Topic du réalisme racial
Supprimé- 1
Je vais démystifier sous vos yeux ébahis le plus grand dogme cosmopolite en vogue depuis plus de 40 ans : l'inexistence des races humaines. Souvent dissimulé derrière un verni scientifique, il s'agit en réalité d'un choix idéologique, je vais vous montrer que les trois arguments qui reviennent en boucle ne résistent pas à l'analyse approfondie.
1/Le sophisme de Lewontin
C'est celui qui revient le plus souvent chez les PNJ demi-habiles, vous l'avez sans-doute déjà rencontré. Il dénote une incompétence profonde en statistique et une vision périmée de la génétique.
Affirmation très contre-intuitive s'il en est car on est tous capables de différencier des pygmées de japonais et de les catégoriser sans erreur. On peut même les identifier par leur microbiote de leur salive ou en scrutant leur cerveau à l'IRM.
Le simple fait que cette affirmation vaut également pour les chiens devrait nous alerter sur son manque de pertinence (seule 30% de la variation génétique au sens de Lewontin se situe entre les races de chiens). https://t.co/YWD33vzDY7?amp=1
Elle se trouve dans l'ambiguité de la notion de distance génétique. En effet, en mathématiques comme en génétique, il existe plusieurs façons très différentes de mesurer les distances.
La distance qu'utilise Lewontin pour réfuter le concept de race n'est pas pertinente : les généticiens ont abandonné l'approche univariante ne s'attachant qu'à analyser une petite somme de gènes rattachée à un seul locus, pour privilégier des analyses polygéniques et multi-locales. Or, Lewontin est resté sur cette approche simpliste et univariante, c'est une erreur statistique qui oblitère les effets d'agrégation des variables inter-groupes dans les fréquences alléliques situées dans une plus grande quantité de loci.
On sent que son approche est beaucoup trop univariante pour être valide quand il pose cette mauvaise question : "À quel point les fréquences des groupes sanguins A, B, AB et O doivent différer pour déclarer que que deux populations locales sont des "races" séparées ?".
La question ne se pose pas dans ces termes : personne n'a jamais prétendu que les races devaient se distinguer les unes des autres par une seule grosse différence exceptionnelle dans un seul trait, mais plutôt par la combinaison d'un nombre de différences légères ou modérées dans une multiplicité de traits. Ainsi, une distance polyvariante est plus appropriée que la distance utilisée par Lewontin. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12879450/
Contre Lewontin, a fortiori, les analyses montrent que si elles sont menées à un degré polygénique et multi-local, alors, observe Whiterspoon et al en 2007, à la question : "à quelle fréquence apparaît il qu'une paire d'individus d'une population soit génétiquement plus dissemblable que deux individus choisis de deux différentes populations ?" il s'agit de répondre : jamais. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1893020/
The number of loci analyzed is the most critical variable: with 100 polymorphisms, accurate classification is possible, but ω remains sizable, even when using populations as distinct as sub-Saharan Africans and Europeans. Phenotypes controlled by a dozen or fewer loci can therefore be expected to show substantial overlap between human populations. This provides empirical justification for caution when using population labels in biomedical settings, with broad implications for personalized medicine, pharmacogenetics, and the meaning of race.
2/ L'argument du continuum
Il se formule ainsi :
"Toute catégorisation raciale est arbitraire car il y a un continuum entre chaque race et à l'intérieur des races."
Une variante étant "et les métisses ils sont de quelle race gros malin ?"
Certes il y a un continuum, mais le gradiant de différentiacion génétique n'est pas réparti de manière homogène, il est infiniment plus fort au niveau des barrières naturelles telles que le Sahara, la chaîne hymalayenne, ouralienne ou les Océans.
Notez bien que l'échelle des taux de migration de la carte ci-dessus est logarithmique, la barrière que constitue le Sahara est extrêmement imperméable.
https://www.researchgate.net/publication/337648141_Genetic_landscapes_reveal_how_human_genetic_diversity_aligns_with_geography
L'Europe quant à elle est une des régions les plus homogènes à l'échelle du monde.
