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Salut les kheys je suis passionné d'aviation, j'aimerais réellement pouvoir lire cet article en entier...
Un bon khey possible pour me l'envoyer ?
Merci d'avance :oui:

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Le message doit se composer au maximum de 16000 caractères. :hap:

Le 02 mars 2021 à 09:50:34 AntoinePlaie a écrit :
Le message doit se composer au maximum de 16000 caractères. :hap:

Tu peux l'envoyer en deux parties stp ? :cimer:

« Le MH370 a envoyé un message signifiant qu'il se désintégrait »
ENTRETIEN. La journaliste Florence de Changy dynamite la version officielle sur le MH370 et s'interroge sur la présence d’avions militaires américains.

De notre correspondant en Asie, Jérémy André (Hongkong)
Publié le 01/03/2021 à 07h00 - Modifié le 01/03/2021 à 20h13
La Disparition (Les Arènes, sortie le 4 mars en France) est un livre choc, un pavé de plus de 500 pages qui donne le tournis. C'est le deuxième de Florence de Changy sur le MH370. La correspondante du Monde et de RFI à Hongkong, passée par la Nouvelle-Zélande, l'Australie et la Malaisie, enquête inlassablement depuis sept ans sur le drame de cet avion de la Malaysia Airlines « perdu » au-dessus de la mer de Chine du Sud dans la nuit du 8 mars 2014. L'ouvrage se dévore, racontant avec une infinité de détails et beaucoup d'humanité tout ce que l'on sait de la mort énigmatique de 239 personnes dans cette catastrophe aérienne. Il s'ouvre sur leurs visages captés à l'embarquement par les caméras de sécurité, puis immerge le lecteur dans les tourments des proches brisés et les méandres des personnages intrigants et des sources étrangement disparues qui gravitent autour de l'énigme du MH370.

À LIRE AUSSIMH370 : enquête sur le plus grand mystère de l'histoire de l'aviation civile

L'enquête navigue aussi dans le labyrinthe technique des documents, données et débats de ce qui est désormais qualifié de « plus grand mystère de l'aviation ». Et propose une démonstration convaincante de l'invraisemblance et de la fragilité de la version officielle. Rien ne prouve ni n'expliquerait en réalité que le vol MH370 Kuala Lumpur-Pékin ait été détourné de sa course pour finir dans l'océan Indien Sud. Cette hypothèse repose en effet sur des accusations sans fondement contre le pilote, des données obscures, incohérentes, invérifiables et des débris aux expertises ambigües. En outre, les rapports d'enquête contiennent carrément des éléments jamais expliqués qui contredisent ce virage à 180 °.

Plus intriguant encore, Florence de Changy s'interroge sur deux avions-radars américains AWACS, aux puissantes capacités de brouillage, qui volaient dans la zone cette nuit-là. Et une cargaison d'électronique non identifiée, qui a été escortée et chargée dans la soute du MH370 en sautant les contrôles obligatoires. Quelle conclusion en tirer ? Difficile d'aller au-delà en l'absence de sources. Mais l'autrice a l'audace de présenter, en conclusion, l'hypothèse d'un scénario où le MH370 aurait été abattu, qui concorde de manière frappante avec nombre d'éléments rendus publics avant que ne soit dictée à la presse la version officielle du détournement dans l'océan Indien, et supposerait donc une opération de dissimulation et un scandale d'une ampleur inédite.

Le Point : Que sait-on vraiment sur la disparition du MH370 ?

Florence de Changy : Le 8 mars 2014, le MH370 a décollé à minuit 41 de Kuala Lumpur, est monté pendant 25 minutes, et à 1 h 19, a quitté l'espace aérien malaisien, son commandant de bord saluant la tour par le désormais célèbre : « Good Night Malaysian 370. » Vers 1 h 20-21, au niveau de la balise baptisée Igari (des points virtuels qui marquent la carte du ciel), au-dessus du golfe de Thaïlande, l'avion disparaît progressivement des radars de la région. Mais d'après les rapports d'enquête, il aurait encore été visible sur un radar primaire du Vietnam au point BITOD, 37 miles nautiques plus loin, toujours sur sa course vers le Nord-Est. Ensuite, le rapport officiel rapporte que son Satcom, son satellite de communication, se serait reconnecté à 2 h 25. Seuls ces éléments sont absolument certains.

