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John Winston Ono Lennon [ d͡ʒɒn ˈlɛnən]n 1, né le 9 octobre 1940 à Liverpool et mort assassiné le 8 décembre 1980 à New York, est un auteur-compositeur-interprète, musicien et écrivain britannique.
Il est le fondateur des Beatles, groupe musical anglais au succès planétaire depuis sa formation au début des années 1960. Au sein des Beatles, il forme avec Paul McCartney l'un des tandems d'auteurs-compositeurs les plus influents et prolifiques de l'histoire du rock, donnant naissance à plus de deux cents chansons.
Adolescent, influencé par ses idoles américaines du rock 'n' roll, il est emporté par la vague de musique skiffle qui sévit à Liverpool et fonde, au début de l'année 1957, le groupe des Quarrymen, qui évolue pour devenir, avec Paul McCartney, George Harrison et Ringo Starr, les Beatles. Des albums Please Please Me en 1963 à Let It Be en 1970, les Beatles deviennent un des plus grands phénomènes de l'histoire de l'industrie discographique, introduisant de nombreuses innovations musicales et mélangeant les genres et les influences avec une audace et une sophistication jusqu'alors inédites. Lennon occupe une place centrale dans cette réussite populaire, critique et commerciale, composant des œuvres majeures pour le groupe. Les dissensions entre les musiciens, en particulier entre Lennon et McCartney, mettent fin à l'aventure en 1970.
Lorsque les Beatles se séparent, John Lennon se consacre à sa carrière solo, épaulé et inspiré par son épouse Yoko Ono, artiste japonaise d'avant-garde. Yoko et John forment alors un des couples les plus médiatisés au monde, aussi bien pour leur art que pour leur engagement politique. Ils créent le Plastic Ono Band, groupe à géométrie variable où ils sont accompagnés d'amis sur scène et en studio. En 1971, John Lennon compose l'une de ses chansons les plus emblématiques, Imagine ; l'album du même nom est également son plus grand succès commercial en solo. Lennon se retire de toute activité publique en 1975 pour s'occuper de son fils nouveau-né Sean, puis reprend sa carrière en 1980, quelques semaines avant d'être assassiné par Mark David Chapman, un fanatique atteint de troubles psychotiques, devant sa résidence du Dakota Building à New York.
Outre sa musique, Lennon est également célèbre pour ses nombreuses prises de position, notamment pacifistes, à partir de la fin des années 1960. Ses activités et son engagement, notamment contre la guerre du Viêt Nam, lui valent des ennuis réguliers avec le gouvernement des États-Unis, qui tente de l'expulser. Personnalité complexe, il fait preuve d'un humour acerbe, teinté d'absurde et de non-sens, et se démarque également par son caractère parfois violent et conflictuel, en contradiction avec son image de représentant de l'idéal pacifiste. Il montre des talents dans les domaines de la peinture et de l'écriture, joue dans quelques films, et réalise des courts-métrages expérimentaux.
Longtemps après sa mort, il reste l'un des artistes les plus populaires du xxe siècle (il a vendu plus de 72 millions de disques en « équivalent album ») et incarne le mouvement pacifiste peace and love des années 1960 et 1970. Un rassemblement à sa mémoire continue d'avoir lieu à New York chaque 8 décembre, jour de sa mort, et plusieurs mémoriaux ont été érigés en son honneur de par le monde. L'aéroport de Liverpool porte son nom depuis 2002.
Propriétés physiques de base
Caractéristiques physiques remarquables du titane :
sa masse volumique est environ 60 % de celle de l’acier ;
sa tenue à la corrosion est exceptionnelle dans de nombreux milieux tels que l’eau de mer ou l’organisme humain ;
ses caractéristiques mécaniques restent élevées jusqu’à une température d’environ 600 °C et restent excellentes jusqu’aux températures cryogéniques ;
il est disponible sous des formes et des types de produits très variés : lingots, billettes, barres, fils, tubes, brames, tôles, feuillard ;
sa valeur de susceptibilité magnétique (1,8 à 2,3 × 10−4) est très inférieure à celle du fer (3 × 105). C'est donc un matériau avantageux en cas de diagnostic par IRM : diminution des artefacts ;
son coefficient de dilatation, légèrement inférieur à celui de l’acier, est moitié moins que celui de l’aluminium. On prendra pour valeur moyenne un coefficient de dilatation de 8,5 × 10−6 K−1 ;
son module de Young ou module d'élasticité longitudinal se situe entre 100 000 et 110 000 MPa. Cette valeur assez faible comparée à l'acier inox (220 000 MPa) en fait un matériau particulièrement intéressant pour sa biocompatibilité.
Propriétés cristallographiques
Le titane pur est le siège d’une transformation allotropique de type martensitique au voisinage de 882 °C. En dessous de cette température, la structure est hexagonale pseudo-compacte (a = 0,295 nm, c = 0,468 nm, c/a = 1,587) et est appelée Ti α (groupe d'espace no 194 P63/mmc). Au-dessus de cette température la structure est cubique centrée (a = 0,332 nm) et est appelée Ti β. La température de transition α → β est appelée transus β. La température exacte de transformation est largement influencée par les éléments substitutifs et interstitiels. Elle dépend donc fortement de la pureté du métal.
