Topic de iilumination :

C'est moi ou les ATHÉES sont généralement des BLANCS ?

Supprimé

Le 28 mars 2021 à 18:46:45 Hopito_Uchiwa a écrit :
L'athéisme c'est le résultat de l'abus excessif de la sciences humaine en refusant l'existence d'un unique Dieu.

"abus excessif de la science humaine"

C'est tellement subjectif ptn.

La Chine?
La Corée du Nord?

Le 28 mars 2021 à 18:43:34 bxl1070 a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:40:58 JesusKrist a écrit :
Normal, on est la race la plus avancée.

Le fer est l’un des éléments dont fait mention le Coran. Dans la sourate al-Hadid (le fer), on peut lire ce qui suit :

« Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel il y a une force redoutable, mais aussi maintes utilités pour les gens. » (Coran 57:25)

Certains ont pu croire que le mot arabe « anzalna », traduit ici par « descendre » et qui est utilisé pour parler du fer, dans ce verset, avait un sens métaphorique visant à faire entendre que le fer a été envoyé par Dieu pour profiter aux gens. Mais lorsque nous prenons en considération son sens littéral, qui signifie « être physiquement descendu du ciel » (car dans le Coran, chaque fois que ce mot a été utilisé, il l’a été au sens littéral, comme la pluie ou la révélation qui descend du ciel), nous réalisons que le verset fait référence à un important miracle scientifique. Car les découvertes astronomiques modernes nous apprennent que le fer que l’on trouve sur terre provient d’étoiles géantes de l’espace intersidéral.[1]

En fait, il ne s’agit pas uniquement du fer que l’on trouve sur la terre, mais du fer que l’on trouve dans tout le système solaire, car la température du soleil ne permet pas la formation du fer. Le soleil a une température de surface de 6000 degrés Celsius et une température d’environ 20 millions de degrés Celsius en son noyau. Le fer ne peut être produit que dans des étoiles de taille très supérieure à celle du soleil, dans lesquelles la température atteint quelques centaines de millions de degrés Celsius. Lorsque la quantité de fer dépasse un certain niveau, dans une étoile, celle-ci n’arrive plus à le contenir; elle finit alors par exploser et devenir ce qu’on appelle une « nova » ou une « supernova ». Ce sont ces explosions qui libèrent le fer dans l’espace.[2]

Une publication scientifique, American Scientist, fournit les informations suivantes à ce sujet :

« Il existe également des preuves concernant d’anciennes supernovae. Des niveaux élevés de fer-60 dans des sédiments pélagiques indiquent qu’une explosion de supernova s’est produite à 90 années-lumière du soleil il y a de cela environ 5 millions d’années. Le fer-60 est un isotope radioactif du fer formé lors d’explosions de supernovae; il finit par se désintégrer et sa demi-vie est d’une durée de 1,5 millions d’années. La présence importante de cet isotope dans une strate indique une récente nucléosynthèse d’éléments non loin dans l’espace et leur descente subséquente vers la terre (peut-être mêlés à des grains de poussière). »[3]

Tout cela démontre que le fer ne s’est pas formé sur la terre, mais qu’il provient de supernovae; il a donc été « descendu » sur terre, tel que le mentionne le verset. Il est clair que cette réalité ne pouvait être connue au 7e siècle, lors de la révélation du Coran. Néanmoins, elle est mentionnée dans le Coran, la Parole de Dieu, qui embrasse tout dans Son savoir infini.

Le fait que le verset parle du fer en particulier est étonnant si l’on considère que ces découvertes ont été faites à la fin du 20e siècle. Dans son ouvrage intitulé Nature’s destiny, le réputé microbiologiste Michael Denton souligne l’importance du fer :

« De tous les métaux, aucun n’est plus essentiel à la vie que le fer. C’est l’accumulation de fer au centre d’une étoile qui déclenche l’explosion d’une supernova et la dispersion subséquente des atomes essentiels à la vie à travers le cosmos. C’est l’attraction exercée par la gravité des atomes de fer vers le centre de la terre, au cours de ses premiers stades de développement, qui a généré la chaleur qui a occasionné la différentiation chimique initiale de la terre, la libération des gaz de l’atmosphère primitive et, finalement, la formation de l’hydrosphère. C’est le fer en fusion au centre de la terre qui, tel un gigantesque dynamo, génère le champ magnétique terrestre qui, à son tour, donne naissance aux ceintures de radiation Van Allen qui protègent la surface de la terre des radiations cosmiques pénétrantes de haute énergie et qui préservent l’essentielle couche d’ozone de la destruction par les rayons cosmiques…

« Sans l’atome de fer, il n’y aurait pas de vie basée sur la chimie du carbone dans le cosmos; pas de supernovae, pas de réchauffement de la terre primitive ni d’atmosphère ni d’hydrosphère. Il n’y aurait pas de champ magnétique protecteur, pas de ceintures de radiation Van Allen, pas de couche d’ozone, aucun métal pour fabriquer l’hémoglobine (dans le sang humain) ni pour contrôler la réactivité de l’oxygène, et pas de métabolisme oxydant.

