Topic de DixSeptDegres :

Bordel les élites ont fait fort cette fois-ci

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Il faut croire que les attentats (11/09) ne sont pas assez rentables car trop localisés. Il fallait passer à la vitesse supérieure et toucher toute la planète. :ok:

La plus grande escroquerie de l'histoire de l'humanité. :ok:

Stopper toute l'activité humaine pour une grippe qui tue des vieux qui allaient mourir dans les 6 mois quoi qu'il arrive. :noel:

1) Répandre la peur, faire de chaque être humain un potentiel danger dont il faut se protéger

2) Imposer des masques, une distanciation physiques et confinements, qui ne servent à rien

3) Amendes, caméras thermiques, drones, surveillance généralisée

4) Chômage, destruction de l'économie réelle, entrepreneurs et classe moyenne ruinés Les grandes entreprises qui s'enrichissent comme jamais auparavant.

5) Imposition du télétravail avec revenu universel

6) Vaccination obligatoire à base d'ARN + puçage pour être connectés à la smartgrid

Le dollars va s'effondrer, la récréation américaine est terminée, c'est surtout un délire qui s'effondre et qui tente le tout pour le tout
Au moins 50% des gens qui dorment encore. :nonnon:

Le 20 février 2021 à 17:38:54 Mamancito4 a écrit :
Le dollars va s'effondrer, la récréation américaine est terminée, c'est surtout un délire qui s'effondre et qui tente le tout pour le tout

Ils vont l'effondrer à dessin pour imposer une monnaie mondiale.

C'est ça, c'est évident que c'est un complot !!! :hap:

Etant assez stupéfait du nombre de personnes qui s'interrogent encore sur la date du "retour au normal" de la société après-COVID, je vous propose ici de rassembler une bonne fois pour toutes les informations concernant le monde de l'APRES-PANDEMIE.
Tout d'abord, le GREAT RESET : Qu'est-ce que c'est ?
Ce n'est absolument pas une invention des complotistes. Pour preuve, "la grande réinitialisation" dispose à présent de sa propre page Wikipédia, documentée et sourcée, disponible ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/La_grande_r%C3%A9initialisation
La grande réinitialisation, en anglais The Great Reset, parfois nommée en franglais Grand Reset, est une proposition du Forum économique mondial (WEF) de planification économique pour reconstruire l'économie de manière durable après la pandémie de Covid-19. Elle est dévoilée en mai 2020 par le prince Charles, prince héritier du trône du Royaume-Uni, et par Klaus Schwab, directeur du WEF1,2. Elle cherche à améliorer le capitalisme grâce à des investissements plus orientés vers le progrès mutuel[style à revoir] et en se concentrant davantage sur les initiatives environnementales.
Cette proposition fait l'objet d'une théorie du complot selon laquelle la grande réinitialisation serait utilisée pour apporter des changements socialistes et écologistes, ainsi qu'un supposé nouvel ordre mondial2,3.
Vous voyez donc que c'est une proposition réelle, à laquelle participent les membres du Forum économique mondial. Ce Forum regroupe les plus puissants hommes politiques et hommes d'affaires, ainsi que certaines personnalités médiatiques. Plus d'informations directement sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Forum_%C3%A9conomique_mondial 
Le "Great Reset" a été à l'origine particulièrement évoqué par Christine LAGARDE, à l'époque où elle présidait le FMI. Elle dirige à présent la Banque Centrale Européenne 
Ce programme a été détaillé dans le livre de Klaus SCHWAB, président du Forum Economique Mondial. Il s'agit de proposer un nouveau monde post-pandémie qui sera plus inclusif, plus résilient et plus respectueux de l'environnement (des propositions semblables à l'organisation "INCLUSIVE CAPITALISM" https://www.inclusivecapitalism.com/ qui regroupe des PDG de multinationales, Rockfeller, Rothschild, le Pape François, Mastercard etc.)
Les détails du GREAT RESET :
Je vous invite d'abord à analyser ce graphique 
Comme vous pouvez le constater, tandis que nos ressources diminuent dramatiquement, la population, les besoins de nourriture, les productions et la pollution continuent d'augmenter encore et toujours, ce qui, à terme, posera un véritable problème pour la survie de l'humanité. Jusqu'ici, les prédictions de Davos étaient à peu près correctes, donc il n'y a aucune raison de penser qu'ils vont se planter pour les prochaines années.
Pour couronner le tout, nous héritons de la terrible pandémie planétaire de la Covid-19. Mais Schwab nous explique dans son livre que, malgré tout, il faudra en profiter pour réinventer le monde de demain.
Suite à la crise économique due à la pandémie de la COVID-19, voici ce qui se déroulera :
 Les pays pauvres vont s'entretuer et causer des vagues migratoires vers les pays riches telles qu'on ne les a jamais connues.
 Les pays riches vont établir ensemble une gouvernance mondiale. Nous concernant, l'UE sera très en charge d'absolument tout.
 Des pans entiers d'activité vont devoir disparaître, comme les services de location de voiture, le monde de la culture etc. Les petites entreprises vont toutes couler, il n'y aura que les grands groupes qui survivront, en situation de monopole ou de duopole.
 Les premières années de cette phase "déconstruction" seront très dures. La plupart des gens vont perdre leur emploi, les gouvernements aideront cependant la population grâce à des aides, pour lui permettre de survivre (chômage, revenu universel).