Ansi, on peut parfaitement parler de race selon la définition qu'en donne Jacques Ruffié en 1982
Une race est donc formée par des population qui partagent entre elles des échanges génétiques plus massifs qu'avec les autres groupes raciaux. Elle constitue une super population au sein de laquelle les échanges ont un caractère préférentiel. C'est pourquoi la race coïncide fréquemment avec une zone géographique bien délimitée [...] c'est un isolat partiel mais de plus grande taille qu'une population.
On ne peut donc pas mettre sur le même plan le synœcisme celto-romano-germanique à la naissance de la France et le métissage actuel, ils n'ont rien à voir en terme de distance génétique.
On ne perçoit pas aussi bien cela si on se contente de parler de populations, ce terme nivelle les différences génétiques.
Ainsi, on peut dire que les siciliens et les suèdois sont de même race caucasoïde comme on peut dire que le bordeaux et le pourpe sont tous deux des couleurs rouges. Le continuum n'a jamais empêché personne de parler de couleur, il ne doit pas non-plus nous empêcher de parler de race.
Notez que ces antiracistes si pointilleux lorsqu'il est question de races (focalisation sur l'abitraire des délimitations, comparaison des diversités intragroupes et intergroupes...) sont prompts à oublier leurs exigences sémantiques délirantes lorsqu'ils parlent de classes sociales, de dominants, de dominés, d'ethnies... lors même que tous ces termes souffrent des mêmes imperfections sémantiques ! Et pour cause, ses limites floues se retrouvent partout, dans la définition de l'espèce ou même l'individu, car c'est une imperfection inhérente au langage !
Toute classification comporte une part d'arbitraire, ne serait-ce que classifier ces points par exemple.
On pourrait former une classe pour chaque point tout comme l'on peut inventer un nom de couleur pour chaque longueur d'onde (avec des noms quelques peu barbares à cause de l'indénombrabilité des réels ).
L'on peut ainsi concevoir un langage avec des délimitations objectives, mais il sera totalement inopérant si le but est de distinguer chaque chose de chaque autre afin de les étudier pour ce qu'elles sont proprement.
3/L'euphémisation des différences raciales par la réduction à la couleur de peau
On le retrouve dans des phrases du type
"En quoi la couleur de peau est importante ?"
" La couleur de peau n'a rien à voir avec la psychologie / le comportement / la physiologie /... "
Alors là encore on se demande s'ils ont les yeux en face des trous car les différences anatomiques sautent aux yeux entre les caucasoïdes et les congoïdes albinos par exemple
Les différences raciales ne se limitent évidement pas à la pigmentation de la peau. Les scientifiques ont étudié le niveau de différenciation génétique entre les races.
Le système nerveux représente le plus gros de la variation au sein des populations humaines, largement plus que la pigmentation.
https://bmcevolbiol.biomedcentral.com/articles/10.1186/1471-2148-11-16
Pour enfoncer le clou je vais reprendre ce à quoi j'ai fait allusion dans ma réponse naïve au premier sophisme.
À savoir qu'on peut identifier la race d'une personne avec une précision raisonnable en analysant seulement le microbiote présent dans sa salive https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24194878
Oral infections have a strong ethnic predilection; suggesting that ethnicity is a critical determinant of oral microbial colonization. [...] The classifier identified African Americans with a 100% sensitivity and 74% specificity and Caucasians with a 50% sensitivity and 91% specificity. The data demonstrates a significant association between ethnic affiliation and the composition of the oral microbiome; to the extent that these microbial signatures appear to be capable of discriminating between ethnicities.
De même, on peut identifier la race d'une personne en scrutant seulement son IRM.
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/440776v1
In this work we predicted genetic ancestry from rs-fMRI connectivity data at very high performance (area under the ROC curve of 0.93). Thereby, we demonstrated that genetic ancestry is encoded in the functional connectivity pattern of the brain at rest.
En particulier, le cortex cérébral forme des repliements (gyrus et sillons) spécifiques à chaque ascendance racial
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0960982215006715
In our group’s previous study, we found that area measures of cortical surface and total brain volumes of individuals of European descent in the United States correlate significantly with their ancestral geographic locations in Europe [9]. Here, we demonstrate that the three-dimensional geometry of cortical surface is highly predictive of individuals’ genetic ancestry in West Africa, Europe, East Asia, and America, even though their genetic background has been shaped by multiple waves of migratory and admixture events.