« L’intrigante et étroite relation entre la vie et le fer, entre la couleur rouge du sang et l’agonie d’une étoile reculée indique non seulement l’importance des métaux dans la biologie, mais aussi le biocentrisme du cosmos… »[4]

Cette explication indique clairement l’importance de l’atome de fer. Le fait qu’une attention particulière soit portée au fer, dans le Coran, souligne également l’importance de cet élément.

Par ailleurs, des particules d’oxyde de fer ont été utilisées, récemment, dans le traitement du cancer, avec des résultats positifs. Une équipe menée par le docteur Andreas Jordan, du Charité Hospital, en Allemagne, a réussi à détruire des cellules cancéreuses avec cette nouvelle technique développée dans la lutte au cancer, c’est-à-dire l’hyperthermie liquide magnétique. Cette technique a d’abord été testée sur un homme de 26 ans, Nikolaus H., chez qui aucune nouvelle cellule cancéreuse n’est apparue au cours des trois mois suivant le traitement.

Cette méthode de traitement peut être résumée ainsi :

1. Un liquide contenant des particules d’oxyde de fer est injecté dans la tumeur à l’aide d’une seringue. Ces particules se répandent dans les cellules cancéreuses. Le liquide en question est composé de milliers de millions de particules qui sont mille fois plus petites que les globules sanguins et qui peuvent aisément voyager à travers les vaisseaux sanguins.[5]

2. Le patient est ensuite installé dans un appareil à puissant champ magnétique.

3. Ce champ magnétique active les particules de fer dans la tumeur. À ce moment, la température à l’intérieur de la tumeur augmente à 45 degrés Celsius.

4. En l’espace de quelques minutes, les cellules cancéreuses, incapables de se protéger contre cette chaleur soudaine, sont soit affaiblies, soit détruites. Le traitement est alors suivi d’une chimiothérapie afin de détruire totalement la tumeur.[6]

Dans ce traitement, ce sont seulement les cellules cancéreuses qui sont affectées par le champ magnétique, car elles sont les seules à contenir les particules d’oxyde de fer. Cette technique constitue un développement majeur dans le traitement de cette maladie trop souvent mortelle. Le fer est également connu comme traitement contre l’anémie.

Connaissant maintenant l’utilité du fer dans le traitement de ces maladies extrêmement répandues, on peut voir sous un autre jour les paroles du verset 25 de la sourate 57 du Coran : « Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel il y a une force redoutable, mais aussi maintes utilités pour les gens ». Et Dieu sait mieux.

Blabla. Le fer est un des derniers éléments issus de la nucléosynthèse stellaire dite "calme". Go lire l'article B²FH de 1957 au lieu des inepties écrites dans le Coran par des éleveurs de chèvres il y a 1000 ans.

« Par le ciel qui fait revenir [la pluie]! » (Coran 86:11)

« C’est Lui qui, pour vous, a fait de la terre un lieu de repos et du ciel un toit. » (Coran 2:22)

Dans le premier verset, Dieu jure « par le ciel »[1] et mentionne qu’il « fait revenir » la pluie. Dans la doctrine islamique, un serment divin met l’accent sur la très grande importance du message transmis et constitue l’expression de la majesté et de la Vérité suprême des paroles de Dieu.

Le deuxième verset décrit l’action divine qui a fait du ciel un « toit » pour les habitants de la terre.

Voyons ce que dit la science atmosphérique moderne sur le rôle réel que joue le ciel.

Le mot atmosphère fait référence à l’air qui entoure la Terre, du sol jusqu’à la limite où commence l’espace comme tel. L’atmosphère est composée de plusieurs couches, chacune étant définie en fonction des divers phénomènes qui s’y produisent.

:

« L’eau s’évapore des environnements aquatique et terrestre, chauffée par l’énergie du soleil. Les taux d’évaporation et de précipitations dépendent de l’énergie solaire, comme les modèles de circulation de l’humidité dans l’air et les courants sous-marins. Au-dessus des océans, l’évaporation dépasse les précipitations et cette vapeur d’eau est transportée par les vents au-dessus des terres, où elle tombe sous forme de précipitations. »[2]

