Les libéraux blancs ne sont pas des Blancs qui sont pour l’indépendance, qui sont moraux et éthiques dans leur pensée. Ils ne sont qu'une faction de Blancs qui se battent pour le pouvoir. Le même que le conservateur blanc est une faction de blancs qui se battent pour le pouvoir.
Ils se battent pour le pouvoir et le prestige, et celui qui est le football dans le jeu est le noir, 20 millions de Noirs. Un football politique, un pion politique, un football économique et un pion économique. Un football social, un pion social. Les éléments libéraux des blancs sont ceux qui ont perfectionné l'art de se vendre au noir comme ami du noir . Obtenir la sympathie du noir , obtenir l'allégeance du noir et obtenir l'esprit du noir. Puis les noirs se rangent du côté du libéral blanc, et le libéral blanc utilise le noir contre le conservateur blanc. De sorte que tout ce que fait le noir n'est jamais pour son propre bien, jamais pour son propre avancement, jamais pour son propre progrès, il n'est qu'un pion entre les mains du libéral blanc.
Le pire ennemi que les noirs ont est cet homme blanc qui court par ici en bavant à la bouche, prétendant aimer les noirs, et se qualifiant de libéral, et c'est la suite de ces libéraux blancs qui a perpétué les problèmes que les noirs ont. Si le noir n'était pas pris, trompé ou trompé par le libéral blanc, alors les noirs se réunirait et réglerait nos propres problèmes.
Je ne cite ces choses que pour vous montrer qu'en Amérique, l'histoire du libéral blanc n'a été qu'une série de tromperies destinées à faire croire aux noirs que le libéral blanc allait résoudre nos problèmes. Nos problèmes ne seront jamais résolus par l'homme blanc. La seule façon de résoudre notre problème est lorsque l'homme noir se réveille, se nettoie, se tient debout et arrête de supplier l'homme blanc, et prend des mesures immédiates pour faire par nous-mêmes les choses que nous attendions le homme blanc à faire pour nous. Une fois que nous le ferons pour nous-mêmes, nous serons en mesure de résoudre nos propres problèmes.
Les conservateurs blancs ne sont pas non plus les amis du noir, mais ils n'essaient au moins de le cacher. Ils sont comme des loups, ils montrent leurs dents dans un grognement qui tient le noir toujours conscient de sa position avec eux. Mais les libéraux blancs sont des renards, qui montrent aussi leurs dents au noir mais prétendent qu'ils sourient. Les libéraux blancs sont plus dangereux que les conservateurs; ils attirent le noir, et alors que le noir fuit le loup grognant, il s'enfuit dans les mâchoires ouvertes du renard «souriant». L'un est le loup, l'autre est un renard. Quoi qu'il en soit, ils vous mangeront tous les deux.
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