[Alerte] 67000 mort en France pour le mois de janvier
L'institut Pasteur a sauvé des jeunes.
Des jeunes.
Aujourd'hui, on les sacrifie.
Tu n'auras pas de réponse.
Il n'y a pas, d'arguments.
Au delà de la manipulation des informations habituelles des complotins (67k mort de la grippe vs 13k si on sait lire), il y'a un VACCIN pour la grippe. Vous aimez la sélection naturelle, la voilà à l'œuvre.
Et trisotin qui ne veut pas se soumettre au port du masque, mais se soumet avec fierté à la variole, tetanos, polyo, coqueluche, parce que naturelle Faudra me définir ce qui est naturel d'ailleurs, à part dans les fables thélogiques, tout ce qu'on fait est naturelle, y'a pas de règle écrite par l'univers hein.
[13:07:30] <ricrico>
Ostgar.Bien sûr que c'est un problème.
C'est un problème de pays riches.Pour revenir à mon expérience en ehpad, jamais, on ne leur a posé la question pour ceux qui étaient en mesure de choisir.
2300€/mois et on ne leur pose pas la question.
La charte de l'usager, en premier, c'est le libre arbitre.
Et bah non.
C'est un problème si tu choisis que ça en est un, mais ça ne change pas ta fin
Si tu considéres que des vieux (des vrais vieux d'apres l'esperance de vie actuelle) qui meurent c'est un problème, alors c'est plutôt toi qui a un problème
Car en plus, toute action que tu entreprendras contre ce "problème" Se soldera par un échec
Car s'il y a bien un truc devant lequel on est tous égaux c'est bien ça, la seule égalité sur cette terre c'est celle du cimetière
Sinon c'est inscrit dans la déclaration des droits de l'homme au cas où : "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne". Il est de facto interdit de mourir, donc oui des gens qui meurent c'est toujours un problème.
Et l'espérance de vie qui progresse c'est par étape, on sera pas immortel du jour au lendemain, c'est en éradiquant les causes de mort petit à petit qu'on prolonge notre existence. Donc empêcher des gens de mourir aujourd'hui à 85 ans, c'est permettre au génération suivante de vivre jusqu'à 90.
Le 11 février 2021 à 13:37:03 Montanaflex a écrit :
Au delà de la manipulation des informations habituelles des complotins (67k mort de la grippe vs 13k si on sait lire), il y'a un VACCIN pour la grippe. Vous aimez la sélection naturelle, la voilà à l'œuvre.Et trisotin qui ne veut pas se soumettre au port du masque, mais se soumet avec fierté à la variole, tetanos, polyo, coqueluche, parce que naturelle Faudra me définir ce qui est naturel d'ailleurs, à part dans les fables thélogiques, tout ce qu'on fait est naturelle, y'a pas de règle écrite par l'univers hein.
Ok retourne te coucher Celestin
[13:43:45] <Montanaflex>
Sinon c'est inscrit dans la déclaration des droits de l'homme au cas où : "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne". Il est de facto interdit de mourir, donc oui des gens qui meurent c'est toujours un problème.Et l'espérance de vie qui progresse c'est par étape, on sera pas immortel du jour au lendemain, c'est en éradiquant les causes de mort petit à petit qu'on prolonge notre existence. Donc empêcher des gens de mourir aujourd'hui à 85 ans, c'est permettre au génération suivante de vivre jusqu'à 90.
Vivre jusqu'à 90, pourquoi faire et dans quelles conditions?
La difficulté à trouver des Ehpad libres et la demande en assistance à la personne qui explose, si c'est ça l'augmentation de la durée de vie, vivre 10 ans de plus pour finalement ne rien pouvoir faire plus car on est dépendant, pareil je vous la laisse
Vous pouvez toujours fantasmer sur un homme immortel mais on se heurtera toujours au mur biologique ou même sur le téléchargement de votre esprit sur un disque dur
De même qu'au final ce n'est pas vous qui choisissez quand vous mourrez, vous pouvez très bien passer demain sous un camion.