Je me suis rendu compte que cette vérité officielle n’était étayée par aucune preuve satisfaisante.
Florence de Changy

La version officielle actuelle affirme pourtant que le MH370 a viré de bord en sortant de l'espace aérien malaisien pour se diriger vers l'océan Indien. Ce changement de trajectoire n'est-il pas absolument attesté ?

Selon la version officielle, le MH370 aurait coupé toute communication avec l'extérieur et aurait fait un demi-tour juste après Igari. Et après un complexe trajet au-dessus de la Malaisie et du détroit de Malacca, il aurait contourné Sumatra puis volé tout droit jusqu'à une zone du sud de l'océan Indien, où il se serait abîmé à 8 h 20 faute de carburant. Je me suis rendu compte que cette vérité officielle n'était étayée par aucune preuve satisfaisante. Tout d'abord, l'explication de la coupure des communications est incohérente. On a entendu dire que quelqu'un de très doué au sein du cockpit avait éteint d'une part le système de communication Acars, une opération qui n'est pas enseignée aux pilotes, car aucune situation ne la justifie, et d'autre part le transpondeur, ce qui aurait dû provoquer une disparition immédiate de l'avion sur les écrans radars secondaires des tours de contrôle. Ceux-ci sont alimentés par les données envoyées par l'avion, contrairement aux radars primaires qui en captent l'écho radar brut. Or le MH370 a mis près de 40 secondes à disparaître, progressivement. Ces détails sont dans le rapport officiel et ils sont confirmés par des interviews des contrôleurs aériens auxquels j'ai eu accès.

À LIRE AUSSIMH370 : « Il faut refuser l'absurdité de la version officielle »

Ensuite, les expertises ont montré que le fameux virage que l'avion est censé avoir fait après le point Igari dépassait tout simplement les capacités d'un Boeing 777, le modèle du MH370. Quand les enquêteurs ont essayé de le reproduire (sur simulateur), ils y sont à peine parvenus et avec des conditions très particulières. Après cela, les données radar sur sa route théorique au-dessus de la Malaisie montrent des oscillations extrêmes que même un orage violent aurait du mal à provoquer. Et de toute façon, le ciel était calme. Pour étayer cette trajectoire, seules les données de radars primaires ont été rendues publiques. Les images brutes des radars de la région n'ont pas été partagées. Pourquoi ? Ce serait beaucoup plus probant. Il est aussi étonnant que le MH370, qui est alors une énorme cible non identifiée sur les radars primaires, ait soi-disant survolé la base aérienne militaire de Butterworth à Penang, sous commandement australien qui n'a même pas remarqué cet avion. Puis les coordonnées font remonter le MH370 sur le détroit de Malacca, une des zones les plus sensibles et surveillées de la planète, où il ne pouvait pas passer inaperçu.

Enfin, la dernière partie de la course, en direction de l'océan Indien Sud, repose seulement sur des « pings », des connexions satellitaires matérialisées par des tableaux de chiffres fournis par Inmarsat, une entreprise de communication qui n'a absolument pas vocation à localiser un avion. Ces données sont difficiles à interpréter. Plusieurs experts que je cite en soulignent les incohérences. Le rapport officiel n'a d'ailleurs pas fait d'analyse critique des données d'Inmarsat. Mais surtout, il confirme à plusieurs reprises l'information selon laquelle l'avion était visible sur un radar primaire du Vietnam au point BITOD, qui se trouve au-delà du point auquel il est censé avoir tourné, selon la version officielle. Le rapport d'enquête officiel est donc lui-même parfois en porte-à-faux avec le récit officiel de cette disparition. On ne peut le comprendre qu'en supposant que certains experts qui ont participé à la rédaction de ce rapport ne sont pas dupes, voire y résistent. C'est d'ailleurs ce qui me donne espoir que la vérité soit un jour connue. Le rapport conclut d'ailleurs avec un commentaire des plus énigmatiques : « impossible d'exclure l'intervention d'une tierce-partie ».

