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Sarkozy : "Je suis innocent"

Supprimé
Logique il va pas dire "OK ok j'avoue j'ai fais de la corruption je suis un ***"

Le 03 mars 2021 Ă  03:55:23 Asuna_yuki a Ă©crit :
Il est 100% innocent il a mon soutient

https://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/2/1608669250-cuckmasque2.png

Innocent et idiot du village
qui a l'article complet du figaro?

Sarko qui scande son innocence ça m'a rappelé ce passage :hap:

Le 7 mai 1931, la ville de New York assista à une sensationnelle chasse à l’homme. Après des semaines de recherches, «Two-Gun» Crowley, l’homme aux deux revolvers, l’assassin, le gangster qui ne fumait ni ne buvait, fut traqué dans l’appartement de sa belle, dans West End Avenue. Cent cinquante policiers l’assiégèrent dans sa cachette, au dernier étage de l’immeuble. Perçant des trous dans le toit, ils essayèrent de le faire sortir au moyen de gaz lacrymogènes. Puis ils braquèrent leurs fusils sur les immeubles environnants et, pendant plus d’une heure, ce quartier élégant de New York retentit du claquement des coups de feu. Protégé par un gros fauteuil rembourré, Crowley tirait sans relâche sur la police. Dix mille personnes observaient, surexcitées, la bataille. On n’avait jamais rien vu de semblable dans les rues de New York.

Après l’avoir capturé, le chef de la police, Mulrooney, déclara: «Cet homme est un des criminels les plus dangereux que j’ai connus. Il tue pour rien. » Mais lui, Crowley, comment se considérait-il ? Tandis que la fusillade faisait rage autour de lui, il écrivait une lettre destinée à ceux qui trouveraient son cadavre. Le sang ruisselant de ses blessures faisait une traînée rouge sur le papier. Dans cette lettre, il disait: «Sous ma veste bat un coeur las, mais bon, et qui ne ferait de mal à personne. » Peu de temps avant ces événements, Crowley se trouvait à la campagne, près de Long Island. Tout à coup, un agent de police s’approcha de sa voiture arrêtée et dit: « Montrez-moi votre permis. » Sans articuler un mot, Crowley sortit son revolver et transperça le malheureux d’une grêle de balles. Puis il sauta de son siège, saisit l’arme du policier et tira encore une autre balle sur son corps inerte. Tel était l’assassin qui déclarait: « Sous ma veste bat un coeur las, mais bon, et qui ne ferait de mal à personne. » Crowley fut condamné à la chaise électrique. Quand il arriva à la chambre d’exécution, à la prison de Sing Sing, vous pensez peut-être qu’il dit: «Voilà ma punition pour avoir tué. » Non, il s’exclama: «Voilà ma punition pour avoir voulu me défendre.» La morale de cette histoire, c’est que «Two-Gun»ne se jugeait nullement coupable.

Est-ce là une attitude extraordinaire chez un criminel ? Si tel est votre avis, écoutez ceci «J’ai passé les meilleures années de ma vie à donner du plaisir et de l’amusement aux gens, et quelle a été ma récompense? Des insultes et la vie d’un homme traqué! C’est Al Capone qui parle ainsi. Parfaitement L’ancien ennemi public numéro un, le plus sinistre chef de bande qui ait jamais terrifié Chicago, ne se condamne pas. Il se considère réellement comme un bienfaiteur public, un bienfaiteur incompris, traité avec ingratitude. C’est ce que disait aussi Dutch Schultz avant de s’écrouler sous les balles des gangsters de Newark. Dutch Schultz, l’un des bandits les plus notoires de New York, déclara, au cours d’une entrevue avec un journaliste, qu’il était un bienfaiteur public. Et il le croyait. J’ai quelques lettres fort intéressantes de M. Lawes, directeur du fameux pénitencier de Sing Sing. Il assure que peu de criminels, à Sing Sing, se considèrent comme des malfaiteurs. Ils se jugent tout aussi normaux que les autres hommes. Ils raisonnent, ils expliquent. Ils vous diront pourquoi ils ont été obligés de forcer un coffre-fort ou de presser la détente. Par un raisonnement logique ou fallacieux, la plupart s’efforcent de justifier, même à leurs propres yeux, leurs actes antisociaux, et déclarent en conséquence que leur emprisonnement est absolument inique.

