupilles dilatées, sueur abondante et pénis gonflé, c'est avec fébrilité que nous mattons les culs de l'été, bite à la main tels des australopithèque. Que ne donnerai-t-on pas pour s'enivrer des effluves du trou de balle d'une petite chienne de l'été ? On a faim bordel, tellement faim qui si nos nez se retrouvent entre les deux fesses joufflues d'une petite gourgandine, on se porte pas garant de nos actes. Bordel, les chattes crasseuses des fleurs de la gente féminine agissent sur le mâle en rut comme un bout de sucre tombé dans une fourmillière.
La pitié n'est pas de mise, tout écart sera sanctionné de vigoureux coups de hanches violents et non-maîtrisés, alors protège ta soeur