Structure cristallographique des mailles α et β du titane.
Isotopes
Article détaillé : Isotopes du titane.
On trouve le titane sous la forme de 5 isotopes dans la nature : 46Ti, 47Ti, 48Ti, 49Ti, 50Ti. Le 48Ti représente l'isotope majoritaire avec une abondance naturelle de 73,8 %. 21 radioisotopes ont été observés, le plus stable le 44Ti possède une demi-vie de 63 ans.
Oxydes
Le titane peut se trouver sous plusieurs états d'oxydation comme de nombreux métaux de transition. Il possède donc plusieurs oxydes correspondant à ces degrés d'oxydation :
Monoxyde de titane TiO - Ti(II)
Trioxyde de dititane Ti2O3 - Ti(III)
Dioxyde de titane TiO2 - Ti (IV)
Trioxyde de titane TiO3 - Ti(VI)
Propriétés mécaniques
Érosion
La couche d’oxyde très adhérente et dure explique la longévité de pièces en titane soumises aux chocs de particules en suspension dans les fluides. Cet effet est amplifié par la capacité qu'a cette couche de se régénérer. L'érosion dans l’eau de mer est augmentée par un débit plus élevé ou une granulométrie plus faible.
Résistance et ductilité
Le titane est considéré comme un métal ayant une résistance mécanique importante et une bonne ductilité dans les conditions normales de température. Sa résistance spécifique (rapport résistance à la traction / densité) est, par exemple, plus élevée que celle de l’aluminium ou l’acier. Sa résistance est décroissante à la température avec un replat entre −25 °C et 400 °C. En dessous de −50 °C, dans les domaines de températures cryogéniques, sa résistance augmente et sa ductilité diminue grandement.
Usure et grippage
Jusqu’à ce jour, aucune solution satisfaisante n’a encore été mise au point. On a essayé principalement l’oxydation, la nitruration, la boruration et la carburation. On se heurte à de nombreuses difficultés technologiques de réalisation et d’adhérence. Ajoutons que les traitements de surface du titane, modifiant la nature ou la structure de la surface, ne sont à employer qu’avec la plus grande prudence et après une étude approfondie de leur influence ; ils ont généralement un effet néfaste plus ou moins prononcé sur la résistance et la fatigue.
Biocompatibilité
Le titane est l’un des métaux les plus bio-compatibles, avec l’or et le platine, c’est-à-dire qu’il résiste totalement aux fluides corporels.
De plus, il possède une haute résistance mécanique et un module d’élasticité très bas (100 000 MPa à 110 000 MPa), plus proche de celui des structures osseuses (20 000 MPa9) que l'acier inox (220 000 MPa). Cette élasticité qui favorise le remodelage osseux en obligeant l'os à travailler (prévention du stress shielding ou ostéoporose péri-implantaire) fait du titane un bio-matériau particulièrement intéressant. Il faut cependant noter qu'une élasticité excessive peut aussi compromettre la fonction du bio-matériau qui aurait subi une déformation inacceptable.
Résistance au feu
Sa résistance au feu, notamment d’hydrocarbures, est très bonne. Il a été démontré qu’un tube de 2 mm d’épaisseur pouvait sans dommage ni risque de déformation ou d’explosion supporter une pression de dix atmosphères tout en étant soumis à un feu d’hydrocarbures à une température de 600 °C. Cela est dû en premier lieu à la résistance de la couche d’oxyde qui évite la pénétration de l’hydrogène dans le matériau. En outre, la faible conductivité thermique du titane protège plus longtemps les éléments internes d’une élévation de température.
Un golem (hébreu : [mot interdit], « embryon », « informe » ou « inachevé ») est, dans la mystique puis la mythologie juive, un être artificiel, généralement humanoïde, fait d’argile, incapable de parole et dépourvu de libre-arbitre, façonné afin d’assister ou défendre son créateur.
Déjà mentionné dans la littérature talmudique, il acquiert une popularité considérable dans le folklore juif d’Europe centrale, où il est associé à la figure du Maharal de Prague et aux accusations de meurtre rituel envers les Juifs. Dans l’une des versions les plus populaires de sa légende, reprise par certains contes chrétiens, il naît de la terre glaise après que quatre sages, figurant les quatre éléments, ont pourvu sa matière informe de leurs attributs ; sur son front figure le mot emet (אמת, « vérité ») qui devient, lorsque sa première lettre est effacée, met (מת, « mort »), faisant retourner l’homme artificiel à la poussière.