[...]
Besides explaining more ancestry variance than other brain imaging measurements, the 3D geometry of the cortical surface further characterizes distinct regional patterns in the folding and gyrification of the human brain associated with each ancestral lineage.
Cette petite animation montre comment évolue le cerveau quand on passe d'une race à une autre :
https://ars.els-cdn.com/content/image/1-s2.0-S0960982215006715-mmc6.mp4
L'étude suivante compare des cerveaux de singapouriens à des cerveaux d'americains blancs du même âge
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3361742/?fbclid=IwAR11slZlfM1GSEUnri10f6XZz6SFcPhCu6XEDoaWgPVkkm7sYvnCfFCG3CA#!po=46.7742
We found robust differences in cortical thickness in polymodal frontal and parietal association cortex between cognitively well-matched young adults who differed in ethnicity and culture using two semiautomated brain morphometric techniques. We have adopted a conservative interpretation of these data and suggest that the findings could have arisen from cultural (external) as well as genetic (inherent) influences that ultimately could be interrelated, meriting further investigation.
Le cortex le plus influencé par la génétique est le cortex associatif, qui désigne les régions du cerveau impliquées dans des opérations complexes de traitement de l'information liées à l'intégration multisensorielle ; la mémoire ; le langage ; la planification, etc.
Cette observation concorde avec le fait que l'intelligence, qui peut être reliée à l'épaisseur corticale dans les lobes frontaux et pariétaux (qui sont les deux principaux représentants du cortex associatif), est hautement héritable.
Interestingly, cortex with the most complex laminar architecture—association cortex—appears to be under the strongest influence of genetic factors. This is congruent with the related observation that intelligence has a high degree of heritability (Hulshoff Pol et al., 2006; Posthuma et al., 2002), which may be in turn captured in the form of variation in cortical thickness within the frontal and parietal lobes (Narr et al., 2007) of persons belonging to a particular population.
Je pourrais continuer longtemps à disserter sur les différences de forme et de capacité crâniennes
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2668913/#b101
Sur ce point les falsifications de Gould sont édifiantes https://www.nytimes.com/2011/06/14/science/14skull.html
Et surtout sur les différences de trait d'histoire de vie comme les différences de temps de gestation
https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-00623929/document&ved=2ahUKEwjD44GAq5PqAhX-BGMBHagqCQwQFjABegQIDBAH&usg=AOvVaw1se4dVAlnOoZAROWWKAX0g de maturation dentaire plus rapide chez les noirs https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ajpa.20490 ou de puberté plus précoce d'un an chez les filles noires par rapport aux filles blanches https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.fertstert.org/article/S0015-0282(09)03967-3/pdf&ved=2ahUKEwiYta_a2JPqAhWtx4UKHRblCX84ChAWMAN6BAgIEAE&usg=AOvVaw0W7DoxCGBTdqhMFBuMrgK7
Ce sont des marqueurs fondamentaux pour repérer les stratégies évolutives des différentes races sur le spectre r/K.
On s'aperçoit ainsi qu'on peut parfaitement parler de race, selon cette définition qu'en donne l'académie française, qui recoupe finalement la définition de Ruffié :
Chacun des grands groupes entre lesquels on répartit superficiellement l’espèce humaine d’après les caractères physiques distinctifs qui se sont maintenus ou sont apparus chez les uns et les autres, du fait de leur isolement géographique pendant des périodes prolongées. Un homme de race noire, de race blanche, de race jaune. Le mélange, le métissage des races. S’emploie, abusivement, dans le sens d’Ethnie.
Même si vous avez pu voir au cours de cette partie que cette répartition est loin d'être superficielle.
En conclusion, la négation des races humaines est purement idéologique.
À cela doit s'ajouter des procédés d'intimidation dont même David Reich, le plus grand généticien des populations au monde, a été victime : il a eu le droit à une pétition de 67 matons de panurge universitaires contre lui pour avoir parlé trop ouvertement des différences raciales.
https://www.buzzfeednews.com/amphtml/bfopinion/race-genetics-david-reich?__twitter_impression=true
Les preuves du Grand Remplacement :
Si par "théorie du grand remplacement", on parle de l'idée selon laquelle, à moins que notre politique d'immigration ou que les données démographiques de base ne changent complètement, les français d'origine européenne vont à terme devenir minoritaires, alors il ne fait aucun doute que cette théorie est vraie et j'ai vraiment du mal à comprendre comment autant de gens qui sont a priori intelligents peuvent nier cela en dépit du bon sens et souvent (mais pas toujours) de bonne foi.