Non seulement l’atmosphère retourne-t-elle sur la surface ce qui était sur cette même surface, mais elle renvoie dans l’espace ce qui pourrait endommager la flore et la faune sur Terre, comme la chaleur rayonnante excessive. Dans les années 90, une collaboration entre l’Agence spatiale européenne et l’Institut des sciences spatiales et astronautiques du Japon a mené au Programme international de physique solaire-terrestre (ISTP), programme mené conjointement par les deux agences. Les satellites Polar, Wind et Geotail font partie de cette initiative, joignant les ressources et les communautés scientifiques pour obtenir des recherches bien coordonnées et simultanées sur l’environnement spatial soleil-Terre et ce, sur une période prolongée. Ils ont une excellente explication sur la façon dont l’atmosphère renvoie vers l’espace la chaleur solaire.[3]

En plus de « retourner » la pluie, la chaleur et les ondes radio, l’atmosphère nous protège comme un toit au-dessus de notre tête en filtrant les rayons cosmiques mortels, les puissants ultraviolets du soleil (UV) et même les météorites en trajectoire de collision avec la Terre.[4]

La Pennsylvania State Public Broadcasting nous dit :

« La lumière solaire que nous voyons représente un groupe particulier de longueurs d’ondes, de lumière visible. D’autres longueurs d’ondes émises par le soleil incluent les rayons-x et les ultraviolets. Les rayons-x et certaines ondes de lumière ultraviolettes sont absorbés dans les hauteurs de l’atmosphère terrestre. Ils chauffent à haute température la fine couche de gaz qui s’y trouve. La plus grande partie des ondes de lumière ultraviolettes est absorbée par une couche de gaz plus épaisse et plus proche de la Terre appelée couche d’ozone. En absorbant les rayons ultraviolets mortels et les rayons-x, l’atmosphère agit comme un bouclier protecteur tout autour de la planète. Comme une couverture thermale géante, l’atmosphère fait en sorte que la température ne soit jamais ni trop chaude ni trop froide. De plus, elle fait en sorte que nous ne soyons pas constamment bombardés par des météorites, par des pierres de toutes sortes et des poussières qui voyagent à grande vitesse à travers le système solaire. Les étoiles filantes que nous voyons la nuit ne sont pas des étoiles : ce sont en fait des météorites qui se consument en touchant notre atmosphère à cause de la chaleur extrême qu’ils subissent. »[5]

Photo de nuages polaires stratosphériques. Ces nuages participent à la création du trou dans la couche d’ozone de la Terre. Source: Windows to the Universe, ( http://www.windows.ucar.edu/) at the University Corporation for Atmospheric Research (UCAR). ©1995-1999, 2000 The Regents of the University of Michigan; ©2000-04 University Corporation for Atmospheric Research.
L’Encyclopedia Britannica, décrivant le rôle de la stratosphère, nous parle de son rôle protecteur dans l’absorption des radiations ultraviolettes dangereuses :

« Dans les régions supérieures de la stratosphère, l’absorption de la lumière solaire ultraviolette détruit des particules d’oxygène; la recombinaison des atomes d’oxygène avec des molécules O2 en ozone (O3) crée la couche d’ozone, qui protège l’écosphère contre les radiations néfastes… Plus troublante, toutefois, est la découverte d’une détérioration grandissante de la couche d’ozone sous les latitudes tempérées, là où réside un grand pourcentage de la population mondiale, car cette couche d’ozone sert de protection contre les radiations ultraviolettes, qui jouent un rôle dans l’apparition du cancer de la peau. »[6]

La mésosphère est la troisième couche la plus élevée de notre atmosphère, là où les météorites se consument en entrant dans l’atmosphère. Imaginez une balle de baseball filant à 48 000 kilomètres à l’heure. C’est de cette taille et à cette vitesse que voyagent beaucoup de météorites. Lorsqu’ils pénètrent dans l’atmosphère, ils sont chauffés à plus de 3000 degrés Fahrenheit et ils luisent. Un météorite comprime l’air devant lui; l’air devient alors très chaud et brûle à son tour le météorite.[7]

Voici une image de la Terre et de son atmosphère. La mésosphère est la ligne bleu foncé tout en haut de l’image, sous la bande de couleur noire.
(Image : courtoisie de la NASA)
La Terre est entourée par la magnétosphère, – une région dans laquelle les phénomènes physiques sont dominés ou organisés par son champ magnétique. La magnétosphère agit comme un bouclier nous protégeant contre les tempêtes solaires. Cependant, selon de nouvelles observations de l’engin spatial IMAGE, de la NASA, et des satellites Cluster de la NASA et de l’Agence spatiale européenne, d’énormes fissures apparaissent parfois dans la magnétosphère et demeurent ouvertes des heures durant. Cela permet aux vents solaires d’emprunter ce passage et de provoquer un climat spatial orageux. Heureusement, ces fissures ne permettent pas à la surface de la Terre d’être exposée aux vents solaires. Notre atmosphère nous protège, même quand la magnétosphère ne le fait pas.[8]

Dessin du satellite IMAGE de la NASA s’immisçant à travers une fissure dans la magnétosphère.
Comment un habitant du désert, au huitième siècle de notre ère, a-t-il pu décrire le ciel de façon aussi précise alors que ces faits n’ont été confirmés que récemment par la science? Il ne peut l’avoir décrit ainsi qu’après avoir reçu une révélation de Celui qui a créé ce ciel.