Et pour le coup, des droits de l'homme, c'est ce que harari appelle une "fiction collectivement partagé" Ça règle peut être la société a un point et un temps donné ( et encore pas partout sur ce caillou terrestre Aya) mais ça ne remet rien en cause de l'ordre naturel (en tout cas sur ce qu'on discute ici)
Le 11 février 2021 à 13:52:31 Ostgar a écrit :
[13:43:45] <Montanaflex>
Sinon c'est inscrit dans la déclaration des droits de l'homme au cas où : "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne". Il est de facto interdit de mourir, donc oui des gens qui meurent c'est toujours un problème.Et l'espérance de vie qui progresse c'est par étape, on sera pas immortel du jour au lendemain, c'est en éradiquant les causes de mort petit à petit qu'on prolonge notre existence. Donc empêcher des gens de mourir aujourd'hui à 85 ans, c'est permettre au génération suivante de vivre jusqu'à 90.
Vivre jusqu'à 90, pourquoi faire et dans quelles conditions?
La difficulté à trouver des Ehpad libres et la demande en assistance à la personne qui explose, si c'est ça l'augmentation de la durée de vie, vivre 10 ans de plus pour finalement ne rien pouvoir faire plus car on est dépendant, pareil je vous la laisseVous pouvez toujours fantasmer sur un homme immortel mais on se heurtera toujours au mur biologique ou même sur le téléchargement de votre esprit sur un disque dur
De même qu'au final ce n'est pas vous qui choisissez quand vous mourrez, vous pouvez très bien passer demain sous un camion.
Et pour le coup, des droits de l'homme, c'est ce que harari appelle une "fiction collectivement partagé" Ça règle peut être la société a un point et un temps donné ( et encore pas partout sur ce caillou terrestre Aya) mais ça ne remet rien en cause de l'ordre naturel (en tout cas sur ce qu'on discute ici)
100% d'accord, ça n'a d'intérêt que si on reste en bonne santé. Grabataire et immortelle n'intéresse personne je suppose.
Pour le mur biologique je suis pas sûr, coeur artificielle, poumon artificielle, on peut imaginer des technologies revitalisante.
Evidemment que je peux me prendre une noix de coco laché par un aigle sur la tête, me noyer suite à un choc hypothermique, ou encore un attentat. Mais je n'envisage pas la vie comme une course la montre pour mourir le plus vite possible.
D'accord également avec la "fiction collectivement partagé", à part dans notre imaginaire rien n'indique qu'on a le droit à la vie. Mais dans notre collectif grégaire, ce droit est quand même actuellement à propos. Je l'utilisais juste pour contredire ceux qui pense que laisser mourir les gens est naturelle. L'espoir peut-être un fardeau.
[14:07:22] <Montanaflex>
Le 11 février 2021 à 13:52:31 Ostgar a écrit :
[13:43:45] <Montanaflex>
Sinon c'est inscrit dans la déclaration des droits de l'homme au cas où : "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne". Il est de facto interdit de mourir, donc oui des gens qui meurent c'est toujours un problème.Et l'espérance de vie qui progresse c'est par étape, on sera pas immortel du jour au lendemain, c'est en éradiquant les causes de mort petit à petit qu'on prolonge notre existence. Donc empêcher des gens de mourir aujourd'hui à 85 ans, c'est permettre au génération suivante de vivre jusqu'à 90.
Vivre jusqu'à 90, pourquoi faire et dans quelles conditions?
La difficulté à trouver des Ehpad libres et la demande en assistance à la personne qui explose, si c'est ça l'augmentation de la durée de vie, vivre 10 ans de plus pour finalement ne rien pouvoir faire plus car on est dépendant, pareil je vous la laisseVous pouvez toujours fantasmer sur un homme immortel mais on se heurtera toujours au mur biologique ou même sur le téléchargement de votre esprit sur un disque dur
De même qu'au final ce n'est pas vous qui choisissez quand vous mourrez, vous pouvez très bien passer demain sous un camion.
Et pour le coup, des droits de l'homme, c'est ce que harari appelle une "fiction collectivement partagé" Ça règle peut être la société a un point et un temps donné ( et encore pas partout sur ce caillou terrestre Aya) mais ça ne remet rien en cause de l'ordre naturel (en tout cas sur ce qu'on discute ici)
100% d'accord, ça n'a d'intérêt que si on reste en bonne santé. Grabataire et immortelle n'intéresse personne je suppose.
Pour le mur biologique je suis pas sûr, coeur artificielle, poumon artificielle, on peut imaginer des technologies revitalisante.
Evidemment que je peux me prendre une noix de coco laché par un aigle sur la tête, me noyer suite à un choc hypothermique, ou encore un attentat. Mais je n'envisage pas la vie comme une course la montre pour mourir le plus vite possible.D'accord également avec la "fiction collectivement partagé", à part dans notre imaginaire rien n'indique qu'on a le droit à la vie. Mais dans notre collectif grégaire, ce droit est quand même actuellement à propos. Je l'utilisais juste pour contredire ceux qui pense que laisser mourir les gens est naturelle. L'espoir peut-être un fardeau.