Chiffres de l'INSEE sur l'origine des nouveaux nés en France
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381382
“L’Archipel français” de Jérôme Fourquet (directeur du département « opinion et stratégies d’entreprise » de l'IFOP) à partir du fichier des prénoms de l’INSEE
Le Grand Remplacement n'est pas une théorie mais un constat puisque depuis les cinquantes dernières années, la population d'origine extra-européenne
s'accroit plus rapidement que la population européenne sous le double effet des flux migratoires et d'une fécondité plus importante et que le rythme de cet accroissement n'a aucune raison de ralentir, on a même de bonnes raisons de croire que ce rythme va s'accélérer lors des décennies à venir.
En effet, les projections démographiques de l'ONU pour l'Afrique sont constament revues à la hausse
Les projections démographiques pour l’Afrique déconcertent les analystes. Avec une fécondité toujours élevée, le continent ne suit aucun schéma de transition connu. L’augmentation exceptionnelle de sa population pourrait annihiler les effets bénéfiques attendus des bons taux de croissance enregistrés. Etrangement, cette situation d’urgence ne semble susciter aucune réaction d’envergure.
https://www.monde-diplomatique.fr/2015/11/LERIDON/54200
Faut-il avoir peur de l'Afrique ? Répliques du 17 mars 2018, invités : Stephen Smith et Serge Michaïlof
https://www.franceculture.fr/emissions/repliques/faut-il-avoir-peur-de-lafrique
On a donc 2 spécialistes de l'Afrique parfaitement démocrates et modérés (Stephen Smith et Serge Michaïlof) qui expliquent que :
-L'Europe va s'africaniser en profondeur avec de graves troubles politiques à la clef (validation explicite du Grand Remplacement).
-L'aide au développement ne sert strictement à rien et aggrave le phénomène migratoire (les candidats à l'immigration étant loin d'être les plus pauvres).
-L'urbanisation rapide et chaotique de l'Afrique est tout sauf synonyme d'enrichissement ou de développement, elle fonctionne aussi comme pompe aspirante vers l'Occident.
-Les politiciens locaux sont, de leur propre aveu, incapables de réguler l'explosion démographique : "Les présidents africains sont tels des piquebœufs juchés sur le dos d'un rhinocéros (le peuple)".
-La polygamie et l'augmentation de l'espérance de vie aggravent le phénomène migratoire car les vieux riches polygames font monter le prix des dots, générant un nombre croissant de jeunes mâles célibataires désoeuvrés.
-L'assimilation des populations extra-européennes est devenue impossible à cause de leur nombre, de nos systèmes éducatifs défaillants, du ressentiment post-colonial (dès la seconde génération) et des technologies qui renforcent le communautarisme sur place et les liens avec le bled (réseaux sociaux, télé par satellite, Western Union).
-L'Etat-providence colossal des pays européens (10% de la population mondiale pour 50% des dépenses sociales mondiales) et l'absence d'hostilité franche des autochtones font de nos pays la destination prioritaire pour les décennies à venir.
Serge Michaïlof, chercheur à l'Iris, a été l'un des directeurs de la Banque mondiale et le directeur des opérations de l'Agence française de développement. Il a publié en 2015 chez Fayard Africanistan : l'Afrique en crise va-t-elle se retrouver dans nos banlieues ?.
Stephen Smith est américain et a été journaliste spécialisé sur l'Afrique pour Libération et Le Monde de 1986 à 2005. Actuellement il enseigne les études africaines à l'université de Duke (USA) Il vient de publier chez Grasset La ruée vers l’Europe : la jeune Afrique en route vers le vieux continent.
Le 09 mars 2021 à 11:26:10 FragiLuXur a écrit :
Résumé ?