Le 28 mars 2021 à 18:41:13 bxl1070 a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:39:51 Deparmobylette a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:36:17 Alexdelouest a écrit :
L’athéisme est une religion blanche européenne née sur les cendres du catholicisme ava

N'importe quoi, l'athéisme est le fruit du scientisme qui a désapprouvée les thèses millénaires foireuses des religions et autres croyances.

Ah bon ? Tu expliques comment les multiples miracles scientifique prouvé par des scientifiques 1400ans après la revélation du Coran ?

Genre lesquels

Le 28 mars 2021 à 18:50:26 JesusKrist a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:43:34 bxl1070 a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:40:58 JesusKrist a écrit :
Normal, on est la race la plus avancée.

Le fer est l’un des éléments dont fait mention le Coran. Dans la sourate al-Hadid (le fer), on peut lire ce qui suit :

« Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel il y a une force redoutable, mais aussi maintes utilités pour les gens. » (Coran 57:25)

Certains ont pu croire que le mot arabe « anzalna », traduit ici par « descendre » et qui est utilisé pour parler du fer, dans ce verset, avait un sens métaphorique visant à faire entendre que le fer a été envoyé par Dieu pour profiter aux gens. Mais lorsque nous prenons en considération son sens littéral, qui signifie « être physiquement descendu du ciel » (car dans le Coran, chaque fois que ce mot a été utilisé, il l’a été au sens littéral, comme la pluie ou la révélation qui descend du ciel), nous réalisons que le verset fait référence à un important miracle scientifique. Car les découvertes astronomiques modernes nous apprennent que le fer que l’on trouve sur terre provient d’étoiles géantes de l’espace intersidéral.[1]

En fait, il ne s’agit pas uniquement du fer que l’on trouve sur la terre, mais du fer que l’on trouve dans tout le système solaire, car la température du soleil ne permet pas la formation du fer. Le soleil a une température de surface de 6000 degrés Celsius et une température d’environ 20 millions de degrés Celsius en son noyau. Le fer ne peut être produit que dans des étoiles de taille très supérieure à celle du soleil, dans lesquelles la température atteint quelques centaines de millions de degrés Celsius. Lorsque la quantité de fer dépasse un certain niveau, dans une étoile, celle-ci n’arrive plus à le contenir; elle finit alors par exploser et devenir ce qu’on appelle une « nova » ou une « supernova ». Ce sont ces explosions qui libèrent le fer dans l’espace.[2]

Une publication scientifique, American Scientist, fournit les informations suivantes à ce sujet :

« Il existe également des preuves concernant d’anciennes supernovae. Des niveaux élevés de fer-60 dans des sédiments pélagiques indiquent qu’une explosion de supernova s’est produite à 90 années-lumière du soleil il y a de cela environ 5 millions d’années. Le fer-60 est un isotope radioactif du fer formé lors d’explosions de supernovae; il finit par se désintégrer et sa demi-vie est d’une durée de 1,5 millions d’années. La présence importante de cet isotope dans une strate indique une récente nucléosynthèse d’éléments non loin dans l’espace et leur descente subséquente vers la terre (peut-être mêlés à des grains de poussière). »[3]

Tout cela démontre que le fer ne s’est pas formé sur la terre, mais qu’il provient de supernovae; il a donc été « descendu » sur terre, tel que le mentionne le verset. Il est clair que cette réalité ne pouvait être connue au 7e siècle, lors de la révélation du Coran. Néanmoins, elle est mentionnée dans le Coran, la Parole de Dieu, qui embrasse tout dans Son savoir infini.

Le fait que le verset parle du fer en particulier est étonnant si l’on considère que ces découvertes ont été faites à la fin du 20e siècle. Dans son ouvrage intitulé Nature’s destiny, le réputé microbiologiste Michael Denton souligne l’importance du fer :

« De tous les métaux, aucun n’est plus essentiel à la vie que le fer. C’est l’accumulation de fer au centre d’une étoile qui déclenche l’explosion d’une supernova et la dispersion subséquente des atomes essentiels à la vie à travers le cosmos. C’est l’attraction exercée par la gravité des atomes de fer vers le centre de la terre, au cours de ses premiers stades de développement, qui a généré la chaleur qui a occasionné la différentiation chimique initiale de la terre, la libération des gaz de l’atmosphère primitive et, finalement, la formation de l’hydrosphère. C’est le fer en fusion au centre de la terre qui, tel un gigantesque dynamo, génère le champ magnétique terrestre qui, à son tour, donne naissance aux ceintures de radiation Van Allen qui protègent la surface de la terre des radiations cosmiques pénétrantes de haute énergie et qui préservent l’essentielle couche d’ozone de la destruction par les rayons cosmiques…