En effet on arrive à remplacer des organes, chose qu'on arrivait pas il y a encore 50 ans avec ce taux de réussite, mais ça reste du bricolage, le plastique et le métal aussi ça s'use, plus vite que la matière organique vivante parfois même, et ça ne compense pas (pas encore?) l'usure générale des années sur un corps biologique
Je pense qu'il y a aussi la question de la fatigue de vivre (mentale) , chose qui finit par arriver même chez les bien portants, car même à 100 ans en étant indépendant on remarque chez ces personnes une espèce de lassitude de vivre, une perte d'envie pour tout, qui les tuent bien plus que leur usure de corps (et je ne vois pas ce qu'on peut faire contre ça)
Mais bon la on touche plus au Trans humanisme qu'a la question de la panique de la société quand elle voit des Nonagenaires mourir en 2020
Le 11 février 2021 à 14:15:34 Ostgar a écrit :
[14:07:22] <Montanaflex>
Le 11 février 2021 à 13:52:31 Ostgar a écrit :
[13:43:45] <Montanaflex>
Sinon c'est inscrit dans la déclaration des droits de l'homme au cas où : "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne". Il est de facto interdit de mourir, donc oui des gens qui meurent c'est toujours un problème.Et l'espérance de vie qui progresse c'est par étape, on sera pas immortel du jour au lendemain, c'est en éradiquant les causes de mort petit à petit qu'on prolonge notre existence. Donc empêcher des gens de mourir aujourd'hui à 85 ans, c'est permettre au génération suivante de vivre jusqu'à 90.
Vivre jusqu'à 90, pourquoi faire et dans quelles conditions?
La difficulté à trouver des Ehpad libres et la demande en assistance à la personne qui explose, si c'est ça l'augmentation de la durée de vie, vivre 10 ans de plus pour finalement ne rien pouvoir faire plus car on est dépendant, pareil je vous la laisseVous pouvez toujours fantasmer sur un homme immortel mais on se heurtera toujours au mur biologique ou même sur le téléchargement de votre esprit sur un disque dur
De même qu'au final ce n'est pas vous qui choisissez quand vous mourrez, vous pouvez très bien passer demain sous un camion.
Et pour le coup, des droits de l'homme, c'est ce que harari appelle une "fiction collectivement partagé" Ça règle peut être la société a un point et un temps donné ( et encore pas partout sur ce caillou terrestre Aya) mais ça ne remet rien en cause de l'ordre naturel (en tout cas sur ce qu'on discute ici)
100% d'accord, ça n'a d'intérêt que si on reste en bonne santé. Grabataire et immortelle n'intéresse personne je suppose.
Pour le mur biologique je suis pas sûr, coeur artificielle, poumon artificielle, on peut imaginer des technologies revitalisante.
Evidemment que je peux me prendre une noix de coco laché par un aigle sur la tête, me noyer suite à un choc hypothermique, ou encore un attentat. Mais je n'envisage pas la vie comme une course la montre pour mourir le plus vite possible.D'accord également avec la "fiction collectivement partagé", à part dans notre imaginaire rien n'indique qu'on a le droit à la vie. Mais dans notre collectif grégaire, ce droit est quand même actuellement à propos. Je l'utilisais juste pour contredire ceux qui pense que laisser mourir les gens est naturelle. L'espoir peut-être un fardeau.
En effet on arrive à remplacer des organes, chose qu'on arrivait pas il y a encore 50 ans avec ce taux de réussite, mais ça reste du bricolage, le plastique et le métal aussi ça s'use, plus vite que la matière organique vivante parfois même, et ça ne compense pas (pas encore?) l'usure générale des années sur un corps biologique
Je pense qu'il y a aussi la question de la fatigue de vivre (mentale) , chose qui finit par arriver même chez les bien portants, car même à 100 ans en étant indépendant on remarque chez ces personnes une espèce de lassitude de vivre, une perte d'envie pour tout, qui les tuent bien plus que leur usure de corps (et je ne vois pas ce qu'on peut faire contre ça)Mais bon la on touche plus au Trans humanisme qu'a la question de la panique de la société quand elle voit des Nonagenaires mourir en 2020
Kheyou je pense que les sujets sont liés, il y'a un problème de surmortalité, on le règle, l'espérance de vie augmente.