Il y a des races chez l'homme, si on considère que race = subdivision de l'espèce
Si tu prouves l'existence de "race" (mot inexistant dans la taxonomie) chez l'Homme, ça nous rapporteras quoi ?
Le 09 mars 2021 à 11:26:10 FragiLuXur a écrit :
Résumé ?
La négation des races humaines est un revirement idéologique causé par la défaite du régime nazi, il
repose essentiellement sur trois sophismes : Le sophisme de Lewontin, sophisme du continuum, réduction à la couleur de peau.
Le 09 mars 2021 à 11:27:48 jahtaryy a écrit :
Du coup c'est quoi l’intérêt ?
Si tu prouves l'existence de "race" (mot inexistant dans la taxonomie) chez l'Homme, ça nous rapporteras quoi ?
ça permet de faire sauter un verrou important du cosmopolitiquement correct et lutter plus radicalement contre le grand remplacement.
Permettez-moi de vous présenter un facteur génétique expliquant en partie la surcriminalité des congoïdes
En l'état actuel de nos connaissances, nous savons qu'il existe un gène qui joue un rôle dans le taux élevé de criminalité des Afro-Américains, le gène de la monoamine oxydase A (MAO-A). Ce gène produit une enzyme du même nom : l'enzyme MAOA qui décompose une classe de neurotransmetteurs appelés mono-amines, comme la dopamine, la sérotonine ou encore la noradrénaline; ceux-ci sont bien connus pour avoir un effet sur le comportement.
Certaines versions du gène MAOA conduisent à abaisser les niveaux de l'enzyme MAOA et, par conséquent, à augmenter l'activité du mono-amine dans le cerveau puisqu'il est décomposé plus lentement.
La différence moléculaire entre les différentes versions du gène MAOA réside dans le nombre de fois qu'une certaine section de sa région promotrice est répétée. Trois allèles répétés (3R) conduisent à des niveaux inférieurs à la moyenne de l'enzyme MAOA, deux allèles répétés (2R) conduisent à des niveaux encore plus bas de l'enzyme.
À partir des années 1990, les chercheurs ont commencé à soupçonner que la variation des niveaux de MAOA pourrait être liée à des traits comme l'agression ou le comportement criminel. Cette suspicion est survenue à la suite d'une étude sur une famille allemande qui portait une mutation rare conduisant à des niveaux extrêmement faibles de l'enzyme MAOA. Cette famille avait des violeurs, des incendiaires et d'autres criminels violents en son sein : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1682278/pdf/ajhg00064-0013.pdf
Plus tard, les généticiens ont introduit chez les rats une version artificielle du gène MAOA qui conduit à une faible production de l'enzyme MAOA. Il a été constaté que les rats agissaient de façon beaucoup plus violente que la normale :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17441000/
En 2014, Beaver et son équipe ont découvert que les hommes afro-américains porteurs de 2R étaient plus susceptibles d'être impliqués dans des actes d'une violence extrême - coups de feu et coups de couteau - que les hommes afro-américains avec des allèles MAOA à plus forte répétition (3R, 4R, 5R). Ce gène n'est pas réparti également entre les races. Dans la base de données Add Health, 5,5% des hommes afro-américains, 0,1% des hommes de race blanche et 0,00067% des hommes asiatiques sont porteurs de 2R.
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0191886912004047
Nous devons préserver l'existence notre peuple et assurer un avenir pour nos enfants car la beauté de la femme européenne ne doit pas disparaître de la terre, car nous sommes sur cette Terre pour donner à notre peuple la vie éternelle.
https://youtu.be/k05uQZym4QY https://youtu.be/LlGRZrzgO5k
Nous n'avons pas à rougir de penser ce que nous pensons car tous les peuples de la Terre ont depuis toujours été attaché à leur survivance ethno-culturelle, jusqu'à l'avènement des boomers qui ne voient rien au-delà de leur existence individuelle consumériste insignifiante. Imagine-t-on un seul instant que les indiens d'amérique se seraient laissés remplacer aussi passivement ? https://youtu.be/_ytJG8X6obk
Si vous vous sentez seuls, sentez-en vous le pouls des millénaires, songez que tous vos ancêtres sont derrière vous et que vos descendants seront reconnaissants de votre combat car la réalité anthropologique rattrapera tôt ou tard la posthumanité, ces mutants vivent dans un monde factice qui n'en a plus pour longtemps.