« Sans l’atome de fer, il n’y aurait pas de vie basée sur la chimie du carbone dans le cosmos; pas de supernovae, pas de réchauffement de la terre primitive ni d’atmosphère ni d’hydrosphère. Il n’y aurait pas de champ magnétique protecteur, pas de ceintures de radiation Van Allen, pas de couche d’ozone, aucun métal pour fabriquer l’hémoglobine (dans le sang humain) ni pour contrôler la réactivité de l’oxygène, et pas de métabolisme oxydant.

« L’intrigante et étroite relation entre la vie et le fer, entre la couleur rouge du sang et l’agonie d’une étoile reculée indique non seulement l’importance des métaux dans la biologie, mais aussi le biocentrisme du cosmos… »[4]

Cette explication indique clairement l’importance de l’atome de fer. Le fait qu’une attention particulière soit portée au fer, dans le Coran, souligne également l’importance de cet élément.

Par ailleurs, des particules d’oxyde de fer ont été utilisées, récemment, dans le traitement du cancer, avec des résultats positifs. Une équipe menée par le docteur Andreas Jordan, du Charité Hospital, en Allemagne, a réussi à détruire des cellules cancéreuses avec cette nouvelle technique développée dans la lutte au cancer, c’est-à-dire l’hyperthermie liquide magnétique. Cette technique a d’abord été testée sur un homme de 26 ans, Nikolaus H., chez qui aucune nouvelle cellule cancéreuse n’est apparue au cours des trois mois suivant le traitement.

Cette méthode de traitement peut être résumée ainsi :

1. Un liquide contenant des particules d’oxyde de fer est injecté dans la tumeur à l’aide d’une seringue. Ces particules se répandent dans les cellules cancéreuses. Le liquide en question est composé de milliers de millions de particules qui sont mille fois plus petites que les globules sanguins et qui peuvent aisément voyager à travers les vaisseaux sanguins.[5]

2. Le patient est ensuite installé dans un appareil à puissant champ magnétique.

3. Ce champ magnétique active les particules de fer dans la tumeur. À ce moment, la température à l’intérieur de la tumeur augmente à 45 degrés Celsius.

4. En l’espace de quelques minutes, les cellules cancéreuses, incapables de se protéger contre cette chaleur soudaine, sont soit affaiblies, soit détruites. Le traitement est alors suivi d’une chimiothérapie afin de détruire totalement la tumeur.[6]

Dans ce traitement, ce sont seulement les cellules cancéreuses qui sont affectées par le champ magnétique, car elles sont les seules à contenir les particules d’oxyde de fer. Cette technique constitue un développement majeur dans le traitement de cette maladie trop souvent mortelle. Le fer est également connu comme traitement contre l’anémie.

Connaissant maintenant l’utilité du fer dans le traitement de ces maladies extrêmement répandues, on peut voir sous un autre jour les paroles du verset 25 de la sourate 57 du Coran : « Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel il y a une force redoutable, mais aussi maintes utilités pour les gens ». Et Dieu sait mieux.

Blabla. Le fer est un des derniers éléments issus de la nucléosynthèse stellaire dite "calme". Go lire l'article B²FH de 1957 au lieu des inepties écrites dans le Coran par des éleveurs de chèvres il y a 1000 ans.

As tu lu ?

Le 28 mars 2021 à 18:51:49 PogbacarCobide a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:41:13 bxl1070 a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:39:51 Deparmobylette a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:36:17 Alexdelouest a écrit :
L’athéisme est une religion blanche européenne née sur les cendres du catholicisme ava

N'importe quoi, l'athéisme est le fruit du scientisme qui a désapprouvée les thèses millénaires foireuses des religions et autres croyances.

Ah bon ? Tu expliques comment les multiples miracles scientifique prouvé par des scientifiques 1400ans après la revélation du Coran ?

Genre lesquels

L’étude des divers types de nuages a permis aux scientifiques de réaliser que la formation et l’aspect des nuages de pluie sont régis selon des systèmes bien précis et suivent certaines étapes qui varient selon les types de vents et de nuages.

Un des types de nuages de pluie est le cumulo-nimbus. Les météorologues ont étudié la formation des cumulo-nimbus et la façon dont ils produisent la pluie, la grêle et les éclairs.

Ils ont découvert que les cumulo-nimbus passent à travers les différentes étapes suivantes pour produire de la pluie:

1) Les nuages sont poussés par le vent: Les cumulo-nimbus commencent à se former lorsque le vent pousse des fragments de nuages (cumulus) vers une aire où ces nuages convergent (voir illustrations 1 and 2).