Négligeant la spécificité de cette créature, quelques auteurs affirment que les légendes du golem auraient pu inspirer bon nombre de figures de l’imaginaire moderne dont le monstre de Frankenstein (dans sa version filmée) ou Superman1.
rganization
The General Intelligence Directorate is under the jurisdiction of the Ministry of Interior.[3] It is divided into three branches:
Internal Security Division
External Security Division
Palestinian Affairs Division[2]
The internal security division is responsible for the internal surveillance of the population. The external security division is responsible for foreign intelligence work. And, the Palestinian division is responsible for monitoring the activities of Palestinian groups in Syria and Lebanon.[4]
Hisham Bekhityar became the head of the General Security Directorate in 2001, replacing Ali Hammoud, who became the Minister of Interior.[5] General Bakhtiar was close to Bashar al-Assad's deceased brother-in-law Assef Shawkat.[6] In the late 20th century Maj. Gen Ali Houri was director of General Security Directorate.[4] The service was in competition with Idarat al-Amn al-Siyasi in the late 20th century.[6] Gen. Ghazi Kanaan possibly headed international security of the General Security Directorate in the late 20th century.[4]
President Bashar Assad in June 2005 appointed General Ali Mamluk as commander of the General Security Directorate.[7] Six years later in April 2011, the US government imposed sanctions on Ali Mamluk, saying he had been responsible for human rights abuses, including the use of violence against civilians. His agency had repressed internal dissent, monitored individual citizens, and had been involved in the Syrian government's actions in Daraa, where protesters were killed by Syrian security services. The next month, the EU also imposed sanctions on Ali Mamluk, saying he had been involved in efforts to suppress anti-government protesters. A Sunni, he is said to be on good terms with all of Syria's intelligence agencies – the heads of Air Force Intelligence and the Political Security Directorate were once his assistants. He is a part of Bashar al-Assad's inner circle.[1]
Heads of General Intelligence Directorate
Adnan Babagh (1971–?)[8]
Ali Madani (1970s)[8]
Nazih Zirayr (?–1983)[9]
Fu'ad Absi (1983–1987)[9]
Majid Sa'id (1987–1994)[9][10]
Internal branch: Mohammed Nasif Kheirbek (?–1999)[10][11]
Bashir an-Najjar (1994–1998)[10]
Ali Houri (1998–2001)[4][5]
Deputy director: Mohammed Nasif Kheirbek (1999–June 2005)[1][4]
Internal branch (251): Bahjat Suleiman (1999–June 2005)[12]
External branch: Ayyad Mahmud (1999–?)[13]
Ali Hammoud (October–December 2001)[5]
Hisham Ikhtiyar (2001–June 2005)[14]
Ali Mamlouk (June 2005 – 2010), the European Union sanctioned him for "violence against demonstrators during the Syrian uprising".[14][15][16]
Deputy director: Hassan Khallouf (June 2005–?)[7][12]
Internal branch (251): Fouad Nasif Kheir Bek (June 2005–?)[7][12][17]
Deputy director: Jamil Hassan (?–2009)[15][18]
Information branch: Zouheir Hamad (?–July 2010)[18]
Zouheir Hamad (July 2010–July 2012), the European Union sanctioned him for "the use of violence across Syria and for intimidation and torture of protesters during the Syrian Civil War".[15][16]
Deputy director: General Nazih (?–July 2012), the European Union sanctioned him for "being responsible for the use of violence across Syria and intimidation and torture of protestors during the Syrian uprising".[1][16]
Information branch: Ghassan Khalil (July 2010–present), the European Union sanctioned him for "being involved in repression and violence against the civilian population in Syria during the Syrian uprising".[15][16][18]
Mohammed Dib Zaitoun (July 2012 – present)[1][19]
Deputy director: Zouheir Hamad (July 2012–present)[1]
Internal branch (251): Tawfiq Younes (2011), the European Union sanctioned him for "being involved in violence against demonstrators during the Syrian uprisings".[16]
Regional Heads of General Intelligence Directorate
Damascus branch: Hafez Makhlouf (2011), the European Union sanctioned him for "being involved in violence against demonstrators during the Syrian uprisings".[16]
Damascus (branch 285): Brig. Gen. Ibrahim Ma’ala (2011-2012) accused of "ordering or committing crimes against humanity" by Human Rights Watch.[20]
Damascus (branch 285): Brig. Gen. Hussam Fendi (past-2011) accused of "ordering or committing crimes against humanity".[20]
Homs (branch 318): Brig. Gen. Firas Al-Hamed (2012) accused of "ordering or committing crimes against humanity".[20]
Latakia branch: Brig. Gen. Khudr Khudr (2012) accused of "ordering or committing crimes against humanity".[20]
Daraa branch: Brig. Gen. Ahmed Dibe (2011).[21]
Other Syrian intelligence agencies
Political Security Directorate
Military Intelligence Directorate
Air Force Intelligence Directorate
Les calmars à longs bras ou calmars araignées forment le genre Magnapinna regroupant des calmars abyssaux rarement observés, et caractérisés par une morphologie très distinctive et notamment de très longs bras, fins et déliés. La famille Magnapinnidae a été spécialement créée pour ce genre.