Le 03 mars 2021 Ă  04:15:15 YvesVernal a Ă©crit :
Sarko qui scande son innocence ça m'a rappelé ce passage :hap:

Le 7 mai 1931, la ville de New York assista à une sensationnelle chasse à l’homme. Après des semaines de recherches, «Two-Gun» Crowley, l’homme aux deux revolvers, l’assassin, le gangster qui ne fumait ni ne buvait, fut traqué dans l’appartement de sa belle, dans West End Avenue. Cent cinquante policiers l’assiégèrent dans sa cachette, au dernier étage de l’immeuble. Perçant des trous dans le toit, ils essayèrent de le faire sortir au moyen de gaz lacrymogènes. Puis ils braquèrent leurs fusils sur les immeubles environnants et, pendant plus d’une heure, ce quartier élégant de New York retentit du claquement des coups de feu. Protégé par un gros fauteuil rembourré, Crowley tirait sans relâche sur la police. Dix mille personnes observaient, surexcitées, la bataille. On n’avait jamais rien vu de semblable dans les rues de New York.

Après l’avoir capturé, le chef de la police, Mulrooney, déclara: «Cet homme est un des criminels les plus dangereux que j’ai connus. Il tue pour rien. » Mais lui, Crowley, comment se considérait-il ? Tandis que la fusillade faisait rage autour de lui, il écrivait une lettre destinée à ceux qui trouveraient son cadavre. Le sang ruisselant de ses blessures faisait une traînée rouge sur le papier. Dans cette lettre, il disait: «Sous ma veste bat un coeur las, mais bon, et qui ne ferait de mal à personne. » Peu de temps avant ces événements, Crowley se trouvait à la campagne, près de Long Island. Tout à coup, un agent de police s’approcha de sa voiture arrêtée et dit: « Montrez-moi votre permis. » Sans articuler un mot, Crowley sortit son revolver et transperça le malheureux d’une grêle de balles. Puis il sauta de son siège, saisit l’arme du policier et tira encore une autre balle sur son corps inerte. Tel était l’assassin qui déclarait: « Sous ma veste bat un coeur las, mais bon, et qui ne ferait de mal à personne. » Crowley fut condamné à la chaise électrique. Quand il arriva à la chambre d’exécution, à la prison de Sing Sing, vous pensez peut-être qu’il dit: «Voilà ma punition pour avoir tué. » Non, il s’exclama: «Voilà ma punition pour avoir voulu me défendre.» La morale de cette histoire, c’est que «Two-Gun»ne se jugeait nullement coupable.

Est-ce là une attitude extraordinaire chez un criminel ? Si tel est votre avis, écoutez ceci «J’ai passé les meilleures années de ma vie à donner du plaisir et de l’amusement aux gens, et quelle a été ma récompense? Des insultes et la vie d’un homme traqué! C’est Al Capone qui parle ainsi. Parfaitement L’ancien ennemi public numéro un, le plus sinistre chef de bande qui ait jamais terrifié Chicago, ne se condamne pas. Il se considère réellement comme un bienfaiteur public, un bienfaiteur incompris, traité avec ingratitude. C’est ce que disait aussi Dutch Schultz avant de s’écrouler sous les balles des gangsters de Newark. Dutch Schultz, l’un des bandits les plus notoires de New York, déclara, au cours d’une entrevue avec un journaliste, qu’il était un bienfaiteur public. Et il le croyait. J’ai quelques lettres fort intéressantes de M. Lawes, directeur du fameux pénitencier de Sing Sing. Il assure que peu de criminels, à Sing Sing, se considèrent comme des malfaiteurs. Ils se jugent tout aussi normaux que les autres hommes. Ils raisonnent, ils expliquent. Ils vous diront pourquoi ils ont été obligés de forcer un coffre-fort ou de presser la détente. Par un raisonnement logique ou fallacieux, la plupart s’efforcent de justifier, même à leurs propres yeux, leurs actes antisociaux, et déclarent en conséquence que leur emprisonnement est absolument inique.

Ayyaaaaa https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/7/1611492741-ahi-gros.png

Pourquoi certains supportent toujours Sarko ?

Données du topic

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BelgianRace101
Date de création
3 mars 2021 Ă  03:48:39
Date de suppression
8 mars 2021 Ă  13:18:30
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