Lorsque le sujet du droit est l'individu, nous n'avons plus aucune prise sur la démographie, donc aucune prise sur l'avenir de notre race et de notre culure. Il faut effectuer une révolution copernicienne : remettre la préservation du peuple (au sens ethnique du terme) au centre du droit et de la politique. Les droits des peuples doivent pulvériser les droits le l'homme.
Ce principe simple doit être le mètre étalon selon lequel chaque loi doit être évaluée et éventuellement abrogée, aussi ancienne soit-elle. Notre fenêtre de tir est courte, nous n'avons plus que quelques dizaines d'années tout au plus pour effectuer cette révolution juridique avant que notre peuple et notre culture ne disparaissent à jamais.