Une opération aussi gigantesque que la recherche australienne dans l'océan Indien Sud peut-elle n'avoir été qu'une diversion ?

Une source de très haut niveau en Australie m'a avoué qu'ils avaient vite senti qu'ils ne cherchaient pas vraiment l'avion. Paul-Henri Nargeolet, ancien nageur de combat et expert mondial en recherches sous-marines, ne comprenait lui-même pas à quoi rimait ce cirque. Un exemple : au bout de 38 jours, un très haut-gradé australien annonce qu'une traînée de fioul « prometteuse » a été repérée. Or, tout le monde sait que l'avion est censé s'être abîmé à court de carburant ! Et après plus d'un mois, n'importe quelle trace de fioul aurait de toute façon disparu. La plupart des médias ont pourtant répété ces informations sans les remettre en cause. On m'opposera que l'on ne gaspillerait pas autant de ressources pour rien. Mais, à l'échelle de l'enjeu, le coût de la recherche, 200 millions de dollars australiens, soit 130 millions d'euros, n'est pas la moitié du prix d'un B777. Pour comparaison, Boeing a perdu près de 10 milliards d'euros en 2020 à cause de la pandémie. Et cette recherche a permis un mapping des fonds marins, très utile pour certaines industries, pétrole et pêche notamment, et accessoirement pour les chasseurs de trésors comme on l'a vu avec l'opération d'Ocean Infinity, un navire affrété pour retrouver des épaves dans la zone en utilisant les cartes réalisées au cours de la recherche. Enfin, ce coût a été assumé par la Malaisie pour l'essentiel (60 %), l'Australie n'en prenant en charge que 30 %. Il est d'ailleurs intéressant de noter le désintérêt affiché par la Chine à l'égard de ces recherches dans l'océan Indien, alors que la majorité des passagers étaient ses ressortissants. In extremis, la Chine a contribué de 10 % et a raté de nombreuses réunions sur les recherches, comme si elle n'y croyait pas.

L’authentification du flaperon, le premier débris trouvé en juillet 2015 sur une plage de la Réunion, n’est pas convaincante.
Florence de Changy

Depuis 2015, des débris ont été retrouvés à La Réunion et sur la côte de l'Afrique de l'Est. N'est-ce pas la preuve d'un crash dans l'océan Indien ?

L'authentification du flaperon, le premier débris trouvé en juillet 2015 sur une plage de La Réunion, n'est pas convaincante. L'attente était énorme, tout le monde pensait que ce serait la résolution de l'énigme. Les premiers experts qui l'ont vu ont commencé par exprimer des doutes sur le fait qu'il s'agisse d'un débris du MH370. Puis, sans même attendre les premiers commentaires de la France, la Malaisie a affirmé que c'était le MH370. Qu'en est-il ? La pièce n'a pas de plaque d'identification, ce qui est tout à fait anormal. Seules les pièces d'avions démantelés officiellement se voient retirer leur plaque d'identification, collée au mastic ou rivetée justement pour qu'elles ne se détachent pas par accident. Il a donc fallu faire des analyses à l'intérieur de la pièce avec une micro-caméra, pour obtenir 12 numéros sur des pièces à l'intérieur. Or, un seul numéro sur douze aurait été confirmé par un sous-traitant. Et dans le rapport, ces chiffres sont écrits à la main. Le fait que ce dossier soit traité avec un tel degré de secret par la France est en soi un indice sur la nature de l'accident. Quant à la grande chasse aux débris qui a eu lieu ensuite sur les plages d'Afrique, c'est de nouveau tout sauf sérieux et crédible.

Le commandant de bord Zaharie Ahmad Shah a été accusé d'être dépressif, d'avoir une double vie, d'avoir préparé son suicide dans l'océan Indien… Ces accusations sont-elles fondées ?