Illustration 1: Photo satellite montrant les nuages se déplaçant vers les aires de convergence B, C, et D. Les flèches indiquent les directions du vent. (The Use of Satellite Pictures in Weather Analysis and Forecasting [L’utilisation des images satellites dans l’analyse et les prévisions météorologiques], Anderson et al., p. 188.)

Illustration 2: Petits fragments de nuages (cumulus) se dirigeant vers une zone de convergence près de l’horizon, où l’on aperçoit un gros cumulo-nimbus. (Clouds and Storms [Les nuages et les tempêtes], Ludlam, cliché 7.4.)
2) Les nuages se rassemblent: Ensuite les fragments de nuages se rassemblent pour former un nuage plus gros[1] (voir illustrations 1 and 2).

Illustration 2: A) Fragments de nuages isolés (cumulus). (B) Lorsque les fragments de nuages de rassemblent, les courants d’air ascendants augmentent à l’intérieur du gros nuage nouvellement formé; le nuage se développe alors en hauteur. Les gouttes d’eau sont indiquées par les ·. (The Atmosphere [L’atmosphère], Anthes et al., p. 269.)
3) Le nuage se développe en hauteur: Lorsque les petits nuages se rassemblent, les courants d’air ascendants augmentent à l’intérieur du gros nuage nouvellement formé. Les courants d’air ascendants qui sont situés près du centre du nuage sont plus forts que ceux situés près des bords.[2] Ces courants d’air ascendants provoquent le développement en hauteur du nuage, formant une structure en forme d’enclume (voir illustrations 2 (B), 3, and 4). Ce développement en hauteur fait en sorte que le nuage s’étend jusqu’à des régions plus froides de l’atmosphère, et c’est là que des gouttes d’eau et des grêlons se forment et augmentent de volume. Lorsque ces gouttes d’eau et ces grêlons deviennent trop lourds pour être soutenus par les courants d’air ascendants, ils commencent à tomber du nuage sous forme de pluie et de grêle.[3]

Illustration 3: Un cumulo-nimbus. Après que le nuage se soit développé en hauteur, formant une structure en forme d’enclume, de la pluie s’en échappe. (Weather and Climate [Conditions atmosphériques et climats], Bodin, p.123.)

Illustration 4: Un cumulo-nimbus. (A Colour Guide to Clouds [Guide illustré des nuages], Scorer et Wexler, p. 23.)
Dieu a dit, dans le Coran:

“N’as-tu pas vu que Dieu pousse les nuages? Ensuite Il les réunit et Il en fait un amas, et tu vois la pluie sortir de son sein.” (Coran 24:43)

Ce n’est que récemment que les météorologues ont découvert ces détails sur la formation, la structure et la fonction des nuages, en utilisant des équipements de pointe tels que des avions, des satellites, des ordinateurs, des ballons d’essai, etc. pour étudier les directions du vent, mesurer l’humidité et ses variations, et pour déterminer les niveaux et les variations de la pression atmosphérique.[4]

Le verset précédent, après avoir mentionné les nuages et la pluie, parle de la grêle et des éclairs:

“...Et Il fait descendre, du ciel, de la grêle provenant de nuages comparables à des montagnes. Il en frappe qui Il veut et l’écarte de qui Il veut. Peu s’en faut que l’éclat de son éclair ne ravisse la vue.” (Coran 24:43)

Les météorologues ont découvert que ces cumulo-nimbus, desquels tombe la grêle, atteignent une hauteur variant entre 25 000 et 30 000 pieds (7600 à 9100 mètres) , ou 4.7 à 5.7 milles (7,5 à 9,2 kilomètres),[5] une hauteur rappelant celle des montagnes, comme le dit le Coran: “...Et Il fait descendre, du ciel, de la grêle provenant de nuages comparables à des montagnes.” (voir illustration 4 ci-haut).

Ce verset peut nous amener à nous poser la question suivante: pourquoi est-il dit, dans ce verset, “son éclair” en parlant de la grêle? Cela signifie-t-il que la grêle est la cause principale de la formation de l’éclair? Voici ce que le livre Meteorology Today (La météorologie d’aujourd’hui) dit à ce sujet. Il dit qu’un nuage devient électrifié lorsque les grains de grêle traversent une partie du nuage où circulent des gouttelettes très froides et des cristaux de glace. Lorsque les gouttelettes heurtent les grains de grêle, elles gèlent à leur contact et libèrent en même temps de la chaleur latente. Cela fait en sorte que la surface des grains de grêle reste plus chaude que celle des cristaux de glace environnants. Lorsque les grains de grêle entrent en contact avec les cristaux de glace, un phénomène important se produit: des électrons circulent de l’objet le plus chaud à l’objet le plus froid. C’est alors que les grains de grêle deviennent négativement chargés. La même chose se produit lorsque des gouttelettes très froides entrent en contact avec des grains de grêle et que de minuscules éclats de glace chargés positivement se détachent. Ces particules positivement chargées, qui sont plus légères, sont alors transportées dans la partie supérieure du nuage par les courants d’air ascendants. La grêle, qui est restée avec une charge négative, descend dans la partie inférieure du nuage; cette partie devient donc négativement chargée. Ces charges négatives sont alors déchargées sous forme d’éclairs.[6] Nous pouvons conclure de cette explication que la grêle est la cause principale de la formation de l’éclair.