 Le télétravail va se généraliser, la bulle de l'immobilier va exploser quand les gens vont se rendre compte qu'ils n'auront plus besoin de vivre dans les grandes villes pour le travail.
Une fois cette douloureuse période passée, voici à quoi ressemblera le monde de demain, dont les maîtres mots seront RESILIENCE, INCLUSIVITE et BIEN-ÊTRE ENVIRONNEMENTAL. 
 Peuples vivant sous la gouvernance d'un Nouvel Ordre Mondial (l'UE dans notre cas), sans possiblement avoir le choix de nos dirigeants;
 Revenu universel et/ou chômage minimum garanti pour TOUS;
 Pour ceux qui auront un travail, format du télétravail OBLIGATOIRE, le reste des tâches sera à 99% réalisé par des robots;
 Fin de la société consumériste, nous vivrons avec le strict nécessaire pour tout ce qui est matériel. Cependant, nos occupations seront garantis par les écrans : télévisions, jeux vidéos, Internet, Netflix etc, réseaux sociaux.
 Votre santé sera garanti par le Gouvernement Mondial, vous serez pris en charge à n'importe quel moment grâce à des technologies qui surveilleront votre activité cardiaque etc. En contrepartie, vous acceptez de ne plus avoir de vie privée.
 Fin des voyages, vous ne pourrez plus aller à l'autre bout du monde en avion, les déplacements courts seront les seuls tolérés.
 Seules quelques entreprises contrôleront les marchés, celles qui sont déjà leaders : Amazon, Google, Facebook, Netflix, etc.
 Il n'y aura plus de concert, cinéma, théâtre etc. Tout sera remplacé par des alternatives à domiciles, moins chères, moins polluantes, et en bonne qualité (réalité virtuelle etc). La créativité chez vous sera encouragée.
 Le bien-être commun sera la nouvelle religion. Les pensées individualistes seront condamnées. Les religions et les idéologies contraires à l'intérêt générales seront proscrites.
En BREF, les fonctions régaliennes seront garanties : santé, sécurité, éducation, justice, mais vous serez incité à vous déplacer le moins possible, tout en pouvant consommer autant que ce qui est permis par le marché, régulé par les plus grosses entreprises. Tout ceci dans le but de protéger la planète et de réduire à néant la possibilité de conflits et de guerres à venir, en favorisant le bien-être général de la population.
Tout ceci est consultable dans le livre "THE GREAT RESET" de Klaus SCHWAB : https://www.amazon.fr/COVID-19-Great-Reset-Klaus-Schwab/dp/2940631123
Nous aurons probablement bientôt de nouvelles informations sur ce qui nous attend, car en juin 2021, le Great Reset sera à nouveau le thème phare du Forum Economique Mondial de juin 2021 : https://www.20minutes.fr/societe/2917719-20201207-great-reset#:~:text=Le%20Forum%20de%20Davos%2C%20se,ONG%20et%20des%20personnalit%C3%A9s%20civiles. 