Le 09 mars 2021 à 11:31:40 Volk88 a écrit :
Le 09 mars 2021 à 11:27:48 jahtaryy a écrit :
Du coup c'est quoi l’intérêt ?
Si tu prouves l'existence de "race" (mot inexistant dans la taxonomie) chez l'Homme, ça nous rapporteras quoi ?ça permet de faire sauter un verrou important du cosmopolitiquement correct et lutter plus radicalement contre le grand remplacement.
Donc c'est bien ça
A part le communautarisme et créer plus de tension racial, ça ne sert pas à grand choses
Le 09 mars 2021 à 11:38:06 jahtaryy a écrit :
Le 09 mars 2021 à 11:31:40 Volk88 a écrit :
Le 09 mars 2021 à 11:27:48 jahtaryy a écrit :
Du coup c'est quoi l’intérêt ?
Si tu prouves l'existence de "race" (mot inexistant dans la taxonomie) chez l'Homme, ça nous rapporteras quoi ?ça permet de faire sauter un verrou important du cosmopolitiquement correct et lutter plus radicalement contre le grand remplacement.
Donc c'est bien ça
A part le communautarisme et créer plus de tension racial, ça ne sert pas à grand choses
Le meilleur moyen d'éviter les tensions raciales, c'est par la réémigration car nous savons depuis Aristote que les sociétés multiculturelles sont multiconflictuelles et les sociétés multiraciales multiracistes.
Est aussi facteur de sédition l’absence de communauté ethnique tant que les citoyens n’en sont pas arrivés à respirer d’un même souffle. Car de même qu’une cité ne se forme pas à partir d’une masse de gens pris au hasard, de même ne se forme-t-elle pas dans n’importe quel espace de temps. C’est pourquoi parmi ceux qui ont, jusqu’à présent, accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux ou pour les agréger à la cité, la plupart ont connu des séditions.
La diversité détruit l'altruisme :
Il n’y a plus en effet, en sus de règles minimales de coexistence et des appareils policiers et judiciaires qui s’emploient avec plus ou moins de succès à les faire respecter, que le commerce pour transcender l’hétérogénéité des modes de vie en un même lieu. Le commandement est “Enchantez vous de la diversité : vous êtes tous un dans l’économie de marché."
Robert D. Putnam, professeur de sciences politiques à Harvard, a conduit une étude de près de dix ans sur la façon dont la diversité ethnique affectait la confiance entre les membres d'une société. Il a pour cela interrogé 26 200 personnes dans 41 communautés américaines. Il constate que, dans un premier temps, la diversification ethnique et culturelle d'une société a tendance à se traduire par une fragilisation des liens de solidarité traditionnels. plus la diversité d’une communauté est grande, moins les gens se font confiance, moins ils donnent la charité et travaillent sur des projets pour améliorer la communauté, et moins ils votent. Dans les communautés censées être enrichies par la diversité, les voisins se faisaient confiance à peu près moitié moins qu’ils ne le faisaient dans les communautés qui restaient homogènes et blanches.
Putnam a défini ce déclin de l’engagement communautaire ou public comme un déclin du « capital social ». Par « capital social », Putnam entendait tous ces « réseaux sociaux » par lesquels les gens font des choses les uns pour les autres, s’engagent dans des actions collectives-publiques, telles que « dans des réseaux d’amitié, de quartiers, d’églises, d’écoles, de clubs de bridge, d’associations civiques et même de bars ». Selon Putnam, ces réseaux sociaux ne font pas seulement la promotion de « sentiments chaleureux et affectifs, mais encouragent une grande variété d’avantages communautaires spécifiques qui découlent de la confiance, de la réciprocité, de l’information et de la coopération » qui est intrinsèque à ces réseaux.