Sommaire
1 Découverte
2 Espèces
3 Liens externes
3.1 Références taxinomiques
3.2 Vidéos
4 Notes et références
Découverte
Magnapinna talismani
Ces animaux ont été observés en vie pour la première fois par des caméras de robots de grandes profondeurs dans les années 1990, même si les restes d'un spécimen avaient déjà été identifiés en 1907 par Fischer & Joubin, qui avaient baptisé l'espèce Mastigoteuthis talismani (aujourd'hui Magnapinna talismani (Fischer & Joubin, 1907)).
Ces calmars n'ont été étudiés qu'à partir de larves et de spécimens juvéniles, mais plusieurs vidéos montrent des spécimens qui semblent avoir une morphologie semblable laissant penser qu'il s'agit d'adultes. Comme ces spécimens adultes n'ont jamais été capturés, il reste incertain qu'elles appartiennent au même genre, ou si ce sont des parents éloignés.
Les scientifiques savent encore très peu de choses sur ces animaux, qui semblent rares et habitent les abysses.
Espèces
Selon World Register of Marine Species (20 janvier 2014)1 :
Magnapinna atlantica Vecchione & Young, 2006
Magnapinna pacifica Vecchione & Young, 1998
Magnapinna talismani (Fischer & Joubin, 1907)
Liens externes
Sur les autres projets Wikimedia :
Calmar à longs bras, sur Wikimedia Commons
Calmar à longs bras, sur Wikispecies
Références taxinomiques
(en) Référence World Register of Marine Species : taxon Magnapinna Vecchione & Young, 1998 [archive] (+ liste espèces [archive])
(en) Référence Tree of Life Web Project : Magnapinnidae [archive]
Vidéos
[vidéo]calmars à longs bras dans leur milieu naturel [archive]
La Maison de Hauteville (Italien : Casa d’Altavilla) est une famille de la noblesse normande issue de Tancrède de Hauteville dont les fils s’établirent à partir des années 1030 dans le sud de l’Italie pour en faire petit à petit la conquête, avant de s’attaquer à la Sicile musulmane. Elle est à l’origine du royaume de Sicile.
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Maison de Hauteville
Image illustrative de l’article Maison de Hauteville
Armes
Blasonnement d’azur, à la bande échiquetée de gueules et d’argent.
Lignées Fondue dans les Hohenstaufen
Période xie siècle-xiie siècle
Pays ou province d’origine Drapeau du Duché de Normandie Duché de Normandie
Charges Roi de Sicile
Prince de Tarente
Prince d'Antioche
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Une branche de cette famille aurait également fait souche en Angleterre après la Bataille de Hastings (1066), branche issue d’un petit-fils de Tancrède de Hauteville.
Armoiries Modifier
D’azur, à la bande échiquetée de gueules et d’argent.
La saga des Hauteville en Méditerranée Modifier
Racines Modifier
Cette famille normande est issue d’un hobereau du Cotentin, Tancrède (mort vers 1040), seigneur de Hauteville (il est impossible de déterminer parmi les trois Hauteville se trouvant dans le diocèse de Coutances lequel est le berceau de la famille).
Débuts en Méditerranée Modifier
Des douze fils de Tancrède de Hauteville, huit au moins partent progressivement s’illustrer en Méditerranée à partir des années 1030[réf. nécessaire]. Les plus illustres[réf. nécessaire] sont :
Guillaume, un colosse bientôt surnommé « Bras-de-Fer » après une bataille en Sicile contre les musulmans et où il tue d’un coup de lance le seigneur arabe de la ville de Troina[réf. nécessaire].
Drogon, qui arrive en Italie du Sud vers 1035 avec son frère Guillaume ;
Onfroi, qui arrive en Italie du Sud vers 1044 ;
Robert, nommé « Guiscard », surnom normand qu'il reçut lorsqu'il mena une vie de bandit en Calabre. Il arrive en Italie du Sud peu après la mort de son frère aîné Guillaume survenue en 1046 ;
Roger, surnommé « Bosso », le cadet des fils de Tancrède, arrive en Italie du Sud vers 1057.
La Sicile normande Modifier
Ces fils, les plus connus de Tancrède, jettent peu à peu dès l’an 1042, les fondements du futur royaume normanno-sicilien, se mêlant d’abord aux affaires d’une Italie méridionale en plein désordre, profitant des guerres intestines et des divisions qui affaiblissent toujours un peu plus les détenteurs du pouvoir local, notamment les Arabes, les Byzantins et les Lombards. Dans ce cadre, les Hauteville se font de plus en plus puissants et influents, tout en se démarquant des autres chefs normands.