C'est un classique des catastrophes aériennes : on accuse toujours le pilote. Et il se révèle souvent au final n'avoir été qu'un bouc émissaire. Les médias anglo-saxons, plus que les chinois, les malaisiens ou les français, se sont déchaînés sur lui. C'est pourquoi j'ai tenu à rencontrer certains de ses proches, et mis la main sur des interrogatoires de la police malaisienne. Zaharie Ahmad Shah était un homme absolument solide et un des meilleurs pilotes de la compagnie. Mais l'accuser d'un coup de folie est la seule manière de justifier la version officielle qui elle-même n'a aucun sens.

Pour les proches des victimes, le temps s'est arrêté le 8 mars 2014. Pourquoi le traumatisme du MH370 est-il plus fort qu'un simple crash d'avion de ligne ?

Parce que c'est une disparition totale et inexpliquée. Comme quand une famille perd son fils à la guerre sans que l'on ne retrouve jamais le corps. L'absence de certitude sur le lieu, le moment, les circonstances de la mort est plus terrible que tout. La vérité est indispensable au deuil des proches. J'ai constaté qu'après environ 5 ans, certains ont commencé à vouloir oublier. Mais les familles ont toujours été divisées, ne serait-ce que géographiquement et culturellement. Aujourd'hui, chacun a choisi un scénario, le moins douloureux possible bien sûr. Les Chinois, eux, refusent de croire que le crash a eu lieu dans l'océan Indien. L'Australie a proposé de créer un monument du souvenir à Perth. Les familles chinoises n'en ont pas voulu. Parce que cela servirait à asseoir encore un peu plus la version officielle.

J’ai vu à quel point ce mystère rendait les gens fous. C’est un mélange de détresse absolue, de désespoir et de faux espoirs. Un cocktail archi toxique.
Florence de Changy

Lors d'une de vos rencontres, vous décrivez le Français Ghyslain Wattrelos, pourtant cadre supérieur chez Lafarge et la tête sur ses épaules, prêt à croire les théories les plus folles. Est-ce que le MH370 est une histoire qui rend fou ?

Oui, j'ai vu à quel point ce mystère rendait les gens fous. C'est un mélange de détresse absolue, de désespoir et de faux espoirs. Un cocktail archi toxique. Ghyslain Wattrelos a d'ailleurs écrit un récit très émouvant sur ce cauchemar dont on ne se réveille pas Vol MH370. Une vie détournée.

Autour du MH370 gravitent des personnages très étranges, Sarah Bajc, la petite amie du passager américain, Ethan Hunt, l'Australien (qui porte le nom du héros de Mission : impossible), Blaine Gibson, l'aventurier chercheur de débris qui en trouve avec une facilité déconcertante… Qui sont-ils vraiment ?

Je préfère laisser au lecteur la liberté de se faire un avis. Prenez, Harrisson, surnommée « Hippie Girl », une femme qui n'a rien à voir avec le MH370, mais qui ne cesse d'apparaître et fait même de longs voyages pour venir à certains événements. Elle m'a dit avoir aidé Sarah Bajc à créer le premier groupe Facebook sur le MH370 dans les jours si ce n'est les heures qui ont suivi la disparition. Vraiment, qui fait ça ?

Le mystère initial ne pourrait-il pas expliquer la profusion ultérieure d'erreurs, de fausses informations et de charlatans davantage qu'une campagne délibérée de désinformation ?

Un mystère est en effet un moulin à rumeurs. D'où l'intérêt de créer du mystère et de la confusion, si l'on veut cacher quelque chose. Mais d'après moi, il n'y a jamais eu de mystère pour le MH370. Soyons sérieux. Un B777 ne peut pas disparaître dans l'une des zones les plus surveillées du monde, alors que des exercices militaires sont en cours. Ça ne peut pas être un « mystère ». Cette histoire n'est pas « incroyable », comme on ne cesse de nous le répéter, elle n'est pas crédible. Quand un B777 disparaît des écrans radars, il y a forcément une explication technique. Une source dans le renseignement avait dit à Ghyslain Wattrelos que deux AWACS américains, des avions-radars, étaient « sur zone » au moment de la « disparition ». Une autre source militaire m'a confirmé que ce type d'avions a des « capacités de brouillage phénoménales ». Or, la disparition progressive sur les écrans radars, incompatible avec une extinction du transpondeur, fait effectivement penser à un brouillage.