La panique de la société est justifiée si on se soucie de notre voisin (liberté/égalité/fraternité, encore de l'imaginaire collectif). Madame Duchemin ne désire peut-être pas mourir, je suis solidaire d'elle en n'étant pas celui qui enfoncera le premier clou dans son cerceuil.
Je comprends ton propos, mais il est viable si et seulement si tous les gens qui meurent sont des gens condamnés. Hors, ce n'est pas le cas.
[14:27:54] <Montanaflex>
Le 11 février 2021 à 14:15:34 Ostgar a écrit :
[14:07:22] <Montanaflex>
Le 11 février 2021 à 13:52:31 Ostgar a écrit :
[13:43:45] <Montanaflex>
Sinon c'est inscrit dans la déclaration des droits de l'homme au cas où : "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne". Il est de facto interdit de mourir, donc oui des gens qui meurent c'est toujours un problème.Et l'espérance de vie qui progresse c'est par étape, on sera pas immortel du jour au lendemain, c'est en éradiquant les causes de mort petit à petit qu'on prolonge notre existence. Donc empêcher des gens de mourir aujourd'hui à 85 ans, c'est permettre au génération suivante de vivre jusqu'à 90.
Vivre jusqu'à 90, pourquoi faire et dans quelles conditions?
La difficulté à trouver des Ehpad libres et la demande en assistance à la personne qui explose, si c'est ça l'augmentation de la durée de vie, vivre 10 ans de plus pour finalement ne rien pouvoir faire plus car on est dépendant, pareil je vous la laisseVous pouvez toujours fantasmer sur un homme immortel mais on se heurtera toujours au mur biologique ou même sur le téléchargement de votre esprit sur un disque dur
De même qu'au final ce n'est pas vous qui choisissez quand vous mourrez, vous pouvez très bien passer demain sous un camion.
Et pour le coup, des droits de l'homme, c'est ce que harari appelle une "fiction collectivement partagé" Ça règle peut être la société a un point et un temps donné ( et encore pas partout sur ce caillou terrestre Aya) mais ça ne remet rien en cause de l'ordre naturel (en tout cas sur ce qu'on discute ici)
100% d'accord, ça n'a d'intérêt que si on reste en bonne santé. Grabataire et immortelle n'intéresse personne je suppose.
Pour le mur biologique je suis pas sûr, coeur artificielle, poumon artificielle, on peut imaginer des technologies revitalisante.
Evidemment que je peux me prendre une noix de coco laché par un aigle sur la tête, me noyer suite à un choc hypothermique, ou encore un attentat. Mais je n'envisage pas la vie comme une course la montre pour mourir le plus vite possible.D'accord également avec la "fiction collectivement partagé", à part dans notre imaginaire rien n'indique qu'on a le droit à la vie. Mais dans notre collectif grégaire, ce droit est quand même actuellement à propos. Je l'utilisais juste pour contredire ceux qui pense que laisser mourir les gens est naturelle. L'espoir peut-être un fardeau.
En effet on arrive à remplacer des organes, chose qu'on arrivait pas il y a encore 50 ans avec ce taux de réussite, mais ça reste du bricolage, le plastique et le métal aussi ça s'use, plus vite que la matière organique vivante parfois même, et ça ne compense pas (pas encore?) l'usure générale des années sur un corps biologique
Je pense qu'il y a aussi la question de la fatigue de vivre (mentale) , chose qui finit par arriver même chez les bien portants, car même à 100 ans en étant indépendant on remarque chez ces personnes une espèce de lassitude de vivre, une perte d'envie pour tout, qui les tuent bien plus que leur usure de corps (et je ne vois pas ce qu'on peut faire contre ça)Mais bon la on touche plus au Trans humanisme qu'a la question de la panique de la société quand elle voit des Nonagenaires mourir en 2020
Kheyou je pense que les sujets sont liés, il y'a un problème de surmortalité, on le règle, l'espérance de vie augmente.
La panique de la société est justifiée si on se soucie de notre voisin (liberté/égalité/fraternité, encore de l'imaginaire collectif). Madame Duchemin ne désire peut-être pas mourir, je suis solidaire d'elle en n'étant pas celui qui enfoncera le premier clou dans son cerceuil.Je comprends ton propos, mais il est viable si et seulement si tous les gens qui meurent sont des gens condamnés. Hors, ce n'est pas le cas.