En sondant les citoyens de 41 communautés américaines sur toute une gamme de questions concernant leur réseau social, Putnam a soutenu que les États-Unis avaient connu une baisse substantielle du capital social dans les communautés qui étaient diversifiées. Les quartiers des collectivités moins diversifiées étaient plus sûrs ; les gens participaient davantage aux projets communautaires et un plus grand nombre de citoyens ont voté. En conclusion, Putnam a fait remarquer que les membres de communautés plus diversifiées ont tendance
à se méfier de leurs voisins, quelle que soit la couleur de leur peau, de se retirer même de leurs amis proches, de s’attendre au pire de leur communauté et de ses dirigeants, de faire moins de bénévolat, de donner moins à la charité et de travailler moins souvent sur des projets communautaires, de s’inscrire pour voter moins souvent, de faire campagne pour la réforme sociale, mais d’avoir moins confiance qu’ils peuvent réellement faire une différence, et de se blottir malheureusement devant la télévision.
Selon l'éthologue Frank Salter, les sociétés relativement homogènes investissent davantage dans les biens publics, ce qui indique un niveau plus élevé d'altruisme public. Par exemple, le degré d'homogénéité ethnique est en corrélation avec la part du gouvernement dans le produit intérieur brut ainsi que la richesse moyenne des citoyens. Des études de cas aux États-Unis constatent que les sociétés multiethniques sont moins charitables et moins aptes à coopérer pour développer l'infrastructure publique. Une étude récente de plusieurs villes portant sur les dépenses municipales en biens publics aux États-Unis a révélé que les villes ethniquement ou racialement diverses dépensent une partie plus faible de leur budget et une somme plus petite par habitant dans les services publics que les villes plus homogènes.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Multiculturalisme#Critiques
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sélection_de_groupe#Le_postdarwinisme
Contrairement au modèle sans division en groupes, la variance propulse la croissance de l'altruisme tant que le gain en altruisme envers le groupe compense les pertes individuelles. Par conséquent, la composante intergroupes est plus importante si la disparité génétique entre les groupes est élevée ; cette conséquence est comparable à la sélection de parentèle et celle-ci peut donc être considérée comme un théorème de la sélection de groupe de Price.
Par conséquent, le mécanisme d'évolution se stabilise si tous les membres du groupe possèdent le même niveau d'altruisme (variance nulle) ou que le gain en altruisme envers le groupe compense parfaitement les pertes individuelles (a = b). Si au lieu de l'altruisme nous avions étudié la malveillance entre les membres des différents groupes, nous serions arrivé à une conclusion semblable : le mécanisme d'évolution se stabilise si tous les membres du groupe possèdent le même niveau de malveillance envers les membres des autres groupes ou que le gain en malveillance envers les autres groupes compense parfaitement les pertes individuelles.
Implications de l’équation de Price
L’équation de Price ébranla profondément la foi d’Hamilton en son propre modèle de la sélection de parentèle, celui-ci n’étant plus nécessaire pour expliquer l’apparition de la socialisation. De nos jours, on considère généralement que les deux mécanismes sont impliqués à des niveaux distincts de l’apparition des comportements sociaux.L’équation de Price permet de prédire l’existence de beaucoup de phénomènes naturels dont l’origine était jusqu’alors mal comprise. Il s’agit de la première théorie de la sélection de groupe permettant de tirer des conclusions scientifiquement intéressantes :
De la même façon que la théorie d’Hamilton permet de prédire la sélection de mécanismes de reconnaissance des apparentés, l’équation de Price permet de prédire la sélection de mécanismes de reconnaissance des membres du groupe.
La sélection naturelle devrait sélectionner des comportements altruistes modulés par le risque que court le groupe pour sa survie ou pour réaliser un gain en ressources (plus b est grand plus a l’est). Les comportements altruistes devraient donc êtres plus intenses lors de crises écologiques ou lors de compétitions intergroupes.Symétriquement, la sélection naturelle devrait sélectionner des comportements malveillants envers les autres groupes modulés par le risque que court le groupe pour sa survie ou pour réaliser un gain en ressources. Les comportements malveillants devraient donc êtres plus intenses lors de crises écologiques ou lors de compétitions intergroupes ou lorsque le gain est facile à obtenir.
La sélection naturelle devrait sélectionner des comportements permettant de punir les tricheurs, c’est-à-dire, les membres profitant de l’altruisme ou de la malveillance du groupe sans y participer (permet de maintenir la variance d’un comportement altruiste ou malveillant nulle).
Donc en résumant :
- Dans les sociétés multiethniques, les faits prouvent que l'investissement dans les biens communs est moindre.