Les frères de Hauteville, servant d’abord comme simples mercenaires autant les Lombards que les Byzantins, commencent en 1042 la conquête de l’Apulie. Vient par la suite la Calabre, d’où ils chassent les Byzantins en 1060, et le sud de l’Apulie, où ils chassent de nouveau les Byzantins en 1071 avec la prise de Bari. Alors que la Sicile est sous domination musulmane depuis environ deux siècles, les Hauteville réinstaurent une dynastie chrétienne. C’est ainsi que Robert Guiscard conclut en 1059 l’alliance avec la Papauté. Robert Guiscard et ses frères comprennent vite l’importance et l’influence de l’Église et de la Papauté et de ce fait, les Hauteville et leurs guerriers et chevaliers normands servent l’Église pour mieux se servir d’elle[réf. nécessaire], et pour asseoir toujours un peu plus leur domination et leur pouvoir : surtout aussi pour légitimer leurs conquêtes face notamment à l’Empire byzantin et au Saint-Empire romain germanique[réf. nécessaire].
En 1061, le cadet des Hauteville, Roger Ier de Sicile se lance, au nom du pape, dans la longue et pénible conquête de la Sicile musulmane. En 1072, Palerme est reconquise. En 1091, la prise de Noto achève la reconquête de la Sicile.
À la fin du xie siècle, les 8 frères Hauteville et leurs descendants sont bien implantés en Italie du Sud et en Sicile, occupant des postes clefs, malgré les nombreuses contestations et révoltes de la part d’autres barons normands[réf. nécessaire], cherchant à supplanter les Hauteville ou à se rendre indépendants. Seule une famille rivalise encore à cette époque avec les Hauteville, c’est une puissante famille issue des 5 frères Quarrel, des Normands arrivés en Italie en 1016. Cette famille perd bientôt son importance et son influence et est décimée entre les années 1130 et 50, quand l’un des fils de Roger Bosso, Roger II de Sicile, soumet tous les barons refusant son autorité après avoir proclamé le royaume de Sicile (1130). Sous son règne, les Hauteville atteignent leur apogée.
Déclin Modifier
La puissance des Hauteville (tout comme la puissance normande en Méditerranée) commence à décliner après le milieu du xiie siècle[réf. nécessaire]. Le dernier roi Hauteville légitime, le roi Guillaume II de Sicile meurt sans héritier mâle en 1189. Une maison de Hauteville perdure néanmoins en Normandie, sur ses fiefs ; une de ses branches cadettes est les comtes Roualle de Rouville, d'où descendance Lefebvre.[réf. nécessaire]
Les Hohenstaufen, puissante dynastie royale et impériale de l’Empire germanique, s’emparent du pouvoir en Italie du Sud et en Sicile, évinçant la maison Hauteville du trône.
Constance de Hauteville, princesse normande et fille posthume du roi Roger II de Sicile, devient reine de l’ancien royaume normando-sicilien en décembre 1194 faute d’héritier mâle légitime (elle détrône son cousin Tancrède, petit-fils bâtard de Roger II). Par son mariage en 1186 avec Henri Hohenstaufen dit le « Cruel » ou le « Sévère » (mort en 1197), elle fait entrer la couronne de Sicile dans la famille de Hohenstaufen. La maison de Hauteville en tant que souverains, les d’Altavilla d’Italie, disparaît dès lors de l’histoire avec la mort de la reine Constance dès l’an 1198. Son héritage passe à son fils, successeur du roi Henri le Cruel, Frédéric-Roger Hohenstaufen (mort en 1250), dit « stupor mundi » à moitié normand par sa mère et par lui à ses descendants les rois catalans de Sicile.
Généalogie Modifier
Tancrède
X 1) Murielle
X 2) Frédésende
│
├─1> Guillaume dit « Bras-de-Fer »
│
├─1> Drogon
│ │
│ └──> Richard
│ X une sœur de Tancrède de Hauteville
│ │
│ ├──> Roger
│ │ X Hodierne de Rethel
│ │
│ └──> Marie
│ X Josselin Ier de Courtenay
│
├─1> Onfroi
│ X Altrude de Sorrente
│ │
│ ├──> Abagelard
│ └──> Herman
│
├─1> Godefroi
│ X 1) une inconnue en Normandie
│ X 2) Théodora de Capaccio
│ │
│ ├─1> Robert
│ ├─1> Raoul
│ ├─1> Guillaume
│ └─2> Tancrède
│
├─1> Serlon
│ │
│ └──> Serlon X la fille de Rodolf de Moulins comte de Bojano ───> Serlon
│
├─2> Robert dit « Guiscard »
│ X 1) Aubrée de Buonalbergo
│ X 2) Sykelgaite de Salerne
│ │
│ ├─1> Bohémond
│ │ X Constance de France
│ │ │
│ │ └──> Bohémond
│ │ X Alix de Jérusalem
│ │ │
│ │ └──> Constance
│ │ X 1) Raymond de Poitiers
│ │ X 2) Renaud de Châtillon
│ │
│ ├─2> Roger dit « Borsa »
│ │ X Adèle de Flandre
│ │ │
│ │ └──> Guillaume d'Apulie
| |
| |-2> Gui
│ │
│ ├─1> Emma de Hauteville
│ │ X Odon Bonmarchis
│ │ │
│ │ ├──> Tancrède
│ │ │ X Cécile fille de Philippe Ier
│ │ │
│ │ └──> une inconnue