IMMIGRATION - Page 107
Les pays les plus riches ignorent la tragédie qui se déroule dans les pays
fragiles et défaillants à leurs risques et périls. D'une manière ou d'une autre,
ces risques auront pour conséquences une plus grande instabilité, voire le
chaos. Pour les régions les plus riches du monde, l'un des effets domino les
plus évidents de la misère économique, du mécontentement et de la faim dans
les États les plus fragiles et les plus pauvres consistera en une nouvelle vague
de migration massive dans leur direction, comme celles qui se sont produites
en Europe en 2016.
GOUVERNANCE MONDIALE - Page 94
il existe de fortes interconnexions
entre l'échec de la gouvernance mondiale, celui de l'action climatique, celui
des gouvernements nationaux (qui s’accompagne d’un effet d'autorenforcement),
l'instabilité sociale et bien sûr la capacité à faire face avec succès aux pandémies. En un mot, la gouvernance mondiale est au coeur de
toutes ces autres questions. Par conséquent, on peut craindre que, sans une
gouvernance mondiale appropriée, nous soyons paralysés dans nos tentatives
de relever les défis mondiaux, en particulier lorsqu'il existe une si forte
dissonance entre les impératifs nationaux à court terme et les défis mondiaux
à long terme.
PME ET MULTINATIONALES - Page 155-156
Dans bon nombre de ces secteurs, mais surtout dans l'hôtellerie et le
commerce de détail, les petites entreprises vont excessivement souffrir de
cette situation, car elles devront lutter pour survivre aux fermetures imposées
par le confinement (ou à la forte réduction des activités) et éviter la faillite. Si
elles sont obligées de fonctionner à capacité réduite avec des marges encore
plus étroites, beaucoup ne survivront pas. [...] Cela laisse
supposer que les grandes entreprises deviendront plus grandes tandis que les
plus petites diminueront ou disparaîtront.
ARGENT - Page 58
La stimulation doit donc provenir d'une
augmentation des déficits budgétaires (ce qui signifie que les dépenses
publiques augmenteront tandis que les recettes fiscales diminueront). En
termes très simples (et, dans ce cas, simplistes), la MMT fonctionne ainsi :
les gouvernements émettront une partie de la dette que la banque centrale
achètera. Si elle ne se revend jamais, elle équivaudra à un financement
monétaire : le déficit est monétisé (par la banque centrale qui achète les
obligations que le gouvernement émet) et le gouvernement peut utiliser
l'argent comme bon lui semble. Il peut, par exemple, l’envoyer aux personnes
dans le besoin depuis des hélicoptères métaphoriques. L'idée est séduisante et
réalisable, mais s’accompagne d’un problème majeur d'attentes sociales et de
contrôle politique : une fois que les citoyens auront réalisé que l'argent peut
se trouver sur un « arbre à argent magique », les politiciens élus seront
soumis à une pression publique féroce et implacable pour en créer toujours
plus, et c'est alors que la question de l'inflation se posera.
TELETRAVAIL - Page 119
Nos modes de consommation ont changé de
façon spectaculaire pendant la période de confinement, en nous
obligeant à nous concentrer sur l'essentiel et en ne nous laissant
d'autre choix que d'adopter un « mode de vie plus vert ». Cela
pourrait être amené à durer, nous incitant à laisser de côté tout ce
dont nous n'avons pas vraiment besoin et mettant en marche un
cercle vertueux bénéfique pour l'environnement. De même, nous
pouvons décider que le télétravail (lorsqu’il est possible) est bon
pour l'environnement et pour notre bien-être individuel (les trajets
domicile-travail-domicile sont un « destructeur » de bien-être - plus
ils sont longs, plus ils sont préjudiciables à notre santé physique et
mentale). Ces changements structurels dans notre façon de
travailler, de consommer et d'investir peuvent prendre un peu de
temps avant de se généraliser suffisamment pour faire une réelle
différence mais, comme précédemment avancé, ce qui compte, c'est
la direction et la force de la tendance. Le poète et philosophe Lao
Tseu avait raison : « Un voyage de mille lieues commence toujours
par un premier pas. » Nous ne sommes qu'au début d'une longue et
douloureuse convalescence et, pour beaucoup d'entre nous, penser à
la durabilité peut sembler un luxe, mais lorsque les choses
commenceront à s'améliorer, nous nous souviendrons tous de la
relation de causalité entre la pollution atmosphérique et la COVID-
19. La durabilité cessera alors d'être secondaire et le changement
climatique (si étroitement corrélé à la pollution atmosphérique)
passera au premier plan de nos préoccupations.
IMMOBILIER - Page 162
Les promoteurs immobiliers (très
endettés eux-mêmes pour la plupart) vont alors connaître une vague de
faillites, les plus grands et d’importance systémique devant être sauvés
financièrement par leurs gouvernements respectifs. Dans de nombreuses
villes de premier plan du monde entier, les prix de l'immobilier vont donc
baisser sur une longue période, perçant la bulle immobilière mondiale qui
s'était formée il y a des années. Dans une certaine mesure, la même logique
s'applique à l'immobilier résidentiel dans les grandes villes. Si la tendance au
télétravail se développe, la combinaison des trajets domicile-travail
supprimés et de l'absence de croissance de l'emploi signifie que la jeune
génération ne choisira plus d’assumer la location ou l’achat d'un bien dans les
villes coûteuses. Inévitablement, les prix vont alors baisser. En outre,
beaucoup auront compris que le travail à domicile est plus respectueux de
l'environnement et moins stressant que les déplacements du domicile au
bureau.
ROBOTS - Page 48
Dans un avenir un peu plus lointain (de
quelques mois à quelques années), deux catégories de personnes seront
confrontées à une situation de l'emploi particulièrement sombre : les jeunes
qui entrent pour la première fois sur un marché du travail dévasté par la
pandémie et les travailleurs susceptibles d'être remplacés par des robots. Il
s'agit de questions fondamentales à la croisée de l'économie, de la société et
de la technologie qui ont des implications déterminantes pour l'avenir du
travail. L'automatisation, en particulier, sera une grave source de
préoccupation. L'argument économique selon lequel la technologie exerce
toujours un effet économique positif à long terme est bien connu. L'essentiel
de ce raisonnement est le suivant : l'automatisation est source de grands
changements, mais elle améliore la productivité et augmente la richesse, ce
qui entraîne une augmentation de la demande de biens et de services et donc
de nouveaux types d'emplois pour satisfaire cette demande. En effet, mais
que se passe-t-il entre maintenant et le long terme ?
Selon toute vraisemblance, la récession induite par la pandémie va
déclencher une forte augmentation du remplacement de la main d'oeuvre, ce
qui signifie que le travail physique sera remplacé par des robots et des
machines « intelligentes », ce qui à son tour provoquera des changements
durables et structurels sur le marché du travail. Dans le chapitre consacré à la
technologie, nous analysons plus en détail l'impact de la pandémie sur
l'automatisation, mais il est déjà largement prouvé qu'elle accélère le rythme
de la transformation. Le secteur des centres d'appel illustre parfaitement cette
situation.
CONSUMERISME - Page 55
Certains ont appelé à la « décroissance », un mouvement qui embrasse
une croissance zéro ou même négative du PIB et qui gagne du terrain (au
moins dans les pays les plus riches). À mesure que la critique de la croissance
économique prendra de l’ampleur, la domination financière et culturelle du
consumérisme dans la vie publique et privée sera remise en question.[42] On
le voit bien dans l'activisme en faveur d’une décroissance menée par les
consommateurs dans certains segments de niche - comme les appels à réduire
sa consommation de viande ou à moins prendre l’avion. En déclenchant une
période de décroissance forcée, la pandémie a suscité un regain d'intérêt pour
ce mouvement qui veut inverser le rythme de la croissance économique, ce
qui a conduit plus de 1 100 experts du monde entier à publier en mai 2020 un
manifeste proposant une stratégie de décroissance pour faire face à la crise
économique et humaine provoquée par la COVID-19.[43] Leur lettre ouverte
appelle à l'adoption d'une « réduction planifiée mais modulable, durable et
équitable de l’économie menant à un avenir où nous pourrons vivre mieux
avec moins. »