Dans les derniers chapitres, vous faites l'hypothèse que l'avion a été abattu. Sur quoi se base ce scénario ?

Disons que c'est la seule explication possible et connue pour nombre d'autres catastrophes aériennes. Et elle concorde avec plusieurs faits jusque-là inexpliqués. D'une part, d'après le rapport officiel, la tour de contrôle de Ho Chi Minh-Ville a annoncé à celle de Kuala Lumpur que le MH370 était « en train d'atterrir » à 2 h 38. Il se trouve que le matin du 8 mars, plusieurs médias (notamment à Taïwan et en Chine, mais le site Yahoo de Singapour aussi) ont diffusé une information selon laquelle à 2 h 43 le MH370 a envoyé un message signifiant que l'avion se désintégrait (une formule généralement associée à un tir de missile), requérant un atterrissage d'urgence. Ce message ahurissant, « preuve absolue » du vrai destin du MH370 s'il était confirmé, a lui aussi disparu quelques jours après sa très large diffusion notamment sur Twitter. Mais il se trouve qu'un pilote de Vietnam Airlines qui volait cette nuit-là au nord de Da Nang a déclaré à la presse et à la télévision locales le lendemain avoir entendu ce mayday. Le centre des opérations de Malaysia Airlines a également reçu une position du MH370 à 2 h 28 qui le situe dans la même zone. Tout cela est incroyablement cohérent. Le MH370 embarquait par ailleurs une cargaison de plus de 2 tonnes de matériaux électroniques vaguement décrits comme des talkies-walkies et des chargeurs de Motorola, un fret sans grand intérêt donc qui a pourtant été escorté jusqu'à l'aéroport et qui n'a pas été passée au scanner « en raison de sa taille », ce qui est une hérésie absolue. On peut légitimement se demander si le destin tragique du MH370 n'est pas lié à ce cargo.

La version officielle nécessite le recours à un nombre incalculable de faits abracadabrants, compliqués, illogiques et non établis.
Florence de Changy

C'est là qu'il devient difficile de vous suivre. Un tel scénario ne nécessiterait-il pas davantage de preuves ? Une dissimulation d'une telle ampleur est-elle possible ?

Paradoxalement, ce sont les gens les plus qualifiés pour discréditer un tel scénario, à savoir les militaires ou les professionnels du renseignement, qui l'ont le plus facilement cautionné, même si je suis la première à en reconnaître les points faibles. En plus du très étonnant faisceau d'indices concordants, un témoin canadien, ancien employé de l'avionneur Bombarbier, me « jure » avoir vu à la télévision vietnamienne des images montrant une opération de récupération de débris de l'avion et le transfert à terre de l'une des boîtes noires, le jour même de l'accident. Mon approche n'est pas conspirationniste, au contraire, mon livre ne cesse de démonter des théories du complot. Mais je me base sur le principe du rasoir d'Ockham : face à un problème complexe en apparence insoluble, la bonne solution est généralement « la plus simple », la plus « économe », celle qui demande de faire le moins d'hypothèses et d'accepter le moins d'inconnues. À l'inverse du scénario simple (une interception qui a mal tourné ou une bavure militaire), la version officielle nécessite le recours à un nombre incalculable de faits abracadabrants, compliqués, illogiques et non établis. Un tel scénario impliquerait une tromperie majeure de la part des gouvernements, en qui nous sommes censés placer notre confiance. Une « trahison » pareille du contrat implicite est tellement pénible et a de telles ramifications que la plupart des gens préfèrent faire accepter l'ineptie de la version officielle.

Le 02 mars 2021 à 09:55:51 Jean-Dramatique a écrit :
De rien https://image.noelshack.com/fichiers/2017/08/1488028601-happyzoulman.png

Merci beaucoup khey bcp de bonheur pour toi :ange:

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Nulark
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2 mars 2021 à 09:40:42
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