│ │ X Richard
| |
| |-2> Robert dit « Scalio »
| |
| |-2> Guillaume
│ │
│ ├─2> Héria
│ │ X Hugues V du Maine
│ │
│ ├─2> Sybille
│ │ X Ebles II de Roucy
│ │
│ └─2> Mathilde
│ X 1) Raimond Bérenger II, comte de Barcelone
│ X 2) Aymeri Ier, vicomte de Narbonne
│
├─2> Mauger
│
├─2> Guillaume
│
├─2> Alvarède
│
├─2> Humbert
│
├─2> Tancrède
│
├─2> Frédésende
│ X Richard Ier d’Aversa
└─2> Roger dit « Bosso »
X 1) Judith d'Évreux
X 2) Eremberge de Mortain
X 3) Adélaïde de Savone
│
├─1> Mathilde
│ X Raymond IV de Toulouse
│
├─1> Emma
│ X Guillaume VI d'Auvergne
│
├─2> Félicie
│ X Koloman
│
├─2> inconnue
│ X Conrad de Franconie
│
├─2> Yolande
│ X Robert de Bourgogne
|
|-3> Simon
│
└─3> Roger
X 1) Elvire de Castille
X 2) Sibylle de Bourgogne
X 3) Beatrix de Rethel
│
├─1> Roger
│ X Emma de Lecce
│ │
│ └──> Tancrède
│ X Sibylle d'Acerra
│ │
│ ├──> Roger
│ │ X Irène Ange
│ │
│ ├──> Guillaume
│ │
│ ├──> Marie Albine
│ │ X 1) 1200 Gautier III de Brienne
│ │ X 2) Giacomo di San Severino
│ │ X 3) Tigrini Guidi
│ │
│ └──> Valdrade
│ X Jacopo Tiepolo
│
├─1> Tancrède
│
├─1> Alphonse
│
├─1> Guillaume dit le « Mauvais »
│ X Marguerite de Navarre
│ │
│ ├──> Roger
│ │
│ ├──> Guillaume II dit le « Bon »
│ │ X Jeanne d'Angleterre
│ │ │
│ │ └──> Bohémond
│ │
│ └──> Henri
│
├──> Simon
│ │
│ └──> Roger
│
└─3> Constance de Sicile
X Henri Hohenstaufen le Cruel
|
|
|→ Frédéric-Roger Hohenstaufen
L'histoire de la censure en France est une suite d'abolitions et de rétablissements successifs : celle de l'ancien régime avait été abolie en 1791 par la Révolution française qui proclame la liberté des spectacles, mais rétablie en 1794 par la contre-révolution de Thermidor et renforcée par Napoléon 1er, supprimée par la IIe République, rétablie en 1850 par Napoléon III, supprimée en 1870 à la suite d'une proposition de Jules Simon, rétablie en 1871 par Mac-Mahon, et abandonnée en 1906 par le parlement qui refuse de voter la rémunération des censures.
Actuellement, la censure préventive en France s'exerce essentiellement dans deux domaines : le cinéma, avec la Commission de classification des œuvres cinématographiques ; et les publications pour la jeunesse, avec la Commission de surveillance et de contrôle des publications destinées à l'enfance et à l'adolescence. Une autre forme de censure a subsisté longtemps : celle du contrôle de la presse étrangère, à travers le décret-loi du 6 mai 1939, qui permettait au ministère de l'Intérieur d'interdire en France certaines publications éditées à l'étranger. Mais dans un arrêt du 7 février 2003 (no 243634), à la demande du GISTI, le Conseil d'État a annulé le refus du Premier ministre d'abroger le décret-loi en question qui modifiait l'article 14 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Le Conseil d'État a estimé que cet article violait l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme et le décret-loi a été abrogé par le décret no 2004-1044 du 4 octobre 2004. Toutefois, des faits de censure directe ou indirecte subsistent dans la période récente. Au milieu des années 1980, un livre de Jean-Bedel Bokassa mettant en cause l'ancien président Valéry Giscard d'Estaing au sujet de l'affaire des diamants est pilonné. Le livre Le Grand Secret de Claude Gubler, ancien médecin du président François Mitterrand, est interdit par décision de justice peu de jours après sa parution en 1996.
En juin 2000, le groupe de rock français Matmatah est condamné à 15 000 francs d'amende pour « provocation à l’usage de stupéfiants » et « présentation sous un jour favorable de l’usage et du trafic » à cause de sa chanson L'Apologie. En novembre 2005, le député UMP François Grosdidier porte plainte contre divers groupes de rap français, certains dissous, pour avoir pratiqué selon lui, une « incitation au racisme et à la haine. » Déposée dans le contexte des émeutes de l'automne, elle est vue, à gauche, comme un « acharnement » et une tentative de censurer la « parole des quartiers ». Les groupes concernés sont : Monsieur R, Smala, les groupes Lunatic (dissous), 113, Ministère A.M.E.R. et les chanteurs Fabe et Salif21. En outre, le groupe de rap La Rumeur a été poursuivi par le ministère de l'intérieur pour des propos tenus dans La Rumeur Magazine. La plainte a été déposée en 2002 par le ministère de la Justice mais a fait l'objet d'une décision de non-lieu rendue en première instance le 17 décembre 2004. Le procureur de la République en a fait appel en 2005 (alors que Dominique de Villepin dirigeait l'Intérieur).