VOYAGES, DEPLACEMENTS - Page 115
Si, à l'ère post-pandémique, nous décidons de reprendre notre vie comme
avant (en conduisant les mêmes voitures, en prenant l'avion vers les mêmes
destinations, en mangeant les mêmes choses, en chauffant notre maison de la
même manière, etc.), la crise de COVID-19 n’aura servi à rien en termes de
politiques climatiques. À l'inverse, si certaines des habitudes que nous avons
été forcés d'adopter pendant la pandémie se traduisent par des changements
structurels de comportement, le résultat climatique pourrait être différent. Se
déplacer moins, travailler un peu plus à distance, faire du vélo et marcher au
lieu de conduire pour garder l'air de nos villes aussi propre qu'il l'était
pendant le confinement, passer des vacances plus près de chez soi : tous ces
éléments, s'ils sont cumulés à grande échelle, pourraient conduire à une
réduction durable des émissions de carbone. Cela nous amène à la question
primordiale de savoir si la pandémie aura finalement un effet positif ou
négatif sur les politiques de lutte contre le changement climatique.
HABITUDES - Page 125
A mesure que la distanciation sociale et physique persiste, le fait de
s'appuyer davantage sur les plateformes numériques pour communiquer,
travailler, demander des conseils ou commander quelque chose va, peu à peu,
prendre la place d’habitudes autrefois ancrées. En outre, les avantages et les
inconvénients des services en ligne par rapport aux services hors ligne seront
constamment examinés sous différents angles. Si les considérations de santé
deviennent primordiales, nous pourrions décider, par exemple, qu'une séance
de vélo devant un écran à la maison ne vaut pas la convivialité et le plaisir de
le faire avec un groupe dans un cours en direct, mais est en fait plus sûr (et
moins cher !). Le même raisonnement s'applique à de nombreux domaines
divers comme se rendre en avion à une réunion (Zoom est plus sûr, moins
cher, plus écologique et beaucoup plus pratique), se rendre en voiture à une
réunion de famille loin de chez soi pour le week-end (le groupe familial
WhatsApp n'est pas aussi amusant mais, là encore, plus sûr, moins cher et
plus écologique) ou même assister à un cours universitaire (pas aussi
satisfaisant, mais moins cher et plus pratique).
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Auteur
DixSeptDegres
Date de création
20 février 2021 à 17:37:18
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