La tolérance ?
Supprimé- 1
"Respecte les autres religions, respecte les autres communautés immigrés, laisse la place à l'immigré car il souffert et ne le brusque pas, laisse-lui ses moeurs et ses habitudes. Qui es-tu pour lui imposer ta loi?...".
Il est ainsi nécessaire de toujours rétrécir son propre cercle de puissance, de laisser toujours plus de place aux autres au nom de la tolérance, de ne pas trop élevé la voix, de ne pas imposer ses moeurs... En somme, renoncez à votre volonté de puissance face aux immigrés. La morale d'esclave considère que la tolérance c'est bien. Considérons la comme ce qu'elle est pour la morale de l'aristocratie : La tolérance n'est ni plus ni moins que de la faiblesse.
L'homme qui exige de vous la tolérance envers les immigrés ne vous demande rien d'autre que d'être faible.
celle qui respecte l'intégrité morale, physique, matérielle d'autrui, qui est essentielle, mais de ce que l'on pourrait nommer la tolérance civilisationnelle.
Sache l'op que même ça, je connais 80 % qui s'en foutent, ils sont prêts à tout pour arriver à leurs fins même te détruire moralement... les gens sont devenus sans pitié et sans limites
Les homélies sur la tolérance sont des arnaques dépolitisantes qui saturent complètement les discours, elles sont liées au triomphe de l'individualisme, à la mort des grandes idéologies, au sentiment d'impuissance collective, à la montée du multiculturalisme, aux ambitions de gouvernance globale et surtout à la négation proprement libérale de la dimension conflictuelle inhérente à la politique (l'art de désigner l'ennemi comme le montre Carl Schmitt).
A mesure que "les choses que l'on ne peut pas changer" dont parlait Locke dans sa Lettre sur la tolérance s'étendent dans les discours autorisés, les individus abandonnent leur aspirations politiques pour se tourner vers du "développement personnel", sont de plus en plus prompts à penser que les affaires des autres ne les regardent pas, que les opinions ne se discutent pas (très frappant dans les copies de philosophie de terminale).
Ainsi nous sommes entrés dans une ère de résignation, de relativisme et d'anomie.
En dernière analyse, la tolérance apparaît paradoxalement comme une valeur conservatrice : en effet, comment rompre avec l'ordre établi si sans opposer un ordre nouveau aux autres ? Si l'homme est un animal politique et la politique est l'art de désigner l'ennemi alors la tolérance est la négation du politique et de l'homme.
La Grande Politique, ce n'est pas l'économisme étriqué des marxistes et des libéraux, elle vise la régénération d'une race, d'une culture et la promotion d'un type humain supérieur. Elle ne doit jamais se complaire dans le relativisme, le "laissez-faire" paresseux devant la décadence et la médiocrité ambiante ou les discours lénifiants sur la tolérance, elle doit rouler sur ses ennemis pour accomplir pleinement la tâche qu'elle s'est donnée.
Lorsque le sujet du droit est l'individu, nous n'avons plus aucune prise sur la démographie, donc aucune prise sur l'avenir de notre race et de notre culure. Il faut effectuer une révolution copernicienne : remettre la préservation du peuple (au sens ethnique du terme) au centre du droit et de la politique. Les droits des peuples doivent pulvériser les droits le l'homme.
Ce principe simple doit être le mètre étalon selon lequel chaque loi doit être évaluée et éventuellement abrogée, aussi ancienne soit-elle. Notre fenêtre de tir est courte, nous n'avons plus que quelques dizaines d'années tout au plus pour effectuer cette révolution juridique avant que notre peuple et notre culture ne disparaissent à jamais.
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Données du topic
- Auteur
- BUMBUM1
- Date de création
- 18 février 2021 à 12:21:04
- Date de suppression
- 13 avril 2021 à 01:01:09
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