Les gens n'étaient pas condamnés ? Es tu sur de celà? Ne sont ils pas morts tout compte fait? Est ce que tu es au courant d'un scénario alternatif ou le Covid aurait été détecté plus tôt et ou les gens seraient encore en vie ?
Pour moi il n'y a pas de mort "normal" Et de mort "anormal", on a pas accès à une trame parallèle Avec laquelle on pourrait comparer en disant : voyez la trame normal où les gens ne sont pas morts et la notre horrible ou ils sont morts.
Leurs morts étaient normales, car de fait c'est arrivé, c'est tout, la mort n'est pas une question de désir
Ah et dernière chose, il n'y a pas de surmortalité générale même en tenant compte de l'augmentation du à l'augmentation générale de la population ou au vieillissement on reste dans l'ordre de grandeur des années d'avant
Même cette notion de surmortalité est bancale, à partir que quand on est dedans? Qui a dit qu'un pic de mortalité à un instant T était un disfonctionnement de quoique soit ? On parle de la mort et d'un ordre naturel qui nous dépasse tous, pas des bugs d'un PC ou des pannes d'une machine outil
Le 11 février 2021 à 14:43:02 Ostgar a écrit :
[14:27:54] <Montanaflex>
Le 11 février 2021 à 14:15:34 Ostgar a écrit :
[14:07:22] <Montanaflex>
Le 11 février 2021 à 13:52:31 Ostgar a écrit :
[13:43:45] <Montanaflex>
Sinon c'est inscrit dans la déclaration des droits de l'homme au cas où : "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne". Il est de facto interdit de mourir, donc oui des gens qui meurent c'est toujours un problème.Et l'espérance de vie qui progresse c'est par étape, on sera pas immortel du jour au lendemain, c'est en éradiquant les causes de mort petit à petit qu'on prolonge notre existence. Donc empêcher des gens de mourir aujourd'hui à 85 ans, c'est permettre au génération suivante de vivre jusqu'à 90.
Vivre jusqu'à 90, pourquoi faire et dans quelles conditions?
La difficulté à trouver des Ehpad libres et la demande en assistance à la personne qui explose, si c'est ça l'augmentation de la durée de vie, vivre 10 ans de plus pour finalement ne rien pouvoir faire plus car on est dépendant, pareil je vous la laisseVous pouvez toujours fantasmer sur un homme immortel mais on se heurtera toujours au mur biologique ou même sur le téléchargement de votre esprit sur un disque dur
De même qu'au final ce n'est pas vous qui choisissez quand vous mourrez, vous pouvez très bien passer demain sous un camion.
Et pour le coup, des droits de l'homme, c'est ce que harari appelle une "fiction collectivement partagé" Ça règle peut être la société a un point et un temps donné ( et encore pas partout sur ce caillou terrestre Aya) mais ça ne remet rien en cause de l'ordre naturel (en tout cas sur ce qu'on discute ici)
100% d'accord, ça n'a d'intérêt que si on reste en bonne santé. Grabataire et immortelle n'intéresse personne je suppose.
Pour le mur biologique je suis pas sûr, coeur artificielle, poumon artificielle, on peut imaginer des technologies revitalisante.
Evidemment que je peux me prendre une noix de coco laché par un aigle sur la tête, me noyer suite à un choc hypothermique, ou encore un attentat. Mais je n'envisage pas la vie comme une course la montre pour mourir le plus vite possible.D'accord également avec la "fiction collectivement partagé", à part dans notre imaginaire rien n'indique qu'on a le droit à la vie. Mais dans notre collectif grégaire, ce droit est quand même actuellement à propos. Je l'utilisais juste pour contredire ceux qui pense que laisser mourir les gens est naturelle. L'espoir peut-être un fardeau.
En effet on arrive à remplacer des organes, chose qu'on arrivait pas il y a encore 50 ans avec ce taux de réussite, mais ça reste du bricolage, le plastique et le métal aussi ça s'use, plus vite que la matière organique vivante parfois même, et ça ne compense pas (pas encore?) l'usure générale des années sur un corps biologique
Je pense qu'il y a aussi la question de la fatigue de vivre (mentale) , chose qui finit par arriver même chez les bien portants, car même à 100 ans en étant indépendant on remarque chez ces personnes une espèce de lassitude de vivre, une perte d'envie pour tout, qui les tuent bien plus que leur usure de corps (et je ne vois pas ce qu'on peut faire contre ça)Mais bon la on touche plus au Trans humanisme qu'a la question de la panique de la société quand elle voit des Nonagenaires mourir en 2020
Kheyou je pense que les sujets sont liés, il y'a un problème de surmortalité, on le règle, l'espérance de vie augmente.