La loi Gayssot votée en 1990 crée un délit de contestation de crime contre l'humanité dans son article 922. Elle fait l'objet de vive contestation comme celle de Noam Chomsky23 ou de l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol. Certaines personnes disent que la constitutionnalité de cette loi n'a été remise en cause que par les auteurs de faits incriminés[réf. nécessaire]. Une question prioritaire de constitutionnalité invoquant la violation de l'article 34 de la Constitution française invoquant la « non détermination du délit prévu par l'article 24 bis24 » a été soulevée mais la Cour de cassation a jugé cette question non sérieuse et a donc refusé de la transmettre au Conseil constitutionnel25. En 2010, Vincent Reynouard a été condamné à un an de prison ferme pour contestation de crimes contre l'humanité26.
Le négationnisme a recours à la rhétorique de l'épouvantail, qui consiste à créer un leurre à seule fin de le réfuter. Ce leurre est en l'occurrence la prétendue existence d'une « histoire officielle » qui travestirait la réalité des faits. L'expression même d'« histoire officielle » devient dès lors, par un retournement dialectique, synonyme d'« histoire falsifiée ». Cette prétendue « histoire officielle » appelle donc un « démenti », de la part de ceux qui se présentent le plus souvent comme des « chercheurs » autoproclamés.
Les négationnistes avancent la liberté d'expression (qui ne peut être restreinte que pour des motifs exceptionnels et bien définis) et la liberté de la recherche historique (qui par nature ne peut considérer aucune « vérité officielle » comme définitive) pour légitimer leurs mensonges. Dans La vérité, le mensonge et la loi29, Paul Rateau a montré les dangers que représente l’admission — au nom de la liberté d’expression — du négationnisme dans l’espace public. D’une part, parce que le négationnisme ne procède pas de l’ignorance ou d’une méprise de celui qui le défend, mais d’une intention délibérée de falsifier les faits. Il n’est donc pas une erreur, mais une tromperie. D’autre part, parce que admettre la diffusion d’idées négationnistes tend à présenter celles-ci comme des « opinions » recevables et respectables comme n’importe quelles autres, au nom de la liberté d’opinion et d’expression. Le « négationniste » y gagne en respectabilité et parvient ainsi à se placer au même niveau que l’historien et le savant, au préjudice de la vérité ramenée elle-même à une simple opinion. Pour P. Rateau, la falsification historique ne peut pas avoir sa place dans le débat public, car, écrit-il, le mensonge qu’elle défend « n’est tout simplement pas une opinion, ni une interprétation sur laquelle on serait amené à donner son avis, mais une fraude dont le but est de transformer le monde ». Le mensonge devient « délictuel lorsqu’il offense, diffame, voire menace l’ordre public en incitant à la haine. C’est à ce titre qu’une loi doit le sanctionner, et non parce qu’il s’agirait d’une opinion fausse ou d’une erreur (ce que, encore une fois, il n’est pas) ». La loi dite loi Gayssot du 13 juillet 1990 visant à interdire le négationnisme ne fixe, selon P. Rateau, aucune vérité « officielle » ou « d’État ». Par cette loi, l’État ne se prononce pas sur l’histoire, sur le fait lui-même. Il ne dit pas ce qu’il faut en penser ni comment l’interpréter. C’est la contestation publique de sa réalité qu’il condamne. Ainsi, conclut P. Rateau, « la loi ne soumet pas la politique à la vérité, ni la vérité à la politique ». Elle empêche simplement la confusion entre les vérités factuelles établies par la recherche historique (c’est-à-dire par une instance indépendante de l’État), les mensonges visant à manipuler et à tromper, et les opinions, objet seul de débats et de discussions dans l’espace public.
L’écriture cunéiforme est un système d'écriture mis au point en Basse Mésopotamie entre 3400 et 3300 av. J.-C., qui s'est par la suite répandu dans tout le Proche-Orient ancien, avant de disparaître dans les premiers siècles de l'ère chrétienne. Au départ pictographique et linéaire, la graphie de cette écriture a progressivement évolué vers des signes constitués de traits terminés en forme de « coins » ou « clous » (latin cuneus), auxquels elle doit son nom, « cunéiforme », qui lui a été donné aux xviiie et xixe siècles. Cette écriture se pratique par incision à l'aide d'un calame sur des tablettes d'argile, ou sur une grande variété d'autres supports.