Ces informations sur la formation des éclairs n’ont été découvertes que récemment. Jusqu’en l’an 1600, les idées d’Aristote sur la météorologie étaient dominantes. Il croyait, par exemple, que l’atmosphère contenait deux sortes d’émanations, l’une humide, l’autre sèche. Il affirmait également que le tonnerre était le bruit de la collision entre l’émanation sèche et les nuages environnants, et que l’éclair était l’inflammation de l’émanation sèche à l’aide d’un faible feu de forme amincie.[7] Ce sont là quelques idées sur la météorologie qui étaient dominantes à l’époque de la révélation du Coran, il y a quatorze siècles.

Le 28 mars 2021 à 18:41:13 bxl1070 a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:39:51 Deparmobylette a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:36:17 Alexdelouest a écrit :
L’athéisme est une religion blanche européenne née sur les cendres du catholicisme ava

N'importe quoi, l'athéisme est le fruit du scientisme qui a désapprouvée les thèses millénaires foireuses des religions et autres croyances.

Ah bon ? Tu expliques comment les multiples miracles scientifique prouvé par des scientifiques 1400ans après la revélation du Coran ?

J'ai jamais vu une page Wiki aussi longue

https://wikiislam.net/wiki/Scientific_Errors_in_the_Quran

Le 28 mars 2021 à 18:54:22 bxl1070 a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:51:49 PogbacarCobide a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:41:13 bxl1070 a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:39:51 Deparmobylette a écrit :

Le 28 mars 2021 à 18:36:17 Alexdelouest a écrit :
L’athéisme est une religion blanche européenne née sur les cendres du catholicisme ava

N'importe quoi, l'athéisme est le fruit du scientisme qui a désapprouvée les thèses millénaires foireuses des religions et autres croyances.

Ah bon ? Tu expliques comment les multiples miracles scientifique prouvé par des scientifiques 1400ans après la revélation du Coran ?

Genre lesquels

L’étude des divers types de nuages a permis aux scientifiques de réaliser que la formation et l’aspect des nuages de pluie sont régis selon des systèmes bien précis et suivent certaines étapes qui varient selon les types de vents et de nuages.

Un des types de nuages de pluie est le cumulo-nimbus. Les météorologues ont étudié la formation des cumulo-nimbus et la façon dont ils produisent la pluie, la grêle et les éclairs.

Ils ont découvert que les cumulo-nimbus passent à travers les différentes étapes suivantes pour produire de la pluie:

1) Les nuages sont poussés par le vent: Les cumulo-nimbus commencent à se former lorsque le vent pousse des fragments de nuages (cumulus) vers une aire où ces nuages convergent (voir illustrations 1 and 2).

Illustration 1: Photo satellite montrant les nuages se déplaçant vers les aires de convergence B, C, et D. Les flèches indiquent les directions du vent. (The Use of Satellite Pictures in Weather Analysis and Forecasting [L’utilisation des images satellites dans l’analyse et les prévisions météorologiques], Anderson et al., p. 188.)

Illustration 2: Petits fragments de nuages (cumulus) se dirigeant vers une zone de convergence près de l’horizon, où l’on aperçoit un gros cumulo-nimbus. (Clouds and Storms [Les nuages et les tempêtes], Ludlam, cliché 7.4.)
2) Les nuages se rassemblent: Ensuite les fragments de nuages se rassemblent pour former un nuage plus gros[1] (voir illustrations 1 and 2).