La panique de la société est justifiée si on se soucie de notre voisin (liberté/égalité/fraternité, encore de l'imaginaire collectif). Madame Duchemin ne désire peut-être pas mourir, je suis solidaire d'elle en n'étant pas celui qui enfoncera le premier clou dans son cerceuil.Je comprends ton propos, mais il est viable si et seulement si tous les gens qui meurent sont des gens condamnés. Hors, ce n'est pas le cas.
Les gens n'étaient pas condamnés ? Es tu sur de celà? Ne sont ils pas morts tout compte fait? Est ce que tu es au courant d'un scénario alternatif ou le Covid aurait été détecté plus tôt et ou les gens seraient encore en vie ?
Pour moi il n'y a pas de mort "normal" Et de mort "anormal", on a pas accès à une trame parallèle Avec laquelle on pourrait comparer en disant : voyez la trame normal où les gens ne sont pas morts et la notre horrible ou ils sont morts.
Leurs morts étaient normales, car de fait c'est arrivé, c'est tout, la mort n'est pas une question de désirAh et dernière chose, il n'y a pas de surmortalité générale même en tenant compte de l'augmentation du à l'augmentation générale de la population ou au vieillissement on reste dans l'ordre de grandeur des années d'avant
Même cette notion de surmortalité est bancale, à partir que quand on est dedans? Qui a dit qu'un pic de mortalité à un instant T était un disfonctionnement de quoique soit ? On parle de la mort et d'un ordre naturel qui nous dépasse tous, pas des bugs d'un PC ou des pannes d'une machine outil
Je ne comprends pas ta première phrase, désolé.
Pour la suite je ne suis pas d'accord, on a une trame normale, qui est celle de la mortalité annuelle attendue et celle de l'année dernière qui est anormale. D'après l'insee, on avait autant de mort au 5 décembre 2020 que l'intégralité des morts de 2019. soit un mois d'avance de gens qui sont mort, c'est exact, mais qui statistiquement n'auraient pas du, ils n'étaient pas condamnés. Pour prendre l'exemple d'un autre pays, la russie, c'est une surmortalité de 230000 morts par rapport à l'année précédente.
Il n'y a pas de raisonnement bancal avec la surmortalité, c'est comme ça il y'a un nombre anormal de mort point, tout comme lors de guerre mondiale, ou lors de la peste noir ou encore les années de grippe espagnole. Heureusement, les chiffres ne sont pas comparable avec les fléaux précédent, mais il n'empêche que ces chiffres ne correspondent pas au nombre de décès "naturelle" attendu.
Tu sembles proposer d'accepter cette nouvelle façon de mourir comme inéluctable, sur quelles critères ? Supprimons la médecine alors, mais comme je te l'ai dit plus tôt, mourir, pas de problème avec ça, mais le plus tard possible.
Je crois comprendre notre différence de point de vue, on ne place pas le curseur d'anormalité au même endroit. Pour moi, une dizaine de millier de mort en trop est en trop. Ou place tu le curseur? En centaine de millier ou en millions ? N'oublie pas que les chiffres augmentent, au début c'était moins de mort que par accident de trottinette, puis de la grippe, puis de cancer, et ensuite ?
Ce débat ABSURDE du transhumanisme à 2 balles.
Déjà, si 95% de la population savaient correctement s alimenter, faisaient une activité physique régulière, ne fumaient, ne buvaient pas, 95% des maladies n existeraient plus...
Déjà essayez d optimiser votre santé et votre bien être par un mode dd vie sain que vouloir rallonger artificiellement une espérance de vie en mauvaise santé.
Les transhumanistes ces attardés.
Maladies de la civilisation occidentale inexistantes chez les peuples ancestraux qui vivent dans un environnement moins aseptisé et moins hygiéniste : obésité, diabète de type 2, maladies cardiovasculaires, alzheimer, parkinson.
Que des maladies neuro dégénératives liées au mode de vie.
Ah oui les gens préfèrent bouffer des fast food et plats préparés MÊME EN PLEINE ÉPIDÉMIE et à côté avaler 5 complètement alimentaires pour essayer de compenser leur choix médiocres en terme d alimentation.
Données du topic
- Auteur
- HowToRSA6
- Date de création
- 11 février 2021 à 11:30:20
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