- La théorie des jeux appliquée à l'évolution tend à montrer que les groupes sont positivement sélectionnés quand ils se montrent malveillant avec les autres groupes et plus particulièrement quand le gain communautaire est facile.
Je pense qu'il est inutile de crier au racisme. Le racisme est la conséquence logique et immuable des dynamiques de groupe pour se maintenir.
Pour les "minorités" dans un contexte de gain facile (société occidentale qui se décompose pour leur profit) la conséquence logique et immuable sera pour ses groupes d'augmenter le malveillance envers les autres et particulièrement les autochtones auquel le bénéfice agression gain est très positif à cause de la mollesse de leur réponse communautaire. Les ethnies qui chercheront à profiter du système développeront nécessairement des comportements agressifs envers la population locale.
Ce n'est donc pas une question d'assimilation ou de patriotisme mais simplement de rapport bénéfice gain. Les étrangers en terrain occidental se comporteront nécessairement de façon agressive envers les autochtones car c'est ce comportement là qui bénéficie au groupe au détriment de la population générale.
J'ai identifié trois attitudes possibles face au discours antiraciste dominant, les deux premières nous condamnent au statut de paillasson, seule la dernière est viable sur le long terme.
L'ethnomasochiste :
- Les blancs ont inventé le racisme scientifique, pratiqué l'esclavage, la colonisation et le génocide à une échelle inédite, ils sont méchants. Leur domination actuelle est le fruit de leur crimes passés, le monde se porterait mieux sans eux.
Réponse du cuck :
- Certes mais ces pratique étaient universelles jusqu'à ce que nous y ayons mis fin. On a aussi inventé les droits de l'homme, le droit d'asile, le regroupement familial et l'universalisme, on est quand même gentils. En outre, le racisme anti-blanc existe donc nous sommes aussi des victimes. Ayez un peu pitié de nous je vous en prie
Réponse du chofchof nietzschéen :
- Oui c'est vrai nous sommes un peuple violent et dominateur, c'est ce qui nous a permis de dominer le monde depuis 5 000 ans et ça marchait plutôt bien jusqu'à ce qu'on nous empoisonne l'esprit en nous culpabilisant avec leur morale d'esclave.
https://youtu.be/XAaPkiiUTeI?t=1m47s
https://www.courrierinternational.com/article/histoire-le-peuple-le-plus-meurtrier-de-tous-les-temps
Imagine-t-on des Mongols regretter Genghis Khan ? Des Ouzbeks se repentir pour Tamerlan ? Les Turcs pour Soliman ? Les Zoulous pour Shaka, les Indiens Ashoka, les Maliens Mansa Moussa etc... ?
Non, bien entendu car tous les peuples au monde sont fiers d'avoir dominé d'autres peuples, bâti des empires par leurs hauts faits d'armes et apporté leurs mœurs aux vaincus, tous à l'exception des Blancs.
Oui, nous avons colonisé avec quelques milliers de soldats des continents entiers situés à l'autre bout du monde, devrait-on pour autant avoir honte d'avoir été les plus forts ? Marcher les pieds en dedans et la tête baissée, renier notre histoire et nos grands hommes pour permettre l'avénement de l'utopie postraciale ?
Comment croire en cette réconciliation universelle lorsqu'on explique à des peuples qui ne connaissaient ni l'écriture, ni la roue il y a à peine un siècle à quel point ils sont géniaux et que vous êtes l'unique responsable de leur débilité ?
Non vous avez compris que vos enfants vivront un enfer, que l'homme blanc sera l'effigie à brûler.
Nous devons alors nous défaire dès à présent de ce logiciel inadapté, la race blanche joue sa survie sur sa capacité à changer radicalement de paradigme.
Quand s’affrontent les droits inconciliables de deux peuples, il n’y a pas de cause juste et injuste. Il n’y a que la guerre, arbitre impartial et froid pour décider entre deux forces, deux logiques, deux mondes, lequel va l’emporter.
Il nous faut recouvrir l'épée magique dont parlait Ernst Jünger pour dominer à nouveau.
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- Volk88
- Date de création
- 9 mars 2021 à 11:21:04
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- 9 mars 2021 à 12:11:39
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