Illustration 2: A) Fragments de nuages isolés (cumulus). (B) Lorsque les fragments de nuages de rassemblent, les courants d’air ascendants augmentent à l’intérieur du gros nuage nouvellement formé; le nuage se développe alors en hauteur. Les gouttes d’eau sont indiquées par les ·. (The Atmosphere [L’atmosphère], Anthes et al., p. 269.)
3) Le nuage se développe en hauteur: Lorsque les petits nuages se rassemblent, les courants d’air ascendants augmentent à l’intérieur du gros nuage nouvellement formé. Les courants d’air ascendants qui sont situés près du centre du nuage sont plus forts que ceux situés près des bords.[2] Ces courants d’air ascendants provoquent le développement en hauteur du nuage, formant une structure en forme d’enclume (voir illustrations 2 (B), 3, and 4). Ce développement en hauteur fait en sorte que le nuage s’étend jusqu’à des régions plus froides de l’atmosphère, et c’est là que des gouttes d’eau et des grêlons se forment et augmentent de volume. Lorsque ces gouttes d’eau et ces grêlons deviennent trop lourds pour être soutenus par les courants d’air ascendants, ils commencent à tomber du nuage sous forme de pluie et de grêle.[3]

Illustration 3: Un cumulo-nimbus. Après que le nuage se soit développé en hauteur, formant une structure en forme d’enclume, de la pluie s’en échappe. (Weather and Climate [Conditions atmosphériques et climats], Bodin, p.123.)

Illustration 4: Un cumulo-nimbus. (A Colour Guide to Clouds [Guide illustré des nuages], Scorer et Wexler, p. 23.)
Dieu a dit, dans le Coran:

“N’as-tu pas vu que Dieu pousse les nuages? Ensuite Il les réunit et Il en fait un amas, et tu vois la pluie sortir de son sein.” (Coran 24:43)

Ce n’est que récemment que les météorologues ont découvert ces détails sur la formation, la structure et la fonction des nuages, en utilisant des équipements de pointe tels que des avions, des satellites, des ordinateurs, des ballons d’essai, etc. pour étudier les directions du vent, mesurer l’humidité et ses variations, et pour déterminer les niveaux et les variations de la pression atmosphérique.[4]

Le verset précédent, après avoir mentionné les nuages et la pluie, parle de la grêle et des éclairs:

“...Et Il fait descendre, du ciel, de la grêle provenant de nuages comparables à des montagnes. Il en frappe qui Il veut et l’écarte de qui Il veut. Peu s’en faut que l’éclat de son éclair ne ravisse la vue.” (Coran 24:43)

Les météorologues ont découvert que ces cumulo-nimbus, desquels tombe la grêle, atteignent une hauteur variant entre 25 000 et 30 000 pieds (7600 à 9100 mètres) , ou 4.7 à 5.7 milles (7,5 à 9,2 kilomètres),[5] une hauteur rappelant celle des montagnes, comme le dit le Coran: “...Et Il fait descendre, du ciel, de la grêle provenant de nuages comparables à des montagnes.” (voir illustration 4 ci-haut).

Ce verset peut nous amener à nous poser la question suivante: pourquoi est-il dit, dans ce verset, “son éclair” en parlant de la grêle? Cela signifie-t-il que la grêle est la cause principale de la formation de l’éclair? Voici ce que le livre Meteorology Today (La météorologie d’aujourd’hui) dit à ce sujet. Il dit qu’un nuage devient électrifié lorsque les grains de grêle traversent une partie du nuage où circulent des gouttelettes très froides et des cristaux de glace. Lorsque les gouttelettes heurtent les grains de grêle, elles gèlent à leur contact et libèrent en même temps de la chaleur latente. Cela fait en sorte que la surface des grains de grêle reste plus chaude que celle des cristaux de glace environnants. Lorsque les grains de grêle entrent en contact avec les cristaux de glace, un phénomène important se produit: des électrons circulent de l’objet le plus chaud à l’objet le plus froid. C’est alors que les grains de grêle deviennent négativement chargés. La même chose se produit lorsque des gouttelettes très froides entrent en contact avec des grains de grêle et que de minuscules éclats de glace chargés positivement se détachent. Ces particules positivement chargées, qui sont plus légères, sont alors transportées dans la partie supérieure du nuage par les courants d’air ascendants. La grêle, qui est restée avec une charge négative, descend dans la partie inférieure du nuage; cette partie devient donc négativement chargée. Ces charges négatives sont alors déchargées sous forme d’éclairs.[6] Nous pouvons conclure de cette explication que la grêle est la cause principale de la formation de l’éclair.

Ces informations sur la formation des éclairs n’ont été découvertes que récemment. Jusqu’en l’an 1600, les idées d’Aristote sur la météorologie étaient dominantes. Il croyait, par exemple, que l’atmosphère contenait deux sortes d’émanations, l’une humide, l’autre sèche. Il affirmait également que le tonnerre était le bruit de la collision entre l’émanation sèche et les nuages environnants, et que l’éclair était l’inflammation de l’émanation sèche à l’aide d’un faible feu de forme amincie.[7] Ce sont là quelques idées sur la météorologie qui étaient dominantes à l’époque de la révélation du Coran, il y a quatorze siècles.

Les nuages sont un miracle ?

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iilumination
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28 mars 2021 à 18:35:28
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28 mars 2021 à 19:04:18
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