Les conditions d'élaboration de cette forme d'écriture, qui est la plus vieille connue avec les hiéroglyphes égyptiens, sont encore obscures. Quoi qu'il en soit, elle dispose vite de traits caractéristiques qu'elle ne perd jamais au cours de son histoire. Le système cunéiforme est constitué de plusieurs centaines de signes pouvant avoir plusieurs valeurs. Ils sont en général des signes phonétiques (phonogrammes), transcrivant uniquement un son, plus précisément une syllabe. Mais une autre catégorie importante de signes sont les logogrammes souvent désignés comme des idéogrammes, qui représentent avant tout une chose et ne renvoient que secondairement à un son. D'autres types de signes complémentaires existent (signes numériques, compléments phonétiques et déterminatifs).
À partir de son foyer sud-mésopotamien où vivait le peuple qui en est probablement le créateur, les Sumériens, le système d'écriture cunéiforme est adapté dans d'autres langues, à commencer par l'akkadien parlé en Mésopotamie, puis des langues d'autres peuples du Proche-Orient ancien (élamite, hittite, hourrite entre autres), et il est le système dominant dans ces régions pendant tout le IIe millénaire av. J.-C. La graphie cunéiforme est parfois adaptée à des systèmes d'écriture obéissant à des principes différents de l'original : l'alphabet dans le Levant de la seconde moitié du IIe millénaire av. J.-C., et un syllabaire dans la Perse de la seconde moitié du Ier millénaire av. J.-C. L'écriture cunéiforme décline lentement par la suite, avant de se replier sur son foyer de Mésopotamie méridionale où elle disparaît aux débuts de l'ère chrétienne.
Le cunéiforme a été un élément marquant des cultures du Proche-Orient ancien qui ont développé un rapport à l'écrit et des littératures à partir de ce système. Sa redécouverte à l'époque moderne, son déchiffrement au xixe siècle et la traduction des textes qu'il notait ont donné naissance aux disciplines spécialisées dans l'étude des civilisations du Proche-Orient ancien, à commencer par l'assyriologie, et ainsi permis de mettre en lumière les accomplissements de ces civilisations jusqu'alors oubliées. L'étude des types de textes et des pratiques d'écriture a également mis en évidence l'existence d'une « culture cunéiforme » commune aux peuples ayant utilisé cette écriture, fortement marquée par l'empreinte mésopotamienne.
Karine Ste-Marie chante et écrit depuis qu’elle est toute jeune 1. Elle dit pourvoir chanter avant même de parler. À 14 ans, elle fait une apparition à l’émission de télévision Décibel. Peu après, elle participe à plusieurs événements tenus par des organismes de la région, par exemple les clubs Optimiste de Terrebonne et Mascouche, et pour les Chevaliers de Colomb. On lui propose aussi de chanter dans des événements corporatifs et dans des mariages, ainsi que la première partie d'un spectacle de Gregory Charles 2.
Vers 2002 (en ondes en 2003), Karine fait partie fait partie du Top 12 de 5 000 personnes participantes, sur l'émission de télévision canadienne de langue anglaise Popstars 3: The One 3.
Elle obtient son diplôme en musique populaire (chant) au Collège Lionel-Groulx en 2006 3. En 2007, elle a remporté le prix de la "Chanson primée SOCAN" lors du Festival de la chanson et de l’humour de Dégelis 2.
La jeune madame sort un premier album indépendant en 2012, un titre bilingue anglophone et francophone "Another Day". Son premier single "Parler ma pensée" a été un succès au Québec, se trouvant au Top 40 des classements musicaux et étant n ° 1 dans quelques stations de radio 3. Issue d'une famille francophone, elle commence à chanter aussi en anglais avec cet album 2.
Karine passe l’été 2014 au Circle In the Square Theatre School à New York. En 2015, elle s'est fait connaître grâce à l'émission La Voix1; sa version de "Always on My Mind" de Willie Nelson se trouve sur l’album officiel de cette saison de l’émission 3.
Après «La Voix»
Juste après l’émission, elle se joint à l’équipe de Cavaland, un spectacle équestre à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. Elle écrit et doit monter le spectacle 1 sur le site du Haras Laurentien. Aussi en 2015, elle fait partie du spectacle de la Saint-Jean-Baptiste de Sainte-Thérèse 4.
Karine passe ensuite trois ans en mer comme artiste de croisière sur la Holland America Line 3.
Une chanson originale intitulé "Charlottetown" lui donne son premier grand hit francophone; la chanson atteint le numéro 1 sur le canal de radio par satellite "Ici Musique" Franco de Sirius XM Radio en 2018. Existant aussi en version anglaise, sa version en français se voit aussi très populaire sur Spotify. La chanson est populaire dans la ville du même nom à l'Île-du-Prince-Édouard5,6. Son succès lui vaut une mention à la Chambre des communes du Canada par le député Sean Casey en septembre 2018 7.
La chanson "Charlottetown" se trouve sur son album "THE GRAND VOYAGE", disque de 16 chansons, composé lorsqu'elle est en mer, qui sort en 2017 8.
En 2019, elle se trouve en mer sur la Seabourn Cruise Line, partie du spectacle An Evening with Tim Ric
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- 13 mars 2021 à 